Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Brazil
par Mathieu Beaudou
Winterbottom nous parle de la vie, celle de la jeunesse de nos villes occidentales, comme l'ont fait avant lui les auteurs de la nouvelle vague. (...) On baise et on fait l'amour, on aime la sueur et le rock'n'roll. Vous trouvez ça choquant, vous ?
Cinéastes
par Marie-Pauline Mollaret
Cette radicalité et ce jusqu'au-boutisme sont sans doute ce qui fait la force de Nine songs : Winterbottom ne se croit pas obligé de scénariser les sentiments, il laisse parler les corps. Et rarement au cinéma on n'avait vu des scènes aussi belles et aussi crues à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Humanité
par Michael Melinard
Cette oeuvre [...] remet au goût du jour le triptyque " sexe, drogue et rock'n'roll ". Concentré d'émotions plus que de sens, 9 Songs est un cinéma à fleur de peau.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Fier de sa liberté et de ses audaces, ce film punk va à l'essentiel en s'affranchissant de toute contrainte (quasi absence de dialogue ou de scénario).
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
France Soir
par Richard Gianorio
Michael Winterbottom brosse le tableau d'une relation amoureuse d'un érotisme torride, depuis ses prémices jusqu'à son inéluctable conclusion. Les scènes de sexe filmées sans faux-semblants alternent avec des images de concerts (interdit aux moins de 18 ans).
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Gilles Renault
Quoi de plus paradoxal (...) qu'un film qui entend montrer le sexe de la manière la plus frontale possible et qui, au final, pèche par manque d'enjeu autre que théorique, tel un exercice de style impuissant à transcender son postulat censément audacieux...
Paris Match
par Alain Spira
Sur un plan purement narratif, ce film affiche un minimalisme proche du nul. En revanche, les comédiens (...) se donnent à corps pas perdus pour tout le monde [...]
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
(...) Winterbottom réussit le prodige de rendre l'impudeur touchante en biaisant par l'intelligence de son regard, ni faux-cul ni voyeur. Le problème, néanmoins, c'est qu'il ne s'est guère embarrassé de contreforts narratifs pour solidifier son film [...] Des sens oui, du sens moins.
Zurban
par Claire Vassé
A l'origine, Michael Winterbottom voulait adapter Plateforme de Houellebecq, mais le projet bifurqua. Soit donc Lisa et Matt, deux amant à Londres. [...] l'opacité des personnages est telle que jamais on ne s'émeut. Expérimental, charnel, 9 songs pourrait s'arrêter à tout moment, n'était le clin d'oeil de son exacte durée...
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
[...] vendu comme "69 minutes de sexe & de rock'n'roll" mais pensé comme un film de concerts, orné d'une interdiction aux moins de 18 ans mais drapé dans une adolescence érotique. Le film arty-porno que Winterbottom s'était promis de faire, qu'il a fait, c'est fini, n'en parlons plus.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Exercice de style fabriqué dans la vitesse, le film reprend de volée le programme qu'il propose et feint de l'explorer quand, en fait, il ne fait que le survoler.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Sophie Berdah
[...] en dépit de la crudité des scènes de sexe, il s'en dégage un ennui à périr.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
[...] Pour impudique qu'il soit, ce film à la facture brouillonne ne correspond pas aux critères du film pornographique, car il est doté de personnages et d'une histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
Un zapping entre MTV2 (du rock en live) et XXL (du cul en live) pour un faux film expérimental vraiment creux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
En répétant neuf fois " Lisa et Matt font l'amour, ils vont voir un concert de rock et consomment de temps en temps de la drogue ", on aurait raconté 9 SONGS de A à Z.[...]par manque d'histoire, on se fiche rapidement de ces moments crus. [...] on s'ennuie terriblement.
Ouest France
par La rédaction
Michael Winterbottom (Jude, Butterfly kiss, Welcome to Sarajevo) parle de "69 mn de sexe & de rock n'roll". On ne saurait mieux dire.
Première
par Nicolas Schaller
Un homme et une femme se rencontrent à un concert... Sexe non simulé + groupes de rock en live (Franz Ferdinand, Dandy Warhols...) = bonne idée foirée, la faute à Winterbottom, poseur hyperactif et sans âme, qui filme le cul avec les pieds.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Rivé à un concept idiot (...), Winterbottom oublie le principal : dessiner des personnages, raconter une histoire. Au final, "9 songs", film de chair singulièrement désincarné, n'est satisfaisant ni comme film classique ni comme porno.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Filmé sans point de vue, 9 Songs tourne vite en rond, n'ayant pas grand-chose d'autre à offrir que son défi, certes relevé, mais limite idiot : le sexe pour le sexe, expurgé de sa pornographie. Et le rock en live ? Pas si vivant, filmé platement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
Winterbottom nous parle de la vie, celle de la jeunesse de nos villes occidentales, comme l'ont fait avant lui les auteurs de la nouvelle vague. (...) On baise et on fait l'amour, on aime la sueur et le rock'n'roll. Vous trouvez ça choquant, vous ?
