Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Quatre petits bijoux de dessins animés venus d'Iran. Pour les enfants gourmets.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Florence Colombani
"Le Retour", sans doute le plus touchant, décrit avec force le sentiment d'injustice en montrant un corbeau affamé fasciné par des oiseaux domestiques bien au chaud dans leurs cages. Dans un ensemble de très bonne tenue, ce film de Vadjiollah Fard Moghadam se distingue aussi par sa beauté délicate.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Michel Roudevitch
Les tout-petits observeront avec attention et émotion les pérégrinations et métamorphoses des multiples acteurs de la faune et de la flore (un corbeau, une pomme, une chenille, un boeuf...) au gré des quatre saisons. Quatre histoires sans paroles mais non sans résonances, empruntant parfois leurs textures, couleurs et entrelacs aux broderies d'un tapis persan.
Ouest France
par La Rédaction
Pour les petits, une esthétique venue d'ailleurs, et quelques bons préceptes éducatifs sur le monde dans lequel ils grandissent.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Quatre jolies notes de fraîcheur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
L'inégale vitalité de l'animation iranienne, oscillant entre le rudimentaire et l'ésotérique. Pour enfants de 4 à 10 ans.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Quatre dessins animés venus d'Iran qui mettent en scène des animaux, avec plus ou moins de bonheur.Exécutés dans un style très pictural, parfois naïf, ces courts métrages animaliers restent étrangers à l'anthropomorphisme occidental.
Première
par Alexis Trosset
On retiendra surtout Le Retour, qui relate l'histoire d'un corbeau sauvage à ce point frigorifié qu'il fera tout pour se faire capturer et placer dans une cage douillette.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Yasmine Youssi
Ces très courtes histoires s'adressent davantage aux parents qu'à leurs enfants qui risquent de ne pas comprendre grand-chose à ces contes métaphysiques.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Quatre petits bijoux de dessins animés venus d'Iran. Pour les enfants gourmets.
Le Monde
"Le Retour", sans doute le plus touchant, décrit avec force le sentiment d'injustice en montrant un corbeau affamé fasciné par des oiseaux domestiques bien au chaud dans leurs cages. Dans un ensemble de très bonne tenue, ce film de Vadjiollah Fard Moghadam se distingue aussi par sa beauté délicate.
Libération
Les tout-petits observeront avec attention et émotion les pérégrinations et métamorphoses des multiples acteurs de la faune et de la flore (un corbeau, une pomme, une chenille, un boeuf...) au gré des quatre saisons. Quatre histoires sans paroles mais non sans résonances, empruntant parfois leurs textures, couleurs et entrelacs aux broderies d'un tapis persan.
Ouest France
Pour les petits, une esthétique venue d'ailleurs, et quelques bons préceptes éducatifs sur le monde dans lequel ils grandissent.
TéléCinéObs
Quatre jolies notes de fraîcheur.
Télérama
L'inégale vitalité de l'animation iranienne, oscillant entre le rudimentaire et l'ésotérique. Pour enfants de 4 à 10 ans.
L'Humanité
Quatre dessins animés venus d'Iran qui mettent en scène des animaux, avec plus ou moins de bonheur.Exécutés dans un style très pictural, parfois naïf, ces courts métrages animaliers restent étrangers à l'anthropomorphisme occidental.
Première
On retiendra surtout Le Retour, qui relate l'histoire d'un corbeau sauvage à ce point frigorifié qu'il fera tout pour se faire capturer et placer dans une cage douillette.
Zurban
Ces très courtes histoires s'adressent davantage aux parents qu'à leurs enfants qui risquent de ne pas comprendre grand-chose à ces contes métaphysiques.