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    Police
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    pietro bucca
    pietro bucca

    63 abonnés 1 217 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2019
    Une histoire assez classique, ou un inspecteur poursuit une fratrie, operant dans le milieu de la drogue. La dessus vient se greffer la compagne d'un des freres emprisonnés, dont il tombera éperdument amoureux, allant jusqu'a transgresser certaines règles. Depardieu se démène pas mal, mais malgré cela, on a du mal a croire a autant de conivence entre l'avocat des voyous et cet inspecteur.
    Lysandre L.
    Lysandre L.

    2 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 décembre 2018
    tres bons comédiens ! film interessant !
    et Sophie marceau est très naturelle ! et crédible dans son rôle
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    109 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Le Police de Pialat attaque avec des airs monolithiques ; tout est solide et imposant, que ce soit Depardieu, les murs ou les portes. On croirait que tout prend plein de place, comme si le film voulait être le témoin non dégrossi de ce qui se trame dans les commissariats français. Armé d'une spontanéité monstrueuse qui s'immisce jusque dans les scènes les plus longues et complexes, ce menhir porté par Depardieu semble jeter un regard hautain vers le passé et les euphémiques films policiers produits jusque là. Parfois, il est vrai, Police est trop brut pour être vrai ; les lapsus et les interruptions donnent un caractère pas forcément souhaité à l'ouvrage, comme si le réalisateur avait tenu à tourner chaque scène en une seule prise, raisonnement dont l'évidence nous prouve pourtant la fausseté.

    Les menhirs s'érodent comme toutes les pierres, mais hélas celui-ci est usé à la livraison. Il dure cent-treize minutes, au bas mot vingt-trois de trop. Le regard jeté sur le passé devient vague, les concessions à ce qu'il paraissait mépriser se multiplient ; Police devient le vilain petit canard des thrillers à la française, celui qui arrive après tout le monde pour reprendre les canons et les revoir à sa sauce, comme si le film s'était dit « hé, je suis bon, je vais en faire plus ». La partie finale, d'où ont disparu les signes qui étaient distinctifs jusque là, tisse des romances réchauffées et des revirements de situation par trop familiers. Un coup de baguette dramatique, et boum, une fin qui vient faire l'ablation d'une prolongation superfétatoire. L'idée n'était ni bonne ni mauvaise, seul le traitement valait le coup.

    septiemeartetdemi.com
    Alasky
    Alasky

    332 abonnés 3 253 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 août 2017
    Bon film policier français, sombre et authentique, pas très populaire malgré un super casting pour l'époque. Il est évident que le film "Polisse" réalisé par Maïwenn a été en grande partie pompé sur ce film.
    Matis H.
    Matis H.

    17 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2017
    C'est un face à face, à la fois d'un réalisme fou et d'une grande violence, qui ouvre "Police". Ce dernier nous introduit Mangin, policier machiste et un brin rustre, interprété par un Depardieu grandiose.

    Mais il est important de mettre les choses au clair : "Police" ne parle pas de police, ou tout du moins en parle avec peu d'intérêt. Et cela se révèlera être le grief majeur pouvant être adressé à Pialat : inscrire sa romance au sein d'un récit policier qui dessert complètement l'émotion. En effet, la narration de cette partie de l'intrigue ne se constitue au final que de signaux offrant une linéarité tout sauf nécessaire. C'est donc un découpage de polar, déjà profondément inintéressant, mais surtout classique, qui entoure le noyau dur du long-métrage, empêchant à la relation Mangin/Noria de se déployer pleinement au sein du récit.

    Cependant, malgré la frustration de ne pas voir cette relation au plus haut de son potentiel dramatique, Pialat la filme avec une beauté renversante. La mise en scène du cinéaste s'efforce constamment de les isoler : dans l'espace tout d'abord, les obligeant à se rapprocher physiquement, mais aussi dans le cadre, à l'image de cette scène dans le commissariat où le couple se cache des collègues pour laisser libre cours à leurs pulsions. Les passages exprimant des sentiments complexes et changeants s'enchainent donc, le couple étant le miroir l'un de l'autre, Mangin faisant tomber sa carapace pour montrer le coeur d'un homme meurtri, là où Noria se révèle plus froide que ce qu'elle laisse penser. Enfin, les dialogues, tous d'une très grande beauté, finissent d'inscrire l'oeuvre dans une émotion palpable (la première fois que Mangin exprime ses sentiments envers Noria) que l'on regrette de ne pas être la seul préoccupation de Pialat.

