Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Sur la trame initiatique, Baier multiplie les fausses pistes, les identifications qui ne prennent pas (...). C'est par cette série de micropropositions jamais érigées en dispositif que le film séduit, davantage que par lé réputation de relève pseudo-sulfureuse qu'il s'est taillée en Suisse.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Gérard Lefort
Loïc est comme un Emile pédé (Pierre Chatagny fait bien l'affaire) dont le réalisateur scrute la "stupidité", comme Loïc lui-même épie ses proches ou un footballeur, sa fixation du moment : sur la pointe des pieds, dans un état de grande sidération.
Première
par Christophe Narbonne
Baier s'intéresse aux conflits (...) et questionne le désir avec un sens aigu de la mise en scène, comme l'atteste l'utilisation avisée du split screen.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Une sorte d'initiation, dérisoire et touchante, évoquant les romans d'apprentissage de jadis. On a droit, de temps à autre, à quelques afféteries (la toute, toute fin très (trop) " chabadabada "). Mais le regard de Lionel Baier, et c'est beaucoup, reste constamment droit et juste sur les gens et le monde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
On éprouve quelque difficulté à entrer dans ce film, où l'ellipse est érigée en règle, où l'on nage dans le non-dit et la suggestion. Cela se complique avec le procédé du " split screen ", utilisé pour faire de l'humour (assez lourd), avec des séquences oniriques, et des partis pris injustifiés (...). Un premier film à la fois spontané et indécis.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le dispositif, caméra DV, scènes de sexe -explicites- sur un écran découpé, filmage direct, crée un objet bizarre, étrangement attachant, (...) même si sur la fin les coups de force du scénario lui font perdre son intensité. En effet, le portrait de ce garçon "qui baise tout le monde pour n'aimer personne" retient l'attention.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Cela pourrait être insupportable et totalement dénué d'intérêt, mais la mise en scène est brillante et l'acteur principal, Pierre Chatagny, est tout à fait convaincant.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Les scènes de cul sont assez franches et crues -c'est l'aspect le plus réussi-, mais le film s'embourbe peu à peu. C'est moins le filmage au jugé, souvent (toujours ?) en vidéo, qui gêne, que la manière dont le cinéaste prend ses distances avec son sujet et son héros "stupide".
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
La seconde partie du film, entre rêve éveillé et fuite en avant, est moins réussie, mais ce parcours initiatique vaut la peine qu'on s'y attarde.
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Emmanuel Luc
La spontanéité du jeune homme et la liberté avec laquelle sont abordées les scènes de sexe (...) contrastent ensuite avec la mise en place de situations dramatiques qui paraissent, elles, très fausses et très écrites. Dommage pour le garçon du titre.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Eric Quéméré
L'esthétique de Garçon Stupide emprunte (...) au genre documentaire (...). Un brouillage des pistes également présent dans la manière dont le film mêle les registres, de la comédie au mélo. Il devient du coup difficile déceler le véritable point de vue du réalisateur sur son étonnant protagoniste.
Cinéastes
par Mathieu Lecocq
Garçon stupide s'ajoute à la liste des films qui, pendant une très longue heure et demie, nous donnent la sordide impression de voir un journaliste du JT de France 3 s'essayer à la fiction.En effet, Lionel Baier, se contentant d'une image ne manquant pas d'évoquer le betacam, format vidéo cher au petit écran, et refusant ferme d'utiliser un pied de caméra (...), parvient plusieurs fois à approcher la fadeur de nos reportages télévisuels quotidiens.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Le Monde
par Florence Colombani
(...) la réflexion ne va pas bien loin (...) le film a parfois des allures de reportage de l'émission "Strip-tease": une tranche de vie peu reluisante, un arrière-plan de crise socio-économique et surtout des personnages réduits à une série d'activités mécaniques auxquels il devient vite difficile de s'intéresser.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Un propos qui peine à trouver sa pertinence car englué dans la répétition d'images et de scènes hardies.
