Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Le film d'horreur de l'année (...) Dispositif redoutable, jouant franc jeu sans effets sonores grossiers ni prises en traître (...) S'ensuivent plusieurs scènes tragi-comiques pénibles, mais l'énergie de Franka Potente, l'humour macabre et la plongée dans le gore sauvent le film. C'est surtout sur le social que Creep épate.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Ecran Fantastique
par Emmanuel Denis
Creep renoue avec le cinéma d'horreur violent et direct des années soixante-dix. Toutefois il ne se contente pas d'accompagner ce renouveau, puisqu'il apporte à cette tendance une touche typiquement britannique, en jouant notamment sur l'atmosphère gothique de ses multiples décors.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film de Christopher Smith, qui nous renvoie à une époque d'avant la froideur des effets spéciaux numériques et la fin de la série B est, dans ces proportions-là, une heureuse surprise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Alexis Bernier
La grande force du film de Christopher Smith, son paradoxe aussi, c'est que, tout en étant un film d'horreur brutal, gore et malsain, qui ne cache rien, il impressionne plus encore par ce qu'il suggère.
Mad Movies
par Arnaud Bordas
Efficace, sans prétentions et par moments bien flippant. De la série B anglaise comme on aimerait en voir plus souvent.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Paris Match
par Alain Spira
L'intérêt principal de ce film d'horreur au scénario aussi mince qu'une lame réside dans l'espace labyrinthique où se situe l'action (...) une mise en scène nerveuse. (...) une ambiance de cloaque claustrophobique. [...] Aussi bête que méchant, ce monstre ferait presque pitié s'il n'était pas si grotesque. Qu'à cela ne tienne, le film nous entraîne dans des zones de peur qu'aucune carte Orange ne couvre.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Fabien Baumann
Franka Potente, délicieuse en petite chef de pub détestable, erre une nuit de trop d'alcool et de coke dans le subway (...) lutte à mort, et cette agréable série B se termine par un plan d'une subtilité formidable, alors qu'il est si dur d'achever un film d'horreur.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Déconseillons aux âmes sensibles d'imiter Franka Potente (abonnée aux rôles de victime éplorée), car voici un film d'épouvante claustro-parano qui ne lésine pas sur les moyens de faire peur. Un tueur sadique, monstre dégénéré, rôde dans les tunnels, caputrant et massacrant tout ce qui tombe sous ses griffes... Efficace !
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Il est vrai que le film partait pour être une production de genre conventionnelle avec une créature qui apparaît dans un premier temps furtivement et un cadre artificiel qui sent bon le prétexte. En outre, le scénario est plat, voire anorexique.La surprise est donc de taille lorsque le film s'installe dans l'horreur en détaillant les agissements macabres de son monstre qui devient omniprésent à l'écran. Comme quoi trop en montrer ne nuit pas forcément au suspense. Au contraire, on frémit régulièrement.
Ouirock.com
par La rédaction
Les égoûts et le métro, deux univers à fantasmes pour tous les amateurs de fantastique et d'horreur. Le scénariste-réalisateur Christopher Smith [...] déambule de l'un à l'autre tout au long d'un petit récit frissonnant qui fait étape dans tous les traquenards attendus. Il a du mal à travailler dans la surprise ou l'inédit. Mais on lui accordera que le genre est plutôt difficile à renouveler, il a épuisé toutes les ressources imaginatives de générations d'auteurs.
Première
par Mathieu Carratier
Un efficace petit film d'horreur à l'ancienne. Tout con, mais tout bon.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Dès que notre monstre se met sous les lumières, maquillé comme pour un remake philippin du Seigneur des Anneaux, la tension retombe. Un peu...
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par La rédaction
L'improbable rencontre entre un tueur monstrueux et Franka Potente, l'actrice allemande qui monte, mais qui, ici, a plutôt tendance à descendre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Marc Kressmann
L'héroïne est si stupide et désagréable qu'on n'a qu'une hâte : qu'elle meure vite et dans d'atroces souffrances ! Tout est grotesque : la créature, sorte de sous Gollum qui étale sa main pleine de sang sur l'écran, les tortures, les ressorts dramatiques improbables multipliant les fausses frayeurs.
Télérama
par Alexandre Mangin
Le film n'est qu'une série B horrifique convenue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Réalisateur novice, Christopher Smith affiche sans scrupule toutes ses références, du Fantôme de l'Opéra, au Gollum du Seigneur des Anneaux. S'il manie la tension avec aisance, le film ne décolle pas, tourne en rond sans nous tenir réellement en haleine, malgré les rats, les égouts, les couloirs sans fin et bien sur les mauvaises rencontres.