    "Police" est donc un film à la fois complexe et riche, porté par le souffle romantique d'un grand cinéaste, qui est malheureusement parasité par une intrigue artificielle et problématique.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 9 janvier 2017
    Depardieu tient presque tout le film sur ses épaules pendant quasiment un bon tiers tandis qu'avec ses collègues, il cuisine les immigrés impliqués dans le trafic d'héroïne. Plus vrai que nature, Police parvient à convaincre durant ce laps de temps, filmé comme un documentaire. Marceau encore toute jeunette est encore maladroite mais grâce à Gégé, elle arrive malgré elle à quelques instants de flamboyance alors qu'Anconina en avocaillon foireux se révèle étonnant.

    Puis, c'est la descente dans le trou de la médiocrité, des invraisemblances en pagaille, des personnages incohérents et un scénario qui part en vrille. Le documentaire devient d'une lourdeur infinie qui semble ne jamais finir, on s'ennuie à 100 sous de l'heure dans cette léthargie creuse et regrettable faite d'abrutissantes lenteurs jusqu'à la fin -enfin !- décevante et sans ambition.
     Kurosawa
    Kurosawa

    560 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 août 2016
    "Police", s'il avait pleinement assumé de ne pas être un polar, aurait pu être un grand film. Mais une intrigue assez peu intéressante et à peine écrite de trafic de drogues existe bel et bien, piétine plus qu'elle n'avance, au rythme de personnages qui évoluent moins qu'il ne ressentent des sentiments contradictoires et ambigus. Sans scénario classique avec péripéties faisant passer des paliers au récit, "Police" est un film qui plonge tranquillement mais progressivement dans l'intime, se resserrant dans une magnifique deuxième heure autour de la relation Mangin-Noria, campés par les sublimes Gérard Depardieu et Sophie Marceau, qui vaut pour ce qu'elle dit de la complexité des sentiments, de la virilité comme un moyen de masquer sa propre fragilité et de la sensualité d'une femme triste, déchirée et perdue. Après une première heure quelque peu décevante qui peine à satisfaire avec sa suite de saynètes inégales, "Police" décolle donc enfin sans pour autant renier son faux rythme qui traduit l'amertume et la mélancolie de ses personnages, in extremis émouvants.
    Top of the World
    Top of the World

    62 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 juillet 2016
    "Là, pendant un instant, j'ai cru que je t'aimais, mais en fait non, c'est ridicule..." L'inspecteur Mangin, sous ses allures machistes, est un type sensible, fragile et même un peu paumé. Humain en somme. Mais d'une humanité vibrante, profonde, bouleversante, comme on en voit presque jamais au cinéma. Pour arriver à ce degré de vérité et donc d'émotion, il faut autant le talent inouï de Depardieu que la formidable capacité de Pialat de tirer le meilleur de ses acteurs, de les amener dans une zone où il n'y a plus de jeu, seulement de l'incarnation. Ainsi, Marceau, Anconina, Bonnaire et les autres sont d'une crédibilité et d'un naturel rarissimes, à tel point qu'on ne saurait dire s'ils aimantent la caméra par leur justesse ou si c'est elle qui les met en valeur, les sublime en révélant justement leur authenticité. Là où le film est aussi très fort, c'est qu'en dépit d'un rythme et d'une narration à la fois nonchalants et fiévreux qui ont peu à voir avec ce que le cinéma offre habituellement, il parvient à monter en puissance, à faire croître notre intérêt et notre empathie pour les protagonistes. En effet, si la première partie, qui s'attache surtout au quotidien des flics et aux scènes d'interrogatoire, est déjà puissante, c'est la seconde, où l'on s'intéresse essentiellement aux affres sentimentaux des personnages, qui permet au film de s'élever vers des hauteurs émotionnelles insoupçonnées. On peut finalement résumer le film en disant qu'il ressemble à son héros ( et donc à Depardieu): trivial et désespéré, rude mais beau. Inoubliable.
    willycopresto
    willycopresto

    125 abonnés 1 351 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2016
    "Police" (1985) Arte le 13.07.2016

