Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Brazil
par Caroline Vié
Le film d'Edmond Bensimon vaut surtout pour la prestation de Gerard Darmon, épatant en pochetron d'anthologie, fan d'Aznavour. Cette chronique bourrée de bonnes idées et de bons sentiments permet aussi de retrouver Damien Jouillerot, révélation des Fautes d'orthographe
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Alain Riou
Une idée un peu folle qui devient, par la magie du verbe et de Darmon, une oeuvre originale, très inégale mais riche en moments d'extravagance ou de grâce, qui font presque penser à un Pagnol du Nord.
Elle
par Elisabeth Quin
Vous avez dit caricatural ? Les pâersonnages sont là pour faire valoir l'Aznavourolâtre Gérard Darmon qui s'en donne à coeur joie pendant plus d'une heure trente. C'est le charme ou la limite de ce road-movie (...) : il faut vraiment aimer Darmon et Aznavour.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Cette drôle de bande, convertie par le tonitruant et pathétique Jean-Claude, à coups de petits blancs secs, au culte aznavourien, se met donc en marche selon un scénario d'une aimable désuétude. Servi par des acteurs qui y vont franco de port, le voyage connaît à l'occasion quelques moments d'anthologie.Résultat : tout sauf un chef-d'oeuvre, mais le film le plus insouciant du moment.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Rémy Batteault et Camille Brun
(...) le scénario, attachant avec ses répliques régulièrement drôles, ne fait pas toujours dans la dentelle et le trait est parfois un peu gros. Heureusement, il nous reste le festival que nous offre Gérard Darmon qui donne de la chair à ce personnage, looser attendrissant, capable de donner des lectures surprenantes de chansons de son dieu.
Télérama
par Pierre Murat
Même si les personnages sont typés, si Gérard Darmon charge un max, surtout dans les scènes fantasmées où il interprète (pas mal, d'ailleurs) quelques chansons du Maître, c'est la sympathie qui l'emporte. Dans ses meilleurs moments, le film fait songer à la comédie italienne de jadis, entre émotion et ficelles, sentimentalisme et picaresque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Pierre Langlais
Road-movie des pavés, portrait de paumés et hommage à Aznavour, le premier film d'Edmond Bensimon est indiscutablement sympathique, attachant, car il dégage une sincérité brute. Pas de quoi aller au bout de la terre, mais jusqu'au cinéma, pourquoi pas !
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
L'idée de malade n'étant pas de marcher de Roubaix à Paris pour donner de l'amour à Aznavour, mais de croire qu'il y a là un sujet de film.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Ouest France
par La Rédaction
Le ton est donné dès la première séquence, un interminable plan fixe de caméra-vidéo qui s'attarde sur une déclaration de Jean-Claude. Des images qui font tâche sur le grand écran du cinéma, parce que le recours à la vidéo, si utile pour qui manque de fonds financiers ne peut rien pour qui est dépourvu de fond narratif.
Positif
par Gregory Valens
(...) un calvaire qui semble durer trois fois ses cent minutes.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Passages chantés inappropriés, regard discutable sur les pauvres, plans séquences interminables...
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Olivier Pélisson
(...) Ce road-movie Roubaix-Paris reste bloqué sur la ligne de départ. La poésie et le ton décalés ne fonctionnent pas. La faute à une idée originale gâchée par un scénario creux, des situations sans épaisseur et des dialogues insipides.
Brazil
Le film d'Edmond Bensimon vaut surtout pour la prestation de Gerard Darmon, épatant en pochetron d'anthologie, fan d'Aznavour. Cette chronique bourrée de bonnes idées et de bons sentiments permet aussi de retrouver Damien Jouillerot, révélation des Fautes d'orthographe
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Une idée un peu folle qui devient, par la magie du verbe et de Darmon, une oeuvre originale, très inégale mais riche en moments d'extravagance ou de grâce, qui font presque penser à un Pagnol du Nord.
Elle
Vous avez dit caricatural ? Les pâersonnages sont là pour faire valoir l'Aznavourolâtre Gérard Darmon qui s'en donne à coeur joie pendant plus d'une heure trente. C'est le charme ou la limite de ce road-movie (...) : il faut vraiment aimer Darmon et Aznavour.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Cette drôle de bande, convertie par le tonitruant et pathétique Jean-Claude, à coups de petits blancs secs, au culte aznavourien, se met donc en marche selon un scénario d'une aimable désuétude. Servi par des acteurs qui y vont franco de port, le voyage connaît à l'occasion quelques moments d'anthologie.Résultat : tout sauf un chef-d'oeuvre, mais le film le plus insouciant du moment.
MCinéma.com
(...) le scénario, attachant avec ses répliques régulièrement drôles, ne fait pas toujours dans la dentelle et le trait est parfois un peu gros. Heureusement, il nous reste le festival que nous offre Gérard Darmon qui donne de la chair à ce personnage, looser attendrissant, capable de donner des lectures surprenantes de chansons de son dieu.
Télérama
Même si les personnages sont typés, si Gérard Darmon charge un max, surtout dans les scènes fantasmées où il interprète (pas mal, d'ailleurs) quelques chansons du Maître, c'est la sympathie qui l'emporte. Dans ses meilleurs moments, le film fait songer à la comédie italienne de jadis, entre émotion et ficelles, sentimentalisme et picaresque.
aVoir-aLire.com
Road-movie des pavés, portrait de paumés et hommage à Aznavour, le premier film d'Edmond Bensimon est indiscutablement sympathique, attachant, car il dégage une sincérité brute. Pas de quoi aller au bout de la terre, mais jusqu'au cinéma, pourquoi pas !
Cahiers du Cinéma
L'idée de malade n'étant pas de marcher de Roubaix à Paris pour donner de l'amour à Aznavour, mais de croire qu'il y a là un sujet de film.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Ouest France
Le ton est donné dès la première séquence, un interminable plan fixe de caméra-vidéo qui s'attarde sur une déclaration de Jean-Claude. Des images qui font tâche sur le grand écran du cinéma, parce que le recours à la vidéo, si utile pour qui manque de fonds financiers ne peut rien pour qui est dépourvu de fond narratif.
Positif
(...) un calvaire qui semble durer trois fois ses cent minutes.
Première
Passages chantés inappropriés, regard discutable sur les pauvres, plans séquences interminables...
Zurban
(...) Ce road-movie Roubaix-Paris reste bloqué sur la ligne de départ. La poésie et le ton décalés ne fonctionnent pas. La faute à une idée originale gâchée par un scénario creux, des situations sans épaisseur et des dialogues insipides.