Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
ce film ose beaucoup mais ne force jamais. Son rythme est à la mesure des petites touches qu'il pose peu à peu, avec une grande simplicité et une salvatrice absence de prétention, sur le parcours de cet immigré de la deuxième génération qui découvre le Maroc de ses origines avec les yeux d'un touriste mais aussi muni de la boîte à souvenirs d'un père qu'il apprend doucement à comprendre.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Il est bien sûr loisible de regretter qu'Hassan Legzouli n'ait pas tenté plus de choses sur son chemin, n'ait pas pris le risque de la cruauté, du lyrisme et de l'inconvenance. Son film, un premier long métrage, n'en touche pas moins par l'honnêteté de son propos, par sa manière de suspendre l'action efficace et immédiatement rentable, par l'opiniâtreté qui est la sienne à aller jusqu'au bout en laissant finalement les choses ouvertes, par l'histoire émouvante de l'immigration maghrébine en France qu'il évoque, subtilement, en creux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Un nouveau film sur les racines et la filiation. Mais surtout pas un film de plus. Hassan Legzouli, dont c'est le premier long-métrage, a trouvé le ton de la délicatesse et de l'émotion, que portent avec ferveur Roschdy Zem et Aure Atika.
Ce road-movie initiatique et spirituel n'est pas sans rappeler, en moins abouti, Le Grand Voyage d'Ismaël Ferroukhi (...). Ce film attachant, interprété avec subtilité, prend son temps pour nous faire voyager à travers le Maroc en s'éloignant des parcours touristiques.
Premier long-métrage qui, avec beaucoup de douceur, évoque la déchirure, presque charnelle, de vivre le coeur entre deux pays aux traditions éloignées.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Tenja est un road-movie ouvert à l'imprévu, y compris à la beauté soufflante des lieux traversés. (...) Le film touche juste en suggérant des retrouvailles avec une terra incognita intimement familière.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Roschdy Zem confère à son personnage la nonchalance d'Ordo. Etrange auberge espagnole du jeu d'acteur : Mohammed El Madj, le père, revient lui aussi dans des rôles similaires à ceux du Cheval de vent ou du Grand Voyage. Tenja s'appuie trop sur ces réminiscences pour ne pas mincir à vue d'oeil, quête pressée de se déprendre des oripeaux de l'apprentissage.
Tenja est un road-movie aux intentions louables, mais au résultat fade. (...) Pas putassier ou misérabiliste pour un sou, le périple mis en scène n'évite pas les écueils du genre, mais a le mérite d'aborder le thème du déracinement avec sobriété.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'impression, plutôt agréable, qui nous gagne au début du film, (...) laisse bien vite place au sentiment contraire. (...) La volonté d'exploiter le caractère cocasse du transport du cercueil manque d'imagination, à l'image d'une mise en scène ronronnante et prévisible.
Servi par l'interprétation sensible et nuancée de Roschdy Zem, Tenja remplit sa fonction benoîte de plaidoyer pour la tolérance et l'ouverture d'esprit.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
Un film régénérant, apaisant, lumineux, magnifique.
Zurban
Roschdy Zem et Aura Atika, remarquablement dirigés, sont époustouflants de vérité. Rarement regard sur le Maroc aura été aussi juste.
Africultures.com
ce film ose beaucoup mais ne force jamais. Son rythme est à la mesure des petites touches qu'il pose peu à peu, avec une grande simplicité et une salvatrice absence de prétention, sur le parcours de cet immigré de la deuxième génération qui découvre le Maroc de ses origines avec les yeux d'un touriste mais aussi muni de la boîte à souvenirs d'un père qu'il apprend doucement à comprendre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Il est bien sûr loisible de regretter qu'Hassan Legzouli n'ait pas tenté plus de choses sur son chemin, n'ait pas pris le risque de la cruauté, du lyrisme et de l'inconvenance. Son film, un premier long métrage, n'en touche pas moins par l'honnêteté de son propos, par sa manière de suspendre l'action efficace et immédiatement rentable, par l'opiniâtreté qui est la sienne à aller jusqu'au bout en laissant finalement les choses ouvertes, par l'histoire émouvante de l'immigration maghrébine en France qu'il évoque, subtilement, en creux.
Ouest France
Un nouveau film sur les racines et la filiation. Mais surtout pas un film de plus. Hassan Legzouli, dont c'est le premier long-métrage, a trouvé le ton de la délicatesse et de l'émotion, que portent avec ferveur Roschdy Zem et Aure Atika.
Paris Match
Ce road-movie initiatique et spirituel n'est pas sans rappeler, en moins abouti, Le Grand Voyage d'Ismaël Ferroukhi (...). Ce film attachant, interprété avec subtilité, prend son temps pour nous faire voyager à travers le Maroc en s'éloignant des parcours touristiques.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Premier long-métrage qui, avec beaucoup de douceur, évoque la déchirure, presque charnelle, de vivre le coeur entre deux pays aux traditions éloignées.
Télérama
Tenja est un road-movie ouvert à l'imprévu, y compris à la beauté soufflante des lieux traversés. (...) Le film touche juste en suggérant des retrouvailles avec une terra incognita intimement familière.
Cahiers du Cinéma
Roschdy Zem confère à son personnage la nonchalance d'Ordo. Etrange auberge espagnole du jeu d'acteur : Mohammed El Madj, le père, revient lui aussi dans des rôles similaires à ceux du Cheval de vent ou du Grand Voyage. Tenja s'appuie trop sur ces réminiscences pour ne pas mincir à vue d'oeil, quête pressée de se déprendre des oripeaux de l'apprentissage.
Cinéastes
Tenja est un road-movie aux intentions louables, mais au résultat fade. (...) Pas putassier ou misérabiliste pour un sou, le périple mis en scène n'évite pas les écueils du genre, mais a le mérite d'aborder le thème du déracinement avec sobriété.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
C'est un peu mince, mais sympathique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
L'impression, plutôt agréable, qui nous gagne au début du film, (...) laisse bien vite place au sentiment contraire. (...) La volonté d'exploiter le caractère cocasse du transport du cercueil manque d'imagination, à l'image d'une mise en scène ronronnante et prévisible.
Libération
Servi par l'interprétation sensible et nuancée de Roschdy Zem, Tenja remplit sa fonction benoîte de plaidoyer pour la tolérance et l'ouverture d'esprit.
Première
Malgré ses faiblesses formelles, Tenja, sincère et sensible, touche souvent.
Score
Pas désagréable, juste trop anecdotique.