Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Cinéastes
par S. Lam
Il n'y a jamais chez Corneau de réels méchants ou gentils, les personnages ne sont ni tout noirs, ni tout blancs, mais tout en niveaux de gris [...] La mise en scène est élégante à l'occasion [...] ce choix de tourner en grande partie en numérique HD, cette technologie qui dans ce cas précis fait régresser la qualité des prise de vues [...] mais qui a le mérite de désacraliser l'image cinématographique de la pellicule.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Elle
par Elisabeth Quin
Joli film chuchoté, à l'instar de la chanson de Christophe B.,(...) ça rappelle le conte âpre de Jean-Pierre Denis, "La Petite Chartreuse". Corneau est plus sentimental et optimiste. [...]Après tout, pourquoi ce qui semble conventionnel ne serait pas bon et doux ?
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Comme l'indique le titre repris d'une chanson de Christophe ("Je lui dirai les mots bleus/Ceux qui rendent les gens heureux"), Les Mots bleus est un récit d'espoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Sophie Grassin
[Alain Corneau] n'a jamais été aussi inspiré par les rapports entre les sexes. Un dîner où les mots de l'un (Vincent) submergent l'autre (Clara). La fuite vers un océan grognon... Des mots bleus, Sylvie Testud est le vecteur, le sang, le coeur. Embusquée derrière la porte qui la sépare de sa fille, incapable de répondre à la carresse sinon par la morsure, elle se montre extraordinaire de vérité intérieure.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Le pari était difficile : adapter Leur histoire, un très beau livre de Dominique Mainard sur l'incommunicabilité. Alain Corneau s'en tire avec les honneurs. [...] porté par la chanson de Christophe, Les mots bleus racontent avec autant de délicatesse que le roman cette histoire d'individus cadenassés par leurs peurs.
Zurban
par Claire Vassé
Porté par les acteurs, Corneau capte au détour d'un geste la détresse d'une âme bléssée. Et quand on voit ces personnages abandonner leurs défenses, comprendre que se donner à l'autre n'est pas toujours une façon de se perdre mais de mieux se retrouver, l'émotion monte et on se dit que Corneau a réussi un beau mélo.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
On devient les témoins mélancoliques d'existences solitaires qui pourraient être perdues, à tout jamais. La mélancolie s'installe aidée par la musique de Christophe, dont le tube Les mots bleus est décliné sur tout le film jusqu'à donner un caractère intemporel et atmosphérique aux images joliment photographiées par Yves Angelo. Une bien belle bande son pour un film émouvant et envoûtant qui s'impose comme l'un des plus achevés de son cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Sans rire, Les Mots bleus appelle plutôt pour tout commentaire un vague champ lexical de la compassion et de la sensibilité. On y souscrit un peu : pas pire qu'autre chose, le film se laisse suivre dans son chemin mille fois battu.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Tout cela est un peu appuyé et la fin du film ne le dément pas, le tout surligné par la chanson de Christophe, une bonne idée au demeurant mais qu'il était inutile d'utiliser à deux reprises. Entre temps le film émeut par le parcours inhabituel des personnages, conjugué au talent des comédiens.
Ouest France
par La rédaction
Le cinéaste peine le plus souvent à nous faire entrer au coeur de ce monde cloisonné, mélange de rêverie et de fantasmes sur des sentiments desséchés, dans lequel une mère et sa fille, l'étonnante petite Camille Gauthier, se sont évadées.
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Frédéric Strauss
Sa générosité est palpable à chaque instant, mais son propos moins évident [...] Mais en s'emparant de ce matériau intime pour en faire l'histoire d'une émotion qui doit se livrer, il réussit à nous ouvrir à une aventure humaine. Le chemin que font Anna, Clara et Vincent les uns vers les autres dépasse le cas d'école et peut croiser le nôtre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Emmanuel Girrode
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Dans ce mélo vaguement social, la fillette mutique est, comme dans La Petite Chartreuse mais sur un mode plus putassier, un objet transitionnel, un doudou qui sert de lien deux êtres déphasés, un instit et la mère de l'enfant. Une love-story en toc où la fragilité ostentatoire de Sergi Lopez et l'étrangeté rédhibitoire de Sylvie Testud font tilt.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Score
par Anthony Wong
Tout irait bien si ce gentil téléfilm n'était pas mis en scène par Alain Corneau, autrefois l'un des meilleurs réalisateurs français (Série Noire, Le Choix des Armes). Hors de son élément, le polar, il s'emmêle un peu les pinceaux. Tant pis.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Avec cette nouvelle adaptation d'un roman, Alain Corneau, cinéaste éclectique, creuse un sillon inédit dans sa filmographie, celui du mélo psychologique. Un registre qu'il invéstit avec délicatesse mais sans pleinement convaincre.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Cinéastes
Il n'y a jamais chez Corneau de réels méchants ou gentils, les personnages ne sont ni tout noirs, ni tout blancs, mais tout en niveaux de gris [...] La mise en scène est élégante à l'occasion [...] ce choix de tourner en grande partie en numérique HD, cette technologie qui dans ce cas précis fait régresser la qualité des prise de vues [...] mais qui a le mérite de désacraliser l'image cinématographique de la pellicule.
Elle
Joli film chuchoté, à l'instar de la chanson de Christophe B.,(...) ça rappelle le conte âpre de Jean-Pierre Denis, "La Petite Chartreuse". Corneau est plus sentimental et optimiste. [...]Après tout, pourquoi ce qui semble conventionnel ne serait pas bon et doux ?
Le Monde
Comme l'indique le titre repris d'une chanson de Christophe ("Je lui dirai les mots bleus/Ceux qui rendent les gens heureux"), Les Mots bleus est un récit d'espoir.
Première
[Alain Corneau] n'a jamais été aussi inspiré par les rapports entre les sexes. Un dîner où les mots de l'un (Vincent) submergent l'autre (Clara). La fuite vers un océan grognon... Des mots bleus, Sylvie Testud est le vecteur, le sang, le coeur. Embusquée derrière la porte qui la sépare de sa fille, incapable de répondre à la carresse sinon par la morsure, elle se montre extraordinaire de vérité intérieure.
TéléCinéObs
Le pari était difficