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Un visiteur
1,0
Publiée le 15 avril 2011
"Creep" ou le niveau zéro du film d'horreur : Scénario au mètre (un monstre dans le métro ? Comme c'est original), personnages inexistants, casting mou et mise en scène à grosses ficelles. RAS. Passez votre chemin. Ou revoyez "Midnight Meat train", qui, lui, vaut vraiment le détour.
Le métro... Premier film d'horreur sur ce thème aux possibilités immenses. Et pour une première, Christopher Smith frappe fort, très fort ! Malsain, glauque, dérangeant, choquant... les adjectifs me manquent pour qualifier ce puissant survival interprété plus qu'efficacement par un casting vraiment crédible avec en tête, la belle Franka Potente qui va, une nouvelle fois, nous montrer ses talents de sprinteuse (Cours Lola, cours). Fort d'un suspense qui va crescendo, Creep nous entraîne au plus profond des entrailles de la gare : un environnement qui fait vraiment froid dans le dos et qui est, ici, très bien exploité. Ajoutez à cela un monstre horriblement effrayant et je pense que vous éviterez de prendre le train la nuit. La photographie très réussie renforce l'immersion que procure le film avec un jeu de contrastes et des effets de lumière qui donnent l'impression que le réalisateur a pris les choses très à cœur pour son tout premier métrage. A l'intense ambiance s'ajoute les scènes chocs particulièrement bien servies en gore qui ont de quoi faire frémir le spectateur. Et enfin, le final, totalement subversif, avec une scène redoutablement psychologique ou l'héroïne subit une rédemption spirituelle qui montre la force du film. Une réussite ! [Extrait de Screamcity-Horror.skyrock.com blog de critiques ciné]
c'est vrai le film est loin d'être mal fait et on s'accroche à l'histoire jusqu'au bout, mais c'est long quand même, le film est d'ailleurs un peu lent aussi. Le reste est bien fait. à voir tout de même.
Une première partie à l'ancienne, angoissante à souhait où le réal Christopher Smith distille de façon extrêmement adroite une tension et un suspense très efficace qui ne se repose jamais sur la musique (comme le font malheureusement beaucoup trop les "jump scare" dans ce genre de films...). Pour cela, il utilise les décors métropolitains de façon intelligente et les exploite magnifiquement jusqu'à la moelle. Cependant, on craint ensuite que le film ne s'essouffle rapidement sur la longueur... Et c'est là que le scénario a la bonne idée de s'orienter vers un genre sensiblement différent, à savoir le film d'horreur gore, glauque et craspouille. Et cela de manière toujours aussi efficace, avec notamment une scène médicale à l'humour noir particulièrement bien senti. Ajoutez à cela une fin à dimension sociale particulièrement réussie et vous obtenez, à défaut d'être très original et de révolutionner le genre, un grand film d'épouvante. Un réalisateur à suivre.
Pourquoi a-t-on oublié de donner un scénario à ce film ??? Le début est rempli de clichés avec un tueur qu'on ne voit pas et qui accumule les victimes, et une héroïne appeurée qui court dans tous les sens ... Bonne surprise au milieu du film puisqu'on découvre un peu le point de vue du tueur et une ébauche de scénario avec la scène du laboratoire, on se dit qu'on va apprendre des choses ... Mais malheureusement c'est un répit de courte durée et on repart sur une course poursuite classique où les héros courent tant qu'ils peuvent et se font rattrapper par la créature qui marche tranquillement, jusqu'à une fin sans aucune surprise. Le point positif du film : il dure seulement 1h20, c'est déjà suffisant comme perte de temps !
Pas du tout adepte de ce genre de film jai neanmoins adore!!! Une deuxieme partie moins flippante que la premiere mais on est pas a laise non plus!!!! A voir absolument dans lambiance, excellentisciment effroyable le mechant!!! On veut plus prendre le metro apres ca...
