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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Un film de Nicole Garcia, avec une pleiade d'acteurs que j'adore, dont Bacri, il était donc évident que je cours voir ce film... j'y étais le jour de sa sortie... J'avais entendu Nicole Garcia en parler sur une radio et en fait voilà, j'avais tout entendu...il n'y avait rien d'autre!!! je me suis ennuyée, j'ai trouvé ça déprimant et pas très élevé, pas très profond...de la masturbation de l'esprit sans envergure... Effectivement la façon de filmer est originale, cela donne un rythme qui peut nous laisser à penser que ce film est un film à plusieurs dégrés... Mais bon, une vue de l'esprit à mon sens... Sous prétexte de sortir du cinéma à grand budget américain et de sauver le cinéma français, le cinéma à message, encore faut il que cela soit du bon cinéma, et ce n'est pas le cas... j'en suis désolée et déçue!
Un des très rares films que je n'ai pas réussi à finir. Extrêmement lent et totalement inintéressant. C'est d'une prétention rare, d'un ennui insurmontable et tellement vide. Vide au dedans comme en surface.
COMME UN BOOMERANG. Le film de Nicole Garcia a beaucoup de défauts mais surtout une trés grosse qualité: ses acteurs. Et c'est bien grace à eux que l'histoire tient le coup.
Ahhh film français quand tu nous tiens! Chorale, longuet, qui se regarde le nombril. Et pourtant, des personnages souvent bien dessinés, toujours énervants ou antipathiques, parfois inutiles (mention spéciale à ce jeune tennisman dont le rôle consiste à s'enfuir et à sauter n'importe où...). On s'ennuie quand même un peu devant cette fresque de gens à problèmes.
Un film magnifique.Un filme calme avec très peu de paroles et beaucoup de silence ce qui fait la beauté de ce film.Une B.O super belle qui va très bien avec les scènes.Des Acteurs aussi bons les uns que les autres
Dans une petite ville balnéaire, Nicole Garcia s'intéresse à une poignée de personnages (masculins) qu'elle met en scène dans de brèves séquences alternées qui sont autant de tranches de vie isolées. Du fait d'un récit par conséquent éclaté, il faut un certain temps pour entrer dans le film, pour s'intéresser à des personnages dont le caractère et l'identité s'affinent progressivement à travers les soucis ponctuels et les états d'âme ordinaires des uns et des autres. Le maire de la ville, ombrageux et antipathique (Bacri, forcément), le brocanteur magouilleur (Poelvoorde), un prof de science (Magimel) et quelques autres sont amenés à se rencontrer dans des circonstances anodines mais ne semblent pas liés, comme on pouvait l'envisager au début du film, par une affaire ou un incident antérieur. Le seront-ils dans un dénouement collectif? Charlie, le fils de l'un des protagonistes (Vincent Lindon), gamin triste et silencieux, en sera-t-il le déclencheur? L'absence de perspectives tout au long du film nous laisse dans l'expectative quant au dessein que poursuit la réalisatrice; Si les comédiens font le métier avec talent dans le registre un peu grave et affecté du "psychologisme" à la française, la cinéaste subit son propre choix: en maintenant le spectateur dans le vague, faute de structurer les personnages autour d'une intrigue commune, Nicole Garcia donne le sentiment d'un sujet stérile. A certains égards, sa mise en scène parait même artificielle, voire tel un exercice se style maniéré.
Si Almodovar est le cinéaste des femmes, Nicole Garcia se prouve sans conteste la cinéaste des hommes. La cinéaste des hommes et la cinéaste des films chorals. Dans ce méli mélo d'histoires, Garcia se noie dans trop de passivité et en oublie de faire avancer un peu ces hommes. Les film reste la plupart du temps au point mort, avec l'observation d'un genre humain fade et ennuyant. Par trop de non dits surement qui bloque tout avancé tant ces histoires sont incompréhensible. Pourtant, il y a des révélations, mais les personnages sont tous trop complexes pour qu'on les comprennent en 2h. Il reste ce perfectionnisme de la réalisatrice minutieux et passionant. Cette mise en scène tantôt caméra à l'épaule, tantôt plutôt stable mais toujours éphèmère. Le film tourne vite à l'excercice de style scolaire pour Nicole Garcia. Heureusement, les acteurs ne se prennent pas les pieds dans le tapis et donnent le mailleur d'eux même. La palme, on l'attribuerait volontiers à Patrick Pineau ("Liberté Oléron"...) pour son interprétation en archéologue qui effectue son retour au source après tant d'année la tête dans les étoiles (ou dans la terre plutôt). Insondable et délicat, Pineau surprend à côté d'un casting plus impressionant, c'est finalement le moins populaire qui gagne, son coin de paradis en nous emmenant avec lui avec générosité. Il emmene aussi avec lui Benoît Magimel qui après quelques navets revient à son plus haut niveau. Tous les deux forment un duo voire un couple tout de gêne vêtu et enchantent le film. Jean-Pierre Bacri ne donne pas sa part au chien et signe sa composition la plus glamour et le moins cynique. Etonnant, son contre emploi lui va si bien. En marge de l'histoire Benoît Poelvoorde discret et touchant reste plus dans ses tons sans trop se fouler alors que Vincent Lindon lui aussi donne le meilleur de lui même. En 6ème roue du carosse, l'espoir Arnaud Valois insufle de la vie à un rôle muet et pas évident et promet une brillante carrière si un réalisateur lu
un tres bon film français avec des excellents acteurs qui jouent tres bien leurs rôles.L'histoire est bien avec une belle musique.Bref un bon film français que je vous conseille.