J’aime ce style de narration, une mise en scène joués par des natifs allemands, une autre manière de voir l’histoire de la seconde guerre mondiale, l’élément déclencheur représenter par cette figure obscure, Adolf Hitler, ses dernières heures dans le bunker, l’acteur Bruno Gantz nous livre une prestation puissante, sa mégalomanie belliqueuse causa sa perte, une idéologie et un régime autoritaire monoparti, basé sur la bigoterie extrême, vehiculant la mort, le nazisme fut un héritage qui laissa couler beaucoup d’encre, exerça un attrait pour le peuple germain pris au piège du lavage de cerveau, ses proches collaborateurs furent fanatisés, les propos chocs de Martha Goebbels, avec la complicité de son époux, le sort fatal réservé à ses enfants impuissants, avec le cœur serré, est infâme, n’ayant aucune compassion, l’hypothèse de la survie pour échapper à la peine capitale, aurait été infime, à l’après-guerre en particulier, la capitulation de l’Allemagne Nazi, l’occupation par les forces alliées et soviétiques, annonciateurs du commencement des événements de la guerre froide, avec un dénouement magnifique, 5/5.