    On connaît plus Maurice Pialat (mort en 2003 à 78 ans) comme réalisateur que comme peintre, et pourtant son talent d'artiste se devine à certains cadrages et à la manière de placer sa caméra, même en des lieux qui suscitent plus la claustrophobie que ceux de David Hamilton ! On sent d'autre part qu'à 60 ans quand il a réalisé ce film, le réalisateur ne craignait plus rien ni personne ! La manière dont il montre un flic qui joue le funambule entre la légalité et le banditisme était osée pour l'époque ! Un film pas comme les autres qui sans égaler Hitchcock, vous tient en haleine ! La musique est volontairement sobre et joue ainsi mieux son rôle, et le casting est un chef d'oeuvre de distribution. Pïalat n'avait pris aucun risque avec ce caméléon du spectacle qu'est Depardieu ! L'idée de lui faire jouer le rôle principal avec Sophie Marceau était géniale et leur tandem dans le style "Je t'aime, moi non plus" est admirable ! Anconina, trop souvent cantonné aux seconds rôles, nous fait aussi une composition empreinte d'intérêt et de réalisme.
    Un seul regret : la multiplicité de scénaristes (cinq !) qui font que l'histoire manque d'une "patte" dont l'empreinte aurait scellé plus fortement le récit de cette histoire. Contrairement à la réalisation, le scénario manque de personnalité et se disperse de trop.
    Autre regret : celui du ministère de l'intérieur : malgré le chômage, ce film n'est pas fait pour susciter des embauchages dans la Police !
    willycopresto
    maxime ...
    maxime ...

    225 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 octobre 2022
    Police est un film un peu à part dans le parcours de ce cinéaste, il transpose là son cinéma dans un commissariat, du moins dans un premier temps, il y rejoue ces plus grands tours.

    Astucieusement, il s'enferme avant de prendre l'air, il y coffre dans son début toute sa brutalité, son humour, ses meilleures vacheries avant de s'extirper pour une autre de ses madeleines, une tristesse tout aussi électrique. Maurice Pialat à constamment en ligne de mire le rapport de force, il y'a dans sa main mise à la fois une force et une fragilité dans le mouvement qui moi me touche droit au cœur. Oui, avec toute sa folie confondu, avec l'amour de son texte, il me provoque une émotion que lui seul fabrique.

    Police n'est pourtant pas très fin, des perquises au gnons, le film est féroce. Néanmoins, comme toujours chez Pialat, la structure laisse de la place à l'égarement, c'est aussi ce qui déroute et laisse glisser cette symphonie poétique qui jaillit inéluctablement. Une singularité qui persiste, une authenticité motrice pour un monde si distinct ...

    De cette plongé dans la Police l'ont retient ses mouvements fou d'une caméra libre de sa rotation, une fluidité somptueuse qui sublime le réalisme naturaliste de son chef d'orchestre. Il draine dans sa course les limites et barrières étroites entre " représentants de la loi " et " truands " et toutes les magouilles de leurs croisement. Les lignes sont plus fines pour le coup. Les perceptions sont chahutés et éructent, galvanisent même le rythme de ce long métrage qui fille à toute allure.

    Gérard Depardieu, dans un registre qui lui colle tant démontre une fois de plus qu'il est un Grand chez les Grands. Le petit sourire en coin qu'il partage avec Sophie Marceau dans la voiture après sa déclaration d'amour au niveau du milieu du film est vraiment une scène que j'adore. Cette dernière aussi fait d'ailleurs un sacré numéro. Ses coups de Trafalgar rendent chèvre tout un tas de mecs qui ne la prenaient pourtant pas pour une petite très maligne de prime abord ... Richard Anconina est l'autre vrai révélation de Police. Son petit manège, ses combines, son sens de la dérision avant son gros coup de stress sont des passages incroyables ! Les autres noms à l'affiche mérite eux aussi une attention tant ils participent à l'aventure.

