Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Le Monde
par Jean-Luc Douin
La puissance de Prendre femme est (...) d'abord dans la façon dont Ronit Elkabetz prend le pouvoir de l'image. Récompensée dans plusieurs festivals pour son rôle dans Mariage tardif, étonnante dans Alila d'Amos Gitaï, époustouflante en prostituée à la dérive dans Mon trésor, elle fait ici un numéro grandiose, (...) telle une Callas (à laquelle elle ressemble) ou une Anna Magnani.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe AZOURY
Il suffit d'une séquence pour qu'un spectateur comprenne qu'un film a de fortes chances d'emporter le morceau. Merveille de Prendre femme : cette scène est la première du film. (...) Force d'une actrice d'exception : Ronit Elkabetz, qui fume des cigarettes comme personne (...), joue cette femme réchappée du cinéma de Cassavetes, essentiellement avec les yeux.
Rolling Stone
par Isabelle Danel
Ce portrait craché d'une féministe israélienne se double de la radiographie d'une époque et d'un pays. Et marque la naissance de deux réalisateurs (...) à suivre.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Mira Fary
Coécrite, coréalisée et interprétée par Ronit Elkabetz, l'histoire d'une femme en prise avec une société archaïque
Télérama
par Cécile Mury
Ronit Elkabetz (...), qui interprète Viviane, a co-écrit et réalisé le film avec son frère Shlomi, comme une façon d'enregistrer leurs blessures autobiographiques, l'aliénation mutuelle de leurs parents. (...) Le frère et la soeur ne proposent aucune issue, ne ferment aucune piste. Ils captent seulement, avec une étonnante maîtrise du récit, les émotions, les déchirements et les fêlures intimes, un enfer ordinaire et universel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Yasmine Youssi
tout est formidablement maîtrisé dans ce film construit comme une tragédie classique (...). Ronit Elkabetz, éblouissante, (...) compose un superbe portrait de femme, à la fois rebelle et soumise (...).
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
par Elisabeth Quin
...parce que Ronit Elkabetz [...] est époustouflante [...] La mort du dialogue et de l'écoute conduit au désespoir. Ca vaut pour ce couple. Ca vaut sans doute aussi pour les relations du couple forcé que sont les Israéliens et les Palestiniens...
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
Amos Gitaï montre le côté sombre d'une terre où le divin a une place cruciale, et Elkabetz fait un peu la même chose, sauf qu'elle se place ici du côté de l'intime. C'est de l'intérieur qu'elle condamne le désir sous dictature. Si tous deux se demandent comment il s'y travaille, Elkabetz traite d'un avant la terreur tandis que Gitaï se charge d'un après, moment où seule la violence pulsionnelle a la parole.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Françoise MAUPIN
Cela pourrait être fastidieux, ça ne l'est pas, parce que les deux personnages existent vraiment, magistralement interprétés par Ronit Elkabetz et Simon Abakarian. Décidément, après Mon trésor, Terre promise et Prendre femme, les nouvelles du cinéma israélien sont bonnes.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le premier film du duo Ronit et Shlomi Elkabetz obéit essentiellement à une chose: la clarté de trait. Filmé à la ligne claire, il dessine un portrait réaliste d'une famille israélienne juive séfarade.
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Eprouvant mais salutaire : on est soufflé par tant de précision dans la mise en scène et l'écriture. Ce film, largement autobiographique, décrit avec justesse la cruauté mentale d'un couple déchiré entre traditions religieuses et modernisme. Prenant de bout en bout, PRENDRE FEMME rappelle par moments John Cassavetes en particulier pour la performance de Ronit Elkabetz.
Ouest France
par La rédaction
Un mélodrame porté par la présence de la superbe Ronit Elkabetz. Elle habite ce récit dont elle assure aussi, avec son frère Shlomi une mise en scène travaillée avec rigueur et vigueur.
Première
par Sophie Grassin
Prendre femme, portrait d'un couple en guerre où l'ombre de Cassavetes croiserait celle de Dreyer, table sur le mélange des langues et des états de l'héroïne (...). Face à cette force de la nature -Viviane femme moderne qui gagne sa vie en coiffant ses voisines et tient sur son couple un forum permanent-, les autres (Simon Abkarian ou Gilbert melki, tout en douceur) existent vraiment: Prendre femme révèle l'étendue de leur talent. ce n'est pas rien.
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
Prendre femme impressionne car, plutôt que d'ébaucher un énième portrait de femme-martyr, il prend vite la tangente pour affirmer une autre ambition. (...) à mi-parcours, s'ébauche un romanesque avec dialogues-loukoum et bovarysme attendu.
Cinéastes
par Marie-Pauline Mollaret
Sans appuyer là où ça fait mal, sans grandes démonstrations, Ronit Elkabetz et Shlomi Elkabetz filment de longues conversations qui ne mènent nulle part, des crises de larmes et de nerfs, des cris.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Score
par Johnny Be Good
Elkabetz électrise les scènes de la vie conjugale en y propageant une tension insoutenable pour qui n'est pas fan des déchirures à la Bergman. Une claustrophobie théâtrale annihilant parfois la performance hallucinée d'une immense actrice.