Cahiers du Cinéma
Le film d'horreur de l'année (...) Dispositif redoutable, jouant franc jeu sans effets sonores grossiers ni prises en traître (...) S'ensuivent plusieurs scènes tragi-comiques pénibles, mais l'énergie de Franka Potente, l'humour macabre et la plongée dans le gore sauvent le film. C'est surtout sur le social que Creep épate.
L'Ecran Fantastique
Creep renoue avec le cinéma d'horreur violent et direct des années soixante-dix. Toutefois il ne se contente pas d'accompagner ce renouveau, puisqu'il apporte à cette tendance une touche typiquement britannique, en jouant notamment sur l'atmosphère gothique de ses multiples décors.
Le Monde
Le film de Christopher Smith, qui nous renvoie à une époque d'avant la froideur des effets spéciaux numériques et la fin de la série B est, dans ces proportions-là, une heureuse surprise.
Libération
La grande force du film de Christopher Smith, son paradoxe aussi, c'est que, tout en étant un film d'horreur brutal, gore et malsain, qui ne cache rien, il impressionne plus encore par ce qu'il suggère.
Mad Movies
Efficace, sans prétentions et par moments bien flippant. De la série B anglaise comme on aimerait en voir plus souvent.
Paris Match
L'intérêt principal de ce film d'horreur au scénario aussi mince qu'une lame réside dans l'espace labyrinthique où se situe l'action (...) une mise en scène nerveuse. (...) une ambiance de cloaque claustrophobique. [...] Aussi bête que méchant, ce monstre ferait presque pitié s'il n'était pas si grotesque. Qu'à cela ne tienne, le film nous entraîne dans des zones de peur qu'aucune carte Orange ne couvre.
Positif
Franka Potente, délicieuse en petite chef de pub détestable, erre une nuit de trop d'alcool et de coke dans le subway (...) lutte à mort, et cette agréable série B se termine par un plan d'une subtilité formidable, alors qu'il est si dur d'achever un film d'horreur.
Télé 7 Jours
Déconseillons aux âmes sensibles d'imiter Franka Potente (abonnée aux rôles de victime éplorée), car voici un film d'épouvante claustro-parano qui ne lésine pas sur les moyens de faire peur. Un tueur sadique, monstre dégénéré, rôde dans les tunnels, caputrant et massacrant tout ce qui tombe sous ses griffes... Efficace !
aVoir-aLire.com
Il est vrai que le film partait pour être une production de genre conventionnelle avec une créature qui apparaît dans un premier temps furtivement et un cadre artificiel qui sent bon le prétexte. En outre, le scénario est plat, voire anorexique.La surprise est donc de taille lorsque le film s'installe dans l'horreur en détaillant les agissements macabres de son monstre qui devient omniprésent à l'écran. Comme quoi trop en montrer ne nuit pas forcément au suspense. Au contraire, on frémit régulièrement.
Ouirock.com
Les égoûts et le métro, deux univers à fantasmes pour tous les amateurs de fantastique et d'horreur. Le scénariste-réalisateur Christopher Smith [...] déambule de l'un à l'autre tout au long d'un petit récit frissonnant qui fait étape dans tous les traquenards attendus. Il a du mal à travailler dans la surprise ou l'inédit. Mais on lui accordera que le genre est plutôt difficile à renouveler, il a épuisé toutes les ressources imaginatives de générations d'auteurs.
Première
Un efficace petit film d'horreur à l'ancienne. Tout con, mais tout bon.
Rolling Stone
Dès que notre monstre se met sous les lumières, maquillé comme pour un remake philippin du Seigneur des Anneaux, la tension retombe. Un peu...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
L'improbable rencontre entre un tueur monstrueux et Franka Potente, l'actrice allemande qui monte, mais qui, ici, a plutôt tendance à descendre.
MCinéma.com
L'héroïne est si stupide et désagréable qu'on n'a qu'une hâte : qu'elle meure vite et dans d'atroces souffrances ! Tout est grotesque : la créature, sorte de sous Gollum qui étale sa main pleine de sang sur l'écran, les tortures, les ressorts dramatiques improbables multipliant les fausses frayeurs.
Télérama
Le film n'est qu'une série B horrifique convenue.
Zurban
Réalisateur novice, Christopher Smith affiche sans scrupule toutes ses références, du Fantôme de l'Opéra, au Gollum du Seigneur des Anneaux. S'il manie la tension avec aisance, le film ne décolle pas, tourne en rond sans nous tenir réellement en haleine, malgré les rats, les égouts, les couloirs sans fin et bien sur les mauvaises rencontres.