Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Critikat.com
par Alice Leroy
[Reprise] Adapté à l’écran, le texte de Gelber devient un formidable exercice de méta-cinéma (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
[Reprise] Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Ecran Large
par Nicolas Thys
Pour son premier long métrage, la trop méconnue Shirley Clarke interroge et réinvente les rapports entre documentaire et fiction. A découvrir absolument.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Télérama
par Laurent Rigoulet
[Reprise] La modernité de la mise en scène surprend moins aujourd'hui, mais sa liberté, son ancrage dans le jazz et les digressions de ses personnages font de "The Connection" un document précieux sur le New York de la Beat generation.
L'Humanité
par Vincent Ostria
[Reprise] L’originalité réside dans l’intégration au dispositif d’un vrai groupe de jazz, qui joue des intermèdes entre les scènes. Mais l’aspect pseudo-documentaire ne convainc pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Critikat.com
[Reprise] Adapté à l’écran, le texte de Gelber devient un formidable exercice de méta-cinéma (...).
Studio Ciné Live
[Reprise] Voir le site Studio Ciné Live.
Ecran Large
Pour son premier long métrage, la trop méconnue Shirley Clarke interroge et réinvente les rapports entre documentaire et fiction. A découvrir absolument.
Télérama
[Reprise] La modernité de la mise en scène surprend moins aujourd'hui, mais sa liberté, son ancrage dans le jazz et les digressions de ses personnages font de "The Connection" un document précieux sur le New York de la Beat generation.
L'Humanité
[Reprise] L’originalité réside dans l’intégration au dispositif d’un vrai groupe de jazz, qui joue des intermèdes entre les scènes. Mais l’aspect pseudo-documentaire ne convainc pas.