La critique complète est disponible sur le site Score
Le Monde
La puissance de Prendre femme est (...) d'abord dans la façon dont Ronit Elkabetz prend le pouvoir de l'image. Récompensée dans plusieurs festivals pour son rôle dans Mariage tardif, étonnante dans Alila d'Amos Gitaï, époustouflante en prostituée à la dérive dans Mon trésor, elle fait ici un numéro grandiose, (...) telle une Callas (à laquelle elle ressemble) ou une Anna Magnani.
Libération
Il suffit d'une séquence pour qu'un spectateur comprenne qu'un film a de fortes chances d'emporter le morceau. Merveille de Prendre femme : cette scène est la première du film. (...) Force d'une actrice d'exception : Ronit Elkabetz, qui fume des cigarettes comme personne (...), joue cette femme réchappée du cinéma de Cassavetes, essentiellement avec les yeux.
Rolling Stone
Ce portrait craché d'une féministe israélienne se double de la radiographie d'une époque et d'un pays. Et marque la naissance de deux réalisateurs (...) à suivre.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Coécrite, coréalisée et interprétée par Ronit Elkabetz, l'histoire d'une femme en prise avec une société archaïque
Télérama
Ronit Elkabetz (...), qui interprète Viviane, a co-écrit et réalisé le film avec son frère Shlomi, comme une façon d'enregistrer leurs blessures autobiographiques, l'aliénation mutuelle de leurs parents. (...) Le frère et la soeur ne proposent aucune issue, ne ferment aucune piste. Ils captent seulement, avec une étonnante maîtrise du récit, les émotions, les déchirements et les fêlures intimes, un enfer ordinaire et universel.
Zurban
tout est formidablement maîtrisé dans ce film construit comme une tragédie classique (...). Ronit Elkabetz, éblouissante, (...) compose un superbe portrait de femme, à la fois rebelle et soumise (...).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
...parce que Ronit Elkabetz [...] est époustouflante [...] La mort du dialogue et de l'écoute conduit au désespoir. Ca vaut pour ce couple. Ca vaut sans doute aussi pour les relations du couple forcé que sont les Israéliens et les Palestiniens...
Fluctuat.net
Amos Gitaï montre le côté sombre d'une terre où le divin a une place cruciale, et Elkabetz fait un peu la même chose, sauf qu'elle se place ici du côté de l'intime. C'est de l'intérieur qu'elle condamne le désir sous dictature. Si tous deux se demandent comment il s'y travaille, Elkabetz traite d'un avant la terreur tandis que Gitaï se charge d'un après, moment où seule la violence pulsionnelle a la parole.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Cela pourrait être fastidieux, ça ne l'est pas, parce que les deux personnages existent vraiment, magistralement interprétés par Ronit Elkabetz et Simon Abakarian. Décidément, après Mon trésor, Terre promise et Prendre femme, les nouvelles du cinéma israélien sont bonnes.
Les Inrockuptibles
Le premier film du duo Ronit et Shlomi Elkabetz obéit essentiellement à une chose: la clarté de trait. Filmé à la ligne claire, il dessine un portrait réaliste d'une famille israélienne juive séfarade.
MCinéma.com
Eprouvant mais salutaire : on est soufflé par tant de précision dans la mise en scène et l'écriture. Ce film, largement autobiographique, décrit avec justesse la cruauté mentale d'un couple déchiré entre traditions religieuses et modernisme. Prenant de bout en bout, PRENDRE FEMME rappelle par moments John Cassavetes en particulier pour la performance de Ronit Elkabetz.
Ouest France
Un mélodrame porté par la présence de la superbe Ronit Elkabetz. Elle habite ce récit dont elle assure aussi, avec son frère Shlomi une mise en scène travaillée avec rigueur et vigueur.
Première
Prendre femme, portrait d'un couple en guerre où l'ombre de Cassavetes croiserait celle de Dreyer, table sur le mélange des langues et des états de l'héroïne (...). Face à cette force de la nature -Viviane femme moderne qui gagne sa vie en coiffant ses voisines et tient sur son couple un forum permanent-, les autres (Simon Abkarian ou Gilbert melki, tout en douceur) existent vraiment: Prendre femme révèle l'étendue de leur talent. ce n'est pas rien.
Cahiers du Cinéma
Prendre femme impressionne car, plutôt que d'ébaucher un énième portrait de femme-martyr, il prend vite la tangente pour affirmer une autre ambition. (...) à mi-parcours, s'ébauche un romanesque avec dialogues-loukoum et bovarysme attendu.
Cinéastes
Sans appuyer là où ça fait mal, sans grandes démonstrations, Ronit Elkabetz et Shlomi Elkabetz filment de longues conversations qui ne mènent nulle part, des crises de larmes et de nerfs, des cris.
Score
Elkabetz électrise les scènes de la vie conjugale en y propageant une tension insoutenable pour qui n'est pas fan des déchirures à la Bergman. Une claustrophobie théâtrale annihilant parfois la performance hallucinée d'une immense actrice.
Télé 7 Jours
un film d'atmosphère tendu et fouillé.