    Police est encore plus beau lorsqu'on le retrouve après une longue absence. Je place celle-là ici, un peu pour justifier cela : " Tu es déjà aussi dur que les gens qui ont vécu ! "
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 292 abonnés 4 326 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2016
    Retour dans le cinéma de Maurice Pialat, avec l’un de ses classiques : Police. Un titre sobre, pour un film sobre, pas mauvais, bien qu’il ne mérite pas vraiment à mon sens l’enthousiasme dont il est généralement l’objet.
    La faute avant tout à l’histoire. Si pour une fois le réalisme de Pialat tend à être convaincant (encore que certaines scènes caricaturales viennent un peu affaiblir cette impression), tout n’est pas top. La narration très linéaire et très monolithique devient vite assez ennuyeuse et donne une impression de platitude. Le manque de vrais rebondissements est aussi assez gênant pour un film de près de deux heures. Et encore une fois Pialat offre une sortie peu concluante, frustrante, et on peut le dire, décevante. Dans l’ensemble le réalisateur tend à réussir son intention quasi-documentaire, mais il y a des ratés.
    Le casting est bon, emmené par un Depardieu solide et plutôt sobre, qui fait face à Sophie Marceau dans un rôle sombre, loin de La Boum, et dans lequel elle se trouve être plutôt convaincante elle aussi. Les acteurs sont dans l’ensemble au point, avec quelques futurs noms connus dans des seconds rôles, comme Artus de Penguern, mais les personnages ne sont pas tous très attrayants. Leur côté excessif parfois ne colle pas franchement avec la volonté réaliste de Pialat, et c’est dommage.
    Visuellement si le réalisateur ne se départit pas de sa photographie grisâtre toujours assez décevante, pour autant l’ambiance est assez convaincante, assez sombre, et la bande son solide ne manque pas de baigner l’ensemble dans une tonalité singulière. Il y a une petite touche de mélancolie et de gravité que le film ne parvient pas pleinement à saisir, le réalisateur restant quand même engoncer dans une mise en scène minimaliste et dans une approche documentaire qui ne permet pas de faire passer toutes les émotions et les sentiments.
    Police est donc un Pialat plutôt bon, mais pas encore à la hauteur de la réputation du réalisateur à mon sens. On sent de bonnes choses, mais trop éparses au milieu d’un film un peu vain, et un peu plat. 3.
    Guimzy
    Guimzy

    165 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2016
    A sa sortie en France, il fut le meilleur succès public du réalisateur et les conditions de tournage lui ont été très favorables : il a pu avoir assez de temps pour tourner et disposait de gros moyens techniques, qu’il s’agisse de lumière, de techniciens, ou de décors. Pourtant, Police ne dispose pas d’une qualité fictionnelle importante.

    En effet, Maurice Pialat cherche à filmer le réel du travail de policier dans un commissariat. Ainsi, entre les actions de nos personnages principaux, vient s’ajouter de temps à autre en avant ou en arrière-plan, des interrogatoires qui ne nous concernent pas. On peut tout aussi bien rentrer dans une discussion qui n’aura aucun intérêt pour la suite du film, ou bien des arrestations de personnages n’ayant aucun lien avec l’histoire. Maurice Pialat veut capter la réalité qu'incarnent les policiers et les truands, et c’est d’ailleurs pour cela qu’il en a fait venir certains, qui ne sont pas du tout acteurs. On pourrait ainsi presque croire à un docu-fiction. A travers ce reflet de réalité donc, il cherche aussi à installer une sorte de brutalité permanente, qu’il s’agisse des policiers parfois un peu violents, ou bien du monde cruel du gangstérisme. Cette brutalité semble omniprésente à travers les plans qui se succèdent au fur et à mesure que l’enquête avance, et des dialogues très rapides et virulents des personnages. Mais entre ces moments de violence, des scènes assez innocentes disposant d'une musique en fond sonore, chose qu'il n'y nulle part ailleurs dans le film, viennent s'ancrer dans le récit. Le film est donc plutôt beau et réaliste, sans pour autant transcender l'écran.
    Roub E.
    Roub E.

    887 abonnés 4 939 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 octobre 2015
    Ne cherchez plus, c est LE bon film ou il y a Sophie Marceau. Passez cette anecdote, le film est un excellent policier, un peu vieillot dans sa représentation du commissariat, mais extrêmement moderne au niveau de ses personnages. Rarement je n ai ressenti un tel sentiment d inéluctabilité devant un film, j ai eu l impression de voir des pantins torturés, conscients qu ils marchent dans un couloir sans issus mais continuant d avancer sans chercher une autre voie, peut être parce qu elle n existe tout simplement pas. Mise en scène remarquable, au service des acteurs qui bénéficient de rôles complexes, torturés, c est du tout bon.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    88 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mai 2015
    Porté par Gérard Depardieu et Sophie Marceau, Police de Maurice Pialat est rythmé et efficace. Le cinéaste semble offrir une grande liberté d'interprétation à ses acteurs, qui se matérialise par de nombreuses séquences brillantes, quelques autres plus maladroites. Un thème et une manière d'aborder son film qui font immanquablement penser à L627 de Bertrand Tavernier, tourné juste quelques années plus tard.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 067 abonnés 5 003 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 avril 2015
    Un film sur la police, typique documentaire. Dans le genre Tavernier a fait la même chose avec L627. Réaliste et serré sauf dans quelques scènes en-dehors du bureau, comme si le spectateur faisait aussi une pause cigarette!!
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