Un très bon film bien sympa avec beaucoup d'amour et d humour le jeux doutey dujardin est grandiose avec un Gérard jugnot fort apprecial un tres bon divertissement en famille ;)
Le film ne manque pas de panache ni de rythme. Les comédiens s'en sortent bien dans ce film en costume mais je pense qu'un peu d'action aurait été bienvenue avec les intrigues amoureuses. On a envie de voir Dujardin s'élancer sur son cheval à la poursuite d'un voleur et combattre à l'épée; mais il a l'énergie et la verve qui convient. En cela la seconde partie au château est mieux, étonnamment avec un Jugnot un peu en retrait. C'est pas mal
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2,5
Publiée le 8 octobre 2015
Un scènario adaptè de la pièce èponyme d'Alfred de Musset pour une comèdie qui s'avère pètillante et joliment enlevèe! "il ne faut jurer de rien" (le titre du film est parfaitement justifiè) se dèroule dans le Paris du XIXème siècle où se joue le destin du pays! Jean Dujardin campe un jeune libertin attachant et misogyne notoire et son oncle (Gèrard Jugnot), un commerçant qui cherche à grimper sur l'èchelle sociale, et qui veut la marier à la rayonnante Mèlanie Doutey, une fille de baronne! Mais l'insolent Dujardin refuse cette union et propose un dèfi! Un dèfi qui s'avèrera plus complexe qui n'y paraît mais ce n'est pas l'enchaînement des èvènements qui fait la force de l'histoire, c'est le rythme enlevè sur lequel le cinèaste Eric Civanyan joue sa partition et revisite dans une très belle reconstitution le film d'èpoque! Un joyeux divertissement à la française...
En réponse à Guillaume_D: Jean Dujardin sait très bien choisir ses films sinon il n'en serait pas à ce niveau de notoriété. Mariages est un très bon film, tout comme Le Convoyeur ou encore Toutes les filles sont folles. Même Brice de Nice est une excellente comédie qui gagne le pari de faire rire un public blasé par toutes les niaiseries françaises qu'on nous propose dans ce domaine: Nos amis les flics, Les Visiteurs 2, Le Libertain, Astérix et tant de films qui, depuis une dizaine d'années, n'ont pas porté très haut les couleurs françaises. Bref, Jean Dujardin, sans exagérer, représente pour moi LE comique français qui marque sa génération, tel un Pierre Richard ou un Coluche. Aujourd'hui, c'est un fait, les gens disent: "un film avec Dujardin? ça risque d'être très drôle, je vais le voir!". Or, rares sont devenus les films portés par le seul nom d'un acteur ou un casting prestigieux (ex très récent: Les Ames Grises). Les gens ne vont plus voir "le film avec" telle vedette, mais plutôt "le film de" ou "le film tiré de". Donc dans un monde où les gens préfèrent voir des remakes de ceci ou cela, où les premières places du top 50 sont toutes occupées par des reprises, réjouissons nous du retour de la tendance "je vais voir ce film pour la star qu'il y a dedans". Jean Dujardin est un grand, en passe de devenir un très Grand, et pourquoi pas une légende du cinéma de genre. (Et je n'ai bossé pour aucun de ses films).
Un film fort sympathique, léger et qui ne se prend pas du tout au sérieux. Les personnages sont agréables et attachants et le côté théâtral est bien concervé tout en respectant les normes du cinéma.
Une très bonne surprise de l'année 2005. Sortie dans le quasi anonymat, cette production a cependant tous les atouts pour faire référence dans le flot d'adaptation de pièces de théâtres des auteurs classiques. Bourrée d'humour, d'esprit et d'audace, cette réalisation d'Eric Civanyan est une franche réussite. Enlevée, souvent brillante, cette comédie est l'occasion pour Mélanie Doutey de faire étalage de tout son talent. Aux côté de Jean Dujardin et de Gérard Jugnot, qui forment un duo assez complémentaire, la comédienne prouve, dans le registre de la comédie, qu'il faut désormais compter sur elle.
Merci pour lui et pour le cinéma français en général, Jean Dujardin a un jour rencontré Michel Hazanavicius qui le fera jouer dans une des meilleurs comédies française de tout les temps (OSS 117 au Caire et à Rio) et dans un film muet noir et blanc (The Artist (2011)) qui consacrera l’acteur français au niveau mondial. Parce que Jean Dujardin, sans cette rencontre, aurait pu toute sa carrière gâcher son talent dans ce genre de films qu’est Il ne faut jurer de rien.
En même temps, je ne m’attendais à rien de moins au vu de la tête joufflue de Gérard Jugnot et celle bécasse de Mélanie Doutey. Un rapide coup d’oeil plein d’espoir sur le nom du réalisateur ne changera rien, Eric Civanyan, illustre réalisateur en provenance de la télévision, ayant à son actif quelques episodes de avocats et associés, l’amour aller-retour avec Garou ou encore une nounou pas comme les autres avec Mimi Mathy… Ghetto quoi!
Bon et puis voilà… On se lance… On presse "play"… Et la daube est là… Devant vous… Entrain de tomber dans tous les clichés de la daube, comme seule une vraie daube sait le faire. En fait on a l’impression que les mecs ont voulu faire un film sérieux, hyper bien foutu, en s’appliquant bien à se renseigner sur wikipédia à propos de l’époque durant laquelle le film se déroule, avec un petit côté politique et (oulala!) engagé. Ma théorie serait qu’à la fin du montage, les mecs se soient dit: "Putain les gars c’est une vraie merde qu’on vient de chier là, faut absolument faire passer ça pour une comédie ou on va se faire lyncher…" Et voilà le drame historique rangé dans la rubrique comédie.
Or à défaut d’être une bonne comédie, Il ne faut jurer de rien est une excellente parodie. C’est tellement mauvais, qu’au début on ne peut que se tordre devant tel spectacle. Au début du moins… Ensuite on ne rigole plus mais on vomit plutôt sur le crâne de Jugnot et sur ce film qui pue la vieille comédie française à deux sous. C’est en dessous de tout, rien à sauver et surtout mal au coeur de voir Jean Dujardin là dedans… A se demander comment des mecs comme Eric Gnangnan peuvent avoir le droit de faire du cinéma et comment on peut sortir ce film en salle? A côté, un film comme Mais qui a frappé? (2009) des Productions Kajapcs ( à voir absolument), aurait amplement mérité d’être distribué dans la plupart des cinémas de France… Mais que voulez-vous! Un jour les "vrais", les mecs du ghetto prendront le contrôle et on enverra les types qui ont fait ça en prison, à leur place.
Voilà donc juste pour vous dire que si vous avez l’occasion un jour de ne pas regarder Il ne faut jurer de rien, faites le! Dès que vous avez 1h30 à tuer, essayez de ne pas le voir!
Il ne faut jurer de rien... Pourtant j’aurais juré m’être emmerdé comme un rat mort ! Des costumes d’opérette, des décors en carton-pâte, un scénario d’un intérêt très limité, bref une sorte de « Chevalier de Pardaillec » (clin d’oeil aux Inconnus-maniacs), mais en moins drôle... et le talentueux Jean Dujardin et la belle Mélanie Doutey (l'étoile c'est juste pr elle...) n’y changent rien. Y a pas à dire : VIVE LE CINÉMA FRRRANÇAIS !!!
Jean Dujardin, c'est comme les chips. C'est super, mais y'a un moment, ça suffit. Là ça suffit ! malgré une amusante référence à deniro, qui n'effacera pas la bebelisation de brice, ce film est vide. Jugnot ? absent . La fille ? sympathique bien qu'inutile. Ce film, c'est comme un paquet de chips ouvert depuis trop longtemps qui traine par terre. Pourquoi pas, mais avec un bon film alors.
Porté par d'excellents comédiens,ce film revisite la pièce de Musset . Ne connaissant pas la pièce c'est donc sans a priori que j'ai vu ce film. Les personnages sont délicieusement provocateurs, amoureux, naïfs, séducteurs, qui est qui ? On échafaude des suppositions, on suppose le pire, et même si la fin est finalement convenue, on doute d'y arriver jusqu'au dernier moment.
LE PARI. On met du rythme pour gommer les lacunes du scénario et de la mise en scène. Pour cultiver son jardin on remplace notre Bebel national par son nouveau sosie, Jean. Le guignolo, le trublion, la jolie prétendante et le tour est joué. Fontaine je ne boirai pas de ton eau.