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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Mais quel ennui ! Heureusement que mon fils avait très envie. Finalement lui aussi a été déçu : il s'est ennuyé ferme. Utile pour récupérer, un petit somme d'une heure !
des images d'une beauté infinie,les scénes de la naissance des oursons ,du planctons ,du petit morse sont d'une grande intensité en plus une musique tres intense qui explose l'émotion et écarquille les yeux de ce spéctacle innoui un film bien plus fort que le peuple migrateur... ceux qui n'apprécient pas ce bijoux n'aiment tout simplement pas la vie sous toutes ses formes
magnifique !!!! il n'y a pas d'autre mots les images sont très belles, les musique aussi ! seul bémol, la partie de la fin dans la toundra avec les caribous est un peu longue et on s'endort...
Tout d'abord, j'aimerais dire qu'en tant que québécoise qui habite au Nunavik (très très au nord du Québec... là où les caribous, ours polaire, renards et autres passent dans mon village) j'ai adorée le film LA PLANÈTE BLANCHE.
Les images sont à couper le souffle. La voix du narrateur, incarnée par Pierre Lebeau, un acteur québécois reconnu et apprécié du public québécois, est posé, dramatique et tout à fait appropriée.
La musique interprétée par Jorane, artiste québécoise aux paroles ludiquement secrètes et connues à travers le monde, et Elisapie Isaac, une Inuk originaire de Salluit, à tout des tonalités locales. Les champs de gorges entrecoupés de musiques plus actuels nous font ressentir l'urgence des situations et la beauté du froid arctique. Les paroles, souvent en inuktittut, langue des Inuits, est un régal pour l'oreille, surtout celle qui cherche une sonorité ethnique. À entendre absolument!
Finalement, en tant que pédagogue (enseignante dans une école secondaire inuit) j'ai utilisé avec plaisir ce documentaire avec mes élèves afin d'aborder avec un oeil pur, non corrompu par du blabla inutile, des sujets tels que le réchauffement climatique, l'évolution du paysage polaire et la faune nordique. D'ailleurs, ils m'ont affirmés avec douleurs et désolations qu'ils ont compris le message laissé par les images de la finale du film, où un ours tente désespérément de trouver une banquise assez solide pour poser ses pattes... et ce en plein hiver arctique...
Finalement, pour tous ceux et celles qui désirent ouvrir une fenêtre sur l'horizon époustouflant du cercle polaire, voilà un film à ajouter à votre vidéothèque.