Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Gourou hilarant, Luchini porte le film sur ses épaules, réparties qui transpercent, permanence de la pose, raideur du corps contre fantasmagorie de la voix.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
La Cloche a sonné se place dans un étrange entre-deux, à mi-chemin de la production bourgeoise très officielle et du projet marginal. Luchini, vieilli, légèrement bouffi, reste à des années lumières des cabotins de la nouvelle génération, trônant comme un clown blanc dans des abîmes jouxtant le pathétique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
Ce deuxième film de Bruno Herbulot surprend par la finesse du trait. (...) mais (...) il incombait à la mise en scène d'y insuffler fantaisie, rythme, énergie, pour en tirer une grande comédie. On doit se contenter d'une gentille satire.
Score
par Pete Wakefield
Bizarre comédie estivale que ce film où rien, ni personne, n'est drôle sauf Fabrice Luchini. Dommage que derrière le showman, l'histoire, les autres comédiens et les gags s'effacent et oublient d'exister.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Brazil
par S.L.
Luchini (...) dispense ses séances de... de quoi déjà ? (...) Ses patients sont des caricatures sur pattes (...) On en regrette que plusamèrement l'époque des crétineries gauloises des années 60 ou 70.
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Impossible en revanche de déterminer ce que veut le metteur en scène, qui oscille mollement entre accès de méchanceté mal formulés et apologie de la thérapie. Les comédiens travaillent chacun dans leur coin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Camille Brun
Une fois le cadre amusant de ce centre de " retour à soi " posé, plus grand chose ne vient surprendre le spectateur ni même l'amuser. Les acteurs du beau casting sont habituellement bons, mais ici, ils ont tous du mal à donner de l'épaisseur aux caricatures qui leur servent de personnages.
Ouest France
par La rédaction
Des figures totalement convenues dont les moindres réparties, faits et gestes sont bien incapables de provoquer la surprise. Et encore moins le rire.
Positif
par Grégorie Valens
Entièrement construit autour de la personnalité de Fabrice Luchini, ce marivaudage bon enfant fera le bonheur des téléspectateurs qui aiment avoir un film français en bruit de fond pendant qu'ils dinnent devant la télé (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Fabrice Luchini en roue libre et des acteurs englués dans leurs stéréotypes, on ne voitpas la légèreté et on ne rit pas une seule fois...
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
A tout prendre, une petite dose d'humour lourdingue bête et méchant n'aurait pas nui. Mais Luchini lui-même semble ne pas oser trop la ramener, comme s'il avait compris que la tiédeur et la fadeur étaient ici de mise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Charlotte Lipinska
C'est long, lent et l'on est condamné à regarder le surplace de ce stage improbable comme les vaches regardent les trains passer. Médusés.
Cahiers du Cinéma
Gourou hilarant, Luchini porte le film sur ses épaules, réparties qui transpercent, permanence de la pose, raideur du corps contre fantasmagorie de la voix.
Chronic'art.com
La Cloche a sonné se place dans un étrange entre-deux, à mi-chemin de la production bourgeoise très officielle et du projet marginal. Luchini, vieilli, légèrement bouffi, reste à des années lumières des cabotins de la nouvelle génération, trônant comme un clown blanc dans des abîmes jouxtant le pathétique.
TéléCinéObs
Ce deuxième film de Bruno Herbulot surprend par la finesse du trait. (...) mais (...) il incombait à la mise en scène d'y insuffler fantaisie, rythme, énergie, pour en tirer une grande comédie. On doit se contenter d'une gentille satire.
Score
Bizarre comédie estivale que ce film où rien, ni personne, n'est drôle sauf Fabrice Luchini. Dommage que derrière le showman, l'histoire, les autres comédiens et les gags s'effacent et oublient d'exister.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Brazil
Luchini (...) dispense ses séances de... de quoi déjà ? (...) Ses patients sont des caricatures sur pattes (...) On en regrette que plusamèrement l'époque des crétineries gauloises des années 60 ou 70.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Impossible en revanche de déterminer ce que veut le metteur en scène, qui oscille mollement entre accès de méchanceté mal formulés et apologie de la thérapie. Les comédiens travaillent chacun dans leur coin.
MCinéma.com
Une fois le cadre amusant de ce centre de " retour à soi " posé, plus grand chose ne vient surprendre le spectateur ni même l'amuser. Les acteurs du beau casting sont habituellement bons, mais ici, ils ont tous du mal à donner de l'épaisseur aux caricatures qui leur servent de personnages.
Ouest France
Des figures totalement convenues dont les moindres réparties, faits et gestes sont bien incapables de provoquer la surprise. Et encore moins le rire.
Positif
Entièrement construit autour de la personnalité de Fabrice Luchini, ce marivaudage bon enfant fera le bonheur des téléspectateurs qui aiment avoir un film français en bruit de fond pendant qu'ils dinnent devant la télé (...)
Première
Fabrice Luchini en roue libre et des acteurs englués dans leurs stéréotypes, on ne voitpas la légèreté et on ne rit pas une seule fois...
Télérama
A tout prendre, une petite dose d'humour lourdingue bête et méchant n'aurait pas nui. Mais Luchini lui-même semble ne pas oser trop la ramener, comme s'il avait compris que la tiédeur et la fadeur étaient ici de mise.
Zurban
C'est long, lent et l'on est condamné à regarder le surplace de ce stage improbable comme les vaches regardent les trains passer. Médusés.