Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Monde
par Jean-François Rauger
(...) on peut à nouveau constater à quel point le cinéaste procure à la fois la sensation et la pensée de quelque chose d'impalpable, d'un souffle, d'une forme particulière d'énergie à la fois individuelle et collective, concrète et abstraite (...) La mise en scène dévoile un sens personnel et brillant de l'usage des longs plans au cours d'une narration qui progresse parfois à grands coups d'ellipses temporelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Im Kwon-taek se montre particulièrement inspiré en filmant la Corée de sa jeunesse et rompt ici avec le formalisme de ses oeuvres précédentes.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Im (...) montre -pour la première fois- combien l'essor du cinéma coréen au début des sixties est lié au gangstérisme, qu'il condamne tout en prenant acte de son potentiel d'énergie. Au tonus (artistique et sexuel) du peintre d'Ivre... succède ici la violence physique, amorale, des truands, sur laquelle se branchent gestes d'acteurs et de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
La Pègre impressionne par cette manière d'avancer tête baissée, morceau après morceau, année après année, sans que rien ne semble pouvoir l'arrêter, comme son héros qui, lycéen, se fait planter un couteau dans la cuisse et poursuit son agresseur jusque chez lui pour lui faire retirer, en guise de vengeance. L'autre en vomit. Cinéma, affaire de gangsters, règne du coup de poing, des coupures nettes. Im Kwon-taek en sait long sur le sujet.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
par Elisabeth Quin
L'absence d'ellipses, le rapport obsessionnel entre politique et pègre coréennes peuvent dérouter, mais monsieur Im ne voulait pas livrer un "Scarface" local. Son film est un piège, une loupe, un laboratoire. Il y observe plus grand que lui comme un pauvre insecte dans une toile.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Le destin d'un petit truand coréen décrit avec un classicisme trivial, réaliste et cruel
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
(...) Il est difficile de suivre les intrigues, baignant dans une histoire politique complexe. Il serait pourtant dommage de considérer ce film comme un raté, car il contient de magnifiques moments que seul un grand maître peut réussir. Im Kwon-taek utilise comme à son habitude une grande variété de plans, notamment dans les scènes d'action qui explosent brutalement. Sur quelques choix de cadre, il retrouve son sens unique de l'épure.
Score
par Anthony Wong
Après Ivre de femmes et de peintures, Im Kwon-Taek choisit de dénoncer les liens tissés entre chaque groupe social, politique ou même artistique de la Corée du sud des années 50/60. Les personnages, jetés dans le brasier de cette ère chaotique, rythmée par les différents régimes qui les utilisent puis les broient, n'en apparaissent que plus vulnérables. Ambitieux. Trop court. Mais captivant.
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Cornelius Carini
Le contexte historique peut dérouter le spectateur. Mais la beauté de la mise en scène, jouant du mélange entre décors naturels et studio, rend le film fascinant.
Brazil
par Alex Masson
La Pègre n'est qu'une esquisse du grand film qu'il aurait pu être. Les quelques éclats fulgurants qui en subsistent sont captivants mais trop disséminés pour qu'on aie envie de reconstituer le puzzle.
Rock & Folk
par Christophe Lemaire
Découvert en France avec ivre de femme et de peinture, Im Kwon-taek déçoit avec La Pègre. Un film qui, vu son titre, semble lorgner vers la cinquantaine de polars B que l'homme a réalisés depuis le début des années 60. Le réalisateur tente d'intéresser le spectateur aux chamboulements politiques de son pays, mais sans y parvenir. Malgré quelques séquences d'action impressionnantes (...), le film reste incroyablement figé.
