Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
3 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
En ces temps de colère et de haine, et sans rien celer de ce qui est en train de se passer, James Blue accomplit le prodige d'une dés-hystérisation des perceptions et des relations. (...) Saturé par les réalités du drame algérien, Les Oliviers de la justice, grâce à sa tenue, en devient à la fois le plus beau témoignage dont ait été capable le cinéma, et dépasse cet état pour se redéfinir comme tragédie.
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) il ne faut pas réduire Les Oliviers de la justice à l'immense charge de réalité que le film porte (...) Confronté à des acteurs non professionnels pour la plupart, Blue en tire un parti intéressant, s'attardant sur des visages muets, réfrénant l'exubérance que l'on sent chez certains. Le thème funèbre du scénario trouve un écho formel dans la gravité des dialogues, dans la violence contenue des échanges.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Samuel Douhaire
Réalisée dans un style quasi documentaire "au milieu des bruits et de l'agitation de la ville", cette fiction sur un jeune pied-noir qui retourne à Bab-el-Oued alors que son père agonise est un témoignage précieux sur l'Algérie lors des derniers mois de ce que l'on appelait encore les "événements".
Cahiers du Cinéma
En ces temps de colère et de haine, et sans rien celer de ce qui est en train de se passer, James Blue accomplit le prodige d'une dés-hystérisation des perceptions et des relations. (...) Saturé par les réalités du drame algérien, Les Oliviers de la justice, grâce à sa tenue, en devient à la fois le plus beau témoignage dont ait été capable le cinéma, et dépasse cet état pour se redéfinir comme tragédie.
Le Monde
(...) il ne faut pas réduire Les Oliviers de la justice à l'immense charge de réalité que le film porte (...) Confronté à des acteurs non professionnels pour la plupart, Blue en tire un parti intéressant, s'attardant sur des visages muets, réfrénant l'exubérance que l'on sent chez certains. Le thème funèbre du scénario trouve un écho formel dans la gravité des dialogues, dans la violence contenue des échanges.
Libération
Réalisée dans un style quasi documentaire "au milieu des bruits et de l'agitation de la ville", cette fiction sur un jeune pied-noir qui retourne à Bab-el-Oued alors que son père agonise est un témoignage précieux sur l'Algérie lors des derniers mois de ce que l'on appelait encore les "événements".