Un film atroce (au second degré), risible et qui ennuierait une mouche : scénario au rabais (une femme est poursuivie par un rat de laboratoire : un fou furieux...), acteurs incompatibles (pourtant Franka Potente (La mémoire dans la peau) répond présent), atmosphère pas palbable, réalisation qui n'apporte rien. Seule mon unique réflexion sur le final est la suivante : le syndrome de Stockholm. Pourquoi ? Franka Potente éprouve de la sympathie pour son ravisseur. Et encore, il s'agit d'un "potentiel" du réalisateur. C'est dire... Ne pas acheter, ne pas télécharger, bref, A EVITER A TOUT PRIX !!!
Christopher Smith maître de ses décors, livre avec Creep un brillant exercice de style. Échappant à quasiment tous les écueils principaux du genre, il rappelle que l'horreur est quotidienne et juste à nos portes, et transforme, pour ce faire, Londres en un piège nocturne oppressant, devenant finalement la vraie menace, celle de l'indifférence et de l'individualisme. Sans artifice, sans effets spéciaux de toute façon inaccessible pour son budget, mais sans faire vraiment peur, le réalisateur du sous-estimé Triangle lance un pavé lourd de talent dans la marre poisseuse du cinéma d'horreur.
Creep ne s'annonçait pas nécessairement comme le film de l'année 2005 (qu'il n'est pas), mais arrive tout de même à sortir son épingle du jeu en étonnant pas mal de monde, iccompris myself.
Par une nuit froide d'hiver, après une soirée, une jeune femme se rend dans une station du métro londonien afin de rentrer chez elle. Seulement le dernier métro est passé, et les grilles se sont refermées sans que personne ne s'aperçoive que mademoiselle est toujours sur le quai. Mais elle n'est pas seule. Creep traîne un scénario tout à fait banal derrière lui, mais un contexte social déjà plus intéressant est soulevé (cf. le movie ! c'est d'ailleurs peut-être ici qu'il surprend ...) et l'approche au niveau de la photographie est impeccable, de même pour la réalisation. On se retrouve à flipper tout à fait convenablement à certains moments, et la touche anglaise est plus que perceptible dans un film jouant sur des décors ghotiques diablement surprenant. Une scène tout à fait sympa : la petite dame sur la table d'accouchement. Woulala que c'est bon ... Bref, Creep n'est pas le film du siècle, mais reste réellement au-dessus de la moyenne et est à voir. Christopher Smith a tout pour faire de grandes choses !
Un film d'horreur/gore assez efficace en particulier grâce à la tension provoqué par la sensation de claustrophobie des lieux (à savoir le métro londonien) que par les images d'hémoglobine qui coule pourtant à flot. Il reste tout de même bien meilleur que les productions américaines récentes du même genre.
Ce film est léguendaire c'est une ode à la perfection sans prétention aucune il surpasse aisément les meilleurs block-busters américains tels que Titanic, Gladiator, le seigneur des agneaux. Sans compter sur la prestation de l'acteur incarnant creepi, il mérite le césar du meilleur acteur! Les effets spéciaux sont dignes d'Avatar je le conseille vivement en 3D. Sur ma tv à tube catholique je n'ai malheureusement pas pu profiter pleinement du spectacle. La bande-son est mémorable elle me fait penser à Ennio Moribond dans le blond, la brune et le truand. En parlant de blonde, l'actrice principale m'a impressionné, sa grâce éternelle et son jeu d'actrice m'ont épaté, j'en reste pantin! En résumé en regardant Creepi la septième mare prend tout son sens!
Vous avez une heure trente à perdre?Vous avez envie de découvrir le cinéma navet?Creep est fait pour vous. Le scénario vide et incompréhensible parait inachevé ou à peine commencé et n'a d'égal que le jeu pittoresque d'acteurs ayant surement le troisieme tiers provisionnel de leurs impots à payer pour accepter un tel film. L'intérêt ne réside qu'à peine dans l'aspect gore qui encore une fois ne réjouira que les amateurs de pseudo films d'horreur censés effrayer sans procurer l'ombre d'un frisson. On se demande encore comment de tels navets peuvent trouver producteur! A déconseiller vivement!