Télérama
par Aurélien Férenczi
Im Kwon-taek peine à donner du liant à cette suite de saynètes. Mais il fait preuve d'un sens de la mise en scène affirmé, au service d'un propos ironique : les gangsters sont aussi corrompus que les politiciens, mais au moins eux l'admettent volontiers.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
(...) on peut à nouveau constater à quel point le cinéaste procure à la fois la sensation et la pensée de quelque chose d'impalpable, d'un souffle, d'une forme particulière d'énergie à la fois individuelle et collective, concrète et abstraite (...) La mise en scène dévoile un sens personnel et brillant de l'usage des longs plans au cours d'une narration qui progresse parfois à grands coups d'ellipses temporelles.
TéléCinéObs
Im Kwon-taek se montre particulièrement inspiré en filmant la Corée de sa jeunesse et rompt ici avec le formalisme de ses oeuvres précédentes.
Cahiers du Cinéma
Im (...) montre -pour la première fois- combien l'essor du cinéma coréen au début des sixties est lié au gangstérisme, qu'il condamne tout en prenant acte de son potentiel d'énergie. Au tonus (artistique et sexuel) du peintre d'Ivre... succède ici la violence physique, amorale, des truands, sur laquelle se branchent gestes d'acteurs et de mise en scène.
Chronic'art.com
La Pègre impressionne par cette manière d'avancer tête baissée, morceau après morceau, année après année, sans que rien ne semble pouvoir l'arrêter, comme son héros qui, lycéen, se fait planter un couteau dans la cuisse et poursuit son agresseur jusque chez lui pour lui faire retirer, en guise de vengeance. L'autre en vomit. Cinéma, affaire de gangsters, règne du coup de poing, des coupures nettes. Im Kwon-taek en sait long sur le sujet.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
L'absence d'ellipses, le rapport obsessionnel entre politique et pègre coréennes peuvent dérouter, mais monsieur Im ne voulait pas livrer un "Scarface" local. Son film est un piège, une loupe, un laboratoire. Il y observe plus grand que lui comme un pauvre insecte dans une toile.
Les Inrockuptibles
Le destin d'un petit truand coréen décrit avec un classicisme trivial, réaliste et cruel
MCinéma.com
(...) Il est difficile de suivre les intrigues, baignant dans une histoire politique complexe. Il serait pourtant dommage de considérer ce film comme un raté, car il contient de magnifiques moments que seul un grand maître peut réussir. Im Kwon-taek utilise comme à son habitude une grande variété de plans, notamment dans les scènes d'action qui explosent brutalement. Sur quelques choix de cadre, il retrouve son sens unique de l'épure.
Score
Après Ivre de femmes et de peintures, Im Kwon-Taek choisit de dénoncer les liens tissés entre chaque groupe social, politique ou même artistique de la Corée du sud des années 50/60. Les personnages, jetés dans le brasier de cette ère chaotique, rythmée par les différents régimes qui les utilisent puis les broient, n'en apparaissent que plus vulnérables. Ambitieux. Trop court. Mais captivant.
Zurban
Le contexte historique peut dérouter le spectateur. Mais la beauté de la mise en scène, jouant du mélange entre décors naturels et studio, rend le film fascinant.
Brazil
La Pègre n'est qu'une esquisse du grand film qu'il aurait pu être. Les quelques éclats fulgurants qui en subsistent sont captivants mais trop disséminés pour qu'on aie envie de reconstituer le puzzle.
Rock & Folk
Découvert en France avec ivre de femme et de peinture, Im Kwon-taek déçoit avec La Pègre. Un film qui, vu son titre, semble lorgner vers la cinquantaine de polars B que l'homme a réalisés depuis le début des années 60. Le réalisateur tente d'intéresser le spectateur aux chamboulements politiques de son pays, mais sans y parvenir. Malgré quelques séquences d'action impressionnantes (...), le film reste incroyablement figé.
Télérama
Im Kwon-taek peine à donner du liant à cette suite de saynètes. Mais il fait preuve d'un sens de la mise en scène affirmé, au service d'un propos ironique : les gangsters sont aussi corrompus que les politiciens, mais au moins eux l'admettent volontiers.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com