Cahiers du Cinéma
Sur la trame initiatique, Baier multiplie les fausses pistes, les identifications qui ne prennent pas (...). C'est par cette série de micropropositions jamais érigées en dispositif que le film séduit, davantage que par lé réputation de relève pseudo-sulfureuse qu'il s'est taillée en Suisse.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Loïc est comme un Emile pédé (Pierre Chatagny fait bien l'affaire) dont le réalisateur scrute la "stupidité", comme Loïc lui-même épie ses proches ou un footballeur, sa fixation du moment : sur la pointe des pieds, dans un état de grande sidération.
Première
Baier s'intéresse aux conflits (...) et questionne le désir avec un sens aigu de la mise en scène, comme l'atteste l'utilisation avisée du split screen.
Télérama
Une sorte d'initiation, dérisoire et touchante, évoquant les romans d'apprentissage de jadis. On a droit, de temps à autre, à quelques afféteries (la toute, toute fin très (trop) " chabadabada "). Mais le regard de Lionel Baier, et c'est beaucoup, reste constamment droit et juste sur les gens et le monde.
L'Humanité
On éprouve quelque difficulté à entrer dans ce film, où l'ellipse est érigée en règle, où l'on nage dans le non-dit et la suggestion. Cela se complique avec le procédé du " split screen ", utilisé pour faire de l'humour (assez lourd), avec des séquences oniriques, et des partis pris injustifiés (...). Un premier film à la fois spontané et indécis.
L'Obs
Le dispositif, caméra DV, scènes de sexe -explicites- sur un écran découpé, filmage direct, crée un objet bizarre, étrangement attachant, (...) même si sur la fin les coups de force du scénario lui font perdre son intensité. En effet, le portrait de ce garçon "qui baise tout le monde pour n'aimer personne" retient l'attention.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Cela pourrait être insupportable et totalement dénué d'intérêt, mais la mise en scène est brillante et l'acteur principal, Pierre Chatagny, est tout à fait convaincant.
Les Inrockuptibles
Les scènes de cul sont assez franches et crues -c'est l'aspect le plus réussi-, mais le film s'embourbe peu à peu. C'est moins le filmage au jugé, souvent (toujours ?) en vidéo, qui gêne, que la manière dont le cinéaste prend ses distances avec son sujet et son héros "stupide".
MCinéma.com
La seconde partie du film, entre rêve éveillé et fuite en avant, est moins réussie, mais ce parcours initiatique vaut la peine qu'on s'y attarde.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
La spontanéité du jeune homme et la liberté avec laquelle sont abordées les scènes de sexe (...) contrastent ensuite avec la mise en place de situations dramatiques qui paraissent, elles, très fausses et très écrites. Dommage pour le garçon du titre.
Zurban
L'esthétique de Garçon Stupide emprunte (...) au genre documentaire (...). Un brouillage des pistes également présent dans la manière dont le film mêle les registres, de la comédie au mélo. Il devient du coup difficile déceler le véritable point de vue du réalisateur sur son étonnant protagoniste.
Cinéastes
Garçon stupide s'ajoute à la liste des films qui, pendant une très longue heure et demie, nous donnent la sordide impression de voir un journaliste du JT de France 3 s'essayer à la fiction.En effet, Lionel Baier, se contentant d'une image ne manquant pas d'évoquer le betacam, format vidéo cher au petit écran, et refusant ferme d'utiliser un pied de caméra (...), parvient plusieurs fois à approcher la fadeur de nos reportages télévisuels quotidiens.
Le Monde
(...) la réflexion ne va pas bien loin (...) le film a parfois des allures de reportage de l'émission "Strip-tease": une tranche de vie peu reluisante, un arrière-plan de crise socio-économique et surtout des personnages réduits à une série d'activités mécaniques auxquels il devient vite difficile de s'intéresser.
Ouest France
Un propos qui peine à trouver sa pertinence car englué dans la répétition d'images et de scènes hardies.