Cinéastes
Cette radicalité et ce jusqu'au-boutisme sont sans doute ce qui fait la force de Nine songs : Winterbottom ne se croit pas obligé de scénariser les sentiments, il laisse parler les corps. Et rarement au cinéma on n'avait vu des scènes aussi belles et aussi crues à la fois.
L'Humanité
Cette oeuvre [...] remet au goût du jour le triptyque " sexe, drogue et rock'n'roll ". Concentré d'émotions plus que de sens, 9 Songs est un cinéma à fleur de peau.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
aVoir-aLire.com
Fier de sa liberté et de ses audaces, ce film punk va à l'essentiel en s'affranchissant de toute contrainte (quasi absence de dialogue ou de scénario).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
Michael Winterbottom brosse le tableau d'une relation amoureuse d'un érotisme torride, depuis ses prémices jusqu'à son inéluctable conclusion. Les scènes de sexe filmées sans faux-semblants alternent avec des images de concerts (interdit aux moins de 18 ans).
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Quoi de plus paradoxal (...) qu'un film qui entend montrer le sexe de la manière la plus frontale possible et qui, au final, pèche par manque d'enjeu autre que théorique, tel un exercice de style impuissant à transcender son postulat censément audacieux...
Paris Match
Sur un plan purement narratif, ce film affiche un minimalisme proche du nul. En revanche, les comédiens (...) se donnent à corps pas perdus pour tout le monde [...]
Rolling Stone
(...) Winterbottom réussit le prodige de rendre l'impudeur touchante en biaisant par l'intelligence de son regard, ni faux-cul ni voyeur. Le problème, néanmoins, c'est qu'il ne s'est guère embarrassé de contreforts narratifs pour solidifier son film [...] Des sens oui, du sens moins.
Zurban
A l'origine, Michael Winterbottom voulait adapter Plateforme de Houellebecq, mais le projet bifurqua. Soit donc Lisa et Matt, deux amant à Londres. [...] l'opacité des personnages est telle que jamais on ne s'émeut. Expérimental, charnel, 9 songs pourrait s'arrêter à tout moment, n'était le clin d'oeil de son exacte durée...
Cahiers du Cinéma
[...] vendu comme "69 minutes de sexe & de rock'n'roll" mais pensé comme un film de concerts, orné d'une interdiction aux moins de 18 ans mais drapé dans une adolescence érotique. Le film arty-porno que Winterbottom s'était promis de faire, qu'il a fait, c'est fini, n'en parlons plus.
Chronic'art.com
Exercice de style fabriqué dans la vitesse, le film reprend de volée le programme qu'il propose et feint de l'explorer quand, en fait, il ne fait que le survoler.
Fluctuat.net
[...] en dépit de la crudité des scènes de sexe, il s'en dégage un ennui à périr.
L'Express
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Le Monde
[...] Pour impudique qu'il soit, ce film à la facture brouillonne ne correspond pas aux critères du film pornographique, car il est doté de personnages et d'une histoire.
Les Inrockuptibles
Un zapping entre MTV2 (du rock en live) et XXL (du cul en live) pour un faux film expérimental vraiment creux.
MCinéma.com
En répétant neuf fois " Lisa et Matt font l'amour, ils vont voir un concert de rock et consomment de temps en temps de la drogue ", on aurait raconté 9 SONGS de A à Z.[...]par manque d'histoire, on se fiche rapidement de ces moments crus. [...] on s'ennuie terriblement.
Ouest France
Michael Winterbottom (Jude, Butterfly kiss, Welcome to Sarajevo) parle de "69 mn de sexe & de rock n'roll". On ne saurait mieux dire.
Première
Un homme et une femme se rencontrent à un concert... Sexe non simulé + groupes de rock en live (Franz Ferdinand, Dandy Warhols...) = bonne idée foirée, la faute à Winterbottom, poseur hyperactif et sans âme, qui filme le cul avec les pieds.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Rivé à un concept idiot (...), Winterbottom oublie le principal : dessiner des personnages, raconter une histoire. Au final, "9 songs", film de chair singulièrement désincarné, n'est satisfaisant ni comme film classique ni comme porno.
Télérama
Filmé sans point de vue, 9 Songs tourne vite en rond, n'ayant pas grand-chose d'autre à offrir que son défi, certes relevé, mais limite idiot : le sexe pour le sexe, expurgé de sa pornographie. Et le rock en live ? Pas si vivant, filmé platement.