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(critique cannoise) Chaque territoire que défriche Don est (...) un mini-film dont on explore avec émerveillement les règles, les codes de jeu et de mise en scène. A Bill Murray de s'adapter sans s'y diluer, à Jarmusch d'y capter une drôlerie, une émotion, un état, un style. Grand tisseur beat et béat, le cinéaste laisse s'entrecroiser chaque fragment d'information sur l'état émotionnel de Don, laissant psychologie et flash-back au placard.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Tout est drôle sur le moment et, dans le fond, tout est déchirant. C'est la touche Jarmush : dignité dans le désarroi, humour dans le désespoir. Bill Muet est un peu le Takeshi Kitano américain (...) quand il lève un sourcil, c'est degré 8 sur l'échelle de Richter. Irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site Elle
(critique cannoise) (...) un road movie soigneusement calibré, qui retrouve le principe du film à sketches, genre dans lequel Jarmusch est passé maître (...) Jim Jarmusch y déploie avec un talent intact son proverbial sens de l'humour froid, pince-sans-rire (...) Mais, au-delà, une fois de plus, un homme se penche sur son passé (...)
(critique cannoise) (...) comme d'autres s'y entendent en bons vins, Jarmusch s'y connaît en êtres humains. Il a le goût des gens mélancoliques, étouffés par la solitude de la vie moderne. Il sait, avec une élégance discrète, inscrire leurs silhouettes dans un paysage, dire tout de leur existence en captant juste un instant, suggérer une atmosphère (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) Broken Flowers est un road-movie sentimental doux-amer qui doit son charme persistant à ses actrices, à ses acteurs, un humour qui a toujours la politesse de se faire discret, à sa manière de raconter les choses en sourdine, de parler autant par les silences et l'intériorité que par la parole et les actes.
(critique cannoise) L'intelligence de Broken Flowers est d'aborder ce thème par le rire, grâce à des dialogues hilarants, des acteurs divins et un décalage permanent. Mais sous la comédie coule une rivière de tristesse (...) Une oeuvre drôle, poétique, profonde. Un plaisir délicat dont on aimerait se délecter infiniment.
(...) Broken flowers est un chef d'oeuvre d'humour désenchanté (...) Escalier pourvu de nombreux paliers psychologiques, ce film sobre et brillant nous interroge sur l'amour, le temps qui passe, la paternité...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
(critique cannoise) La simplicité du programme, relayée par la fluidité parfaite de la réalisation (...) fait de Broken flowers le film le plus limpide de Jarmusch (...) chaque maîtresse retrouvée est un spectacle en soi. Mais, tandis que l'énigme de la filiation se creuse, sur fond de burlesque flegmatique, le film révèle sans la dire sa tristesse abyssale.
Tranquille, supercool, Broken Flowers est un film de la perte du monde, la mise en forme soyeuse et élégamment souriante d'une déliaison. L'homme parti sur la barque des morts est encore bien loin du port. Du moins sait-il nous donner avec grâce de ses nouvelles, même si elles sont mauvaises.
(...) Une comédie romantique douce-amère pleine de charme et d'humour décalé, une variation plutôt réussie sur le thème du donjuanisme blasé avec un Bill Murray impeccable, aussi perdu et irrésistible en Amérique que dans le Tokyo de Sofia Coppola (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Calme et introspectif, Broken Flowers est un bon Jarmusch. C'est-à-dire qu'une vraie ambiance naît de la mise en scène soignée (...) Un brin caricatural par certains aspects, l'humour très pince-sans-rire contenu dans le tableau n'en est pas moins savoureux.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Jim Jarmush, qui revient à l'écran avec cette comédie de haute volée, fait valoir au mieux le talent [de] Bill Murray (...) La série de " caractères " que Jarmusch met en scène bénéficie de son approche subtile, d'un sens de l'humour à froid qui jamais ne détonne.
Après cette reddition face à la douleur, (...) Jarmusch et son interprète ont laissé les émotions s'infiltrer. Finalement, le cinéaste et la vedette n'ont pas pu s'empêcher de se laisser prendre au piège de la mélancolie, plus doux et plus subtil que celui de la nostalgie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le constat pourrait être amer et désabusé, Jim Jarmusch a le joli doigté qui le rend drôle, et léger. Ses fleurs sont peut-être brisées, mais elles dégagent un parfum d'une savoureuse délicatesse.
Sur fond d'affro-jazz relaxant et de plans fixes étirés à l'extrême, Jarmush installe une atmosphère zen, presque surréelle, qui plonge le spectateur dans une hébétude complice. A travers ces rencontres, Jarmusch propose quatre visages de l'Amérique (...) qui traduisent à l'évidence un désarroi profond.
La critique complète est disponible sur le site Première
(critique cannoise) Bill Murray donne une leçon de jeu minimaliste (...) Jarmusch signe un film nettement plus grand public que les précédents, en faisant appel à d'excellents comédiens qui sont au service d'une histoire accessible.
Malgré une construction prévisible et un rythme languissant, on est peu à peu happés par la mélancolie de cet homme à la recherche du temps perdu. Et intrigués par un épilogue audacieux qui refuse tout sentimentalisme.
(critique cannoise) Constamment, sous l'humour des situations (...) on peut lire un deuxième film, pus inquiet, sur la fuite du temps (...) Sans doute pas le meilleur Jarmusch (on peut préférer Dead man ou Ghost dog), mais une savoureuse comédie, délicieusement mélancolique.
Une suite de solos (...) souvent drôles et parfois touchants, mais qui ne dissipe pas la frustration qu'inspire depuis trop longtemps (...) un cinéaste toujours attachant, mais qui semble avoir du mal à s'arrêter sur une partition qui lui paraisse en valoir la peine.
(critique cannoise) Broken Flowers est un film parfaitement séduisant, mais comme ces séducteurs impénitents, un peu légers et anodins, qui ne savent plus comment s'investir dans une histoire et, en fait, n'y tiennent surtout pas. Ce film file entre les mains, se replie sur son propre système.
Ici, pas d'intrigue malade ne tenant pas debout, juste une historiette édifiante qui permet à l'auteur de Stranger than paradise de se remettre sur le chemin de son lopin de cinéma. Plaisant.
La critique complète est disponible sur le site Score
(critique cannoise) Avec Broken flowers, Jarmusch ne devrait plus être cantonné aux salles art et essai, mais ses admirateurs s'interrogeront sur l'aspect conventionnel du film. Nous sommes conviés à une promenade agréable et superficielle, à travers des vignettes délicieuses mais qui ne semblent mener nulle part.
(...) Ce Jarmusch se révèle relativement mineur dans une filmographie habituée à un standard très élevé. La déception vient essentiellement de la rencontre entre Bill Murray (...) et le cinéaste qu'on aurait souhaité plus corrosive.
Chronic'art.com
(critique cannoise) Chaque territoire que défriche Don est (...) un mini-film dont on explore avec émerveillement les règles, les codes de jeu et de mise en scène. A Bill Murray de s'adapter sans s'y diluer, à Jarmusch d'y capter une drôlerie, une émotion, un état, un style. Grand tisseur beat et béat, le cinéaste laisse s'entrecroiser chaque fragment d'information sur l'état émotionnel de Don, laissant psychologie et flash-back au placard.
Elle
Tout est drôle sur le moment et, dans le fond, tout est déchirant. C'est la touche Jarmush : dignité dans le désarroi, humour dans le désespoir. Bill Muet est un peu le Takeshi Kitano américain (...) quand il lève un sourcil, c'est degré 8 sur l'échelle de Richter. Irrésistible.
L'Humanité
(critique cannoise) (...) un road movie soigneusement calibré, qui retrouve le principe du film à sketches, genre dans lequel Jarmusch est passé maître (...) Jim Jarmusch y déploie avec un talent intact son proverbial sens de l'humour froid, pince-sans-rire (...) Mais, au-delà, une fois de plus, un homme se penche sur son passé (...)
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
(critique cannoise) (...) comme d'autres s'y entendent en bons vins, Jarmusch s'y connaît en êtres humains. Il a le goût des gens mélancoliques, étouffés par la solitude de la vie moderne. Il sait, avec une élégance discrète, inscrire leurs silhouettes dans un paysage, dire tout de leur existence en captant juste un instant, suggérer une atmosphère (...)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) Broken Flowers est un road-movie sentimental doux-amer qui doit son charme persistant à ses actrices, à ses acteurs, un humour qui a toujours la politesse de se faire discret, à sa manière de raconter les choses en sourdine, de parler autant par les silences et l'intériorité que par la parole et les actes.
Libération
Jim Jarmusch revient avec "Broken Flowers", film doux-amer, bijou désenchanté et minimaliste dénonçant la vacuité d'une société sous vide.
MCinéma.com
(critique cannoise) L'intelligence de Broken Flowers est d'aborder ce thème par le rire, grâce à des dialogues hilarants, des acteurs divins et un décalage permanent. Mais sous la comédie coule une rivière de tristesse (...) Une oeuvre drôle, poétique, profonde. Un plaisir délicat dont on aimerait se délecter infiniment.
Paris Match
(...) Broken flowers est un chef d'oeuvre d'humour désenchanté (...) Escalier pourvu de nombreux paliers psychologiques, ce film sobre et brillant nous interroge sur l'amour, le temps qui passe, la paternité...
Télérama
(critique cannoise) La simplicité du programme, relayée par la fluidité parfaite de la réalisation (...) fait de Broken flowers le film le plus limpide de Jarmusch (...) chaque maîtresse retrouvée est un spectacle en soi. Mais, tandis que l'énigme de la filiation se creuse, sur fond de burlesque flegmatique, le film révèle sans la dire sa tristesse abyssale.
Cahiers du Cinéma
Tranquille, supercool, Broken Flowers est un film de la perte du monde, la mise en forme soyeuse et élégamment souriante d'une déliaison. L'homme parti sur la barque des morts est encore bien loin du port. Du moins sait-il nous donner avec grâce de ses nouvelles, même si elles sont mauvaises.
Chronic'art.com
(...) Une comédie romantique douce-amère pleine de charme et d'humour décalé, une variation plutôt réussie sur le thème du donjuanisme blasé avec un Bill Murray impeccable, aussi perdu et irrésistible en Amérique que dans le Tokyo de Sofia Coppola (...)
Fluctuat.net
Calme et introspectif, Broken Flowers est un bon Jarmusch. C'est-à-dire qu'une vraie ambiance naît de la mise en scène soignée (...) Un brin caricatural par certains aspects, l'humour très pince-sans-rire contenu dans le tableau n'en est pas moins savoureux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Jim Jarmush, qui revient à l'écran avec cette comédie de haute volée, fait valoir au mieux le talent [de] Bill Murray (...) La série de " caractères " que Jarmusch met en scène bénéficie de son approche subtile, d'un sens de l'humour à froid qui jamais ne détonne.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un film plein de charme et de charmes, de tendresse et de mélancolie.
Le Monde
Après cette reddition face à la douleur, (...) Jarmusch et son interprète ont laissé les émotions s'infiltrer. Finalement, le cinéaste et la vedette n'ont pas pu s'empêcher de se laisser prendre au piège de la mélancolie, plus doux et plus subtil que celui de la nostalgie.
Ouest France
Le constat pourrait être amer et désabusé, Jim Jarmusch a le joli doigté qui le rend drôle, et léger. Ses fleurs sont peut-être brisées, mais elles dégagent un parfum d'une savoureuse délicatesse.
Positif
Ni amer ni nostalgique. Plus drôle que cruel, mais curieusement difficile à nommer, le charme de Broken Flowers est d'une essence rare.
Première
Sur fond d'affro-jazz relaxant et de plans fixes étirés à l'extrême, Jarmush installe une atmosphère zen, presque surréelle, qui plonge le spectateur dans une hébétude complice. A travers ces rencontres, Jarmusch propose quatre visages de l'Amérique (...) qui traduisent à l'évidence un désarroi profond.
Rolling Stone
Une ballade sympatoche, réflexion pince-sans rire sur la paternité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Une fable acide, subtile et délicieuse, à laquelle Bill Murray, fort bien entouré, apporte sa note bleue : sa fameuse "mélancol-ironie".
TéléCinéObs
Il faut s'abandonner : c'est du cinéma au fil de l'eau, au fil de la vie. Il y a là une patte inimitable : Jarmusch est un impressionniste rock.
Variety
(critique cannoise) Bill Murray donne une leçon de jeu minimaliste (...) Jarmusch signe un film nettement plus grand public que les précédents, en faisant appel à d'excellents comédiens qui sont au service d'une histoire accessible.
Zurban
Malgré une construction prévisible et un rythme languissant, on est peu à peu happés par la mélancolie de cet homme à la recherche du temps perdu. Et intrigués par un épilogue audacieux qui refuse tout sentimentalisme.
Zurban
(critique cannoise) Constamment, sous l'humour des situations (...) on peut lire un deuxième film, pus inquiet, sur la fuite du temps (...) Sans doute pas le meilleur Jarmusch (on peut préférer Dead man ou Ghost dog), mais une savoureuse comédie, délicieusement mélancolique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Une suite de solos (...) souvent drôles et parfois touchants, mais qui ne dissipe pas la frustration qu'inspire depuis trop longtemps (...) un cinéaste toujours attachant, mais qui semble avoir du mal à s'arrêter sur une partition qui lui paraisse en valoir la peine.
Libération
(critique cannoise) Broken Flowers est un film parfaitement séduisant, mais comme ces séducteurs impénitents, un peu légers et anodins, qui ne savent plus comment s'investir dans une histoire et, en fait, n'y tiennent surtout pas. Ce film file entre les mains, se replie sur son propre système.
Score
Ici, pas d'intrigue malade ne tenant pas debout, juste une historiette édifiante qui permet à l'auteur de Stranger than paradise de se remettre sur le chemin de son lopin de cinéma. Plaisant.
The Hollywood Reporter
(critique cannoise) Avec Broken flowers, Jarmusch ne devrait plus être cantonné aux salles art et essai, mais ses admirateurs s'interrogeront sur l'aspect conventionnel du film. Nous sommes conviés à une promenade agréable et superficielle, à travers des vignettes délicieuses mais qui ne semblent mener nulle part.
aVoir-aLire.com
(...) Ce Jarmusch se révèle relativement mineur dans une filmographie habituée à un standard très élevé. La déception vient essentiellement de la rencontre entre Bill Murray (...) et le cinéaste qu'on aurait souhaité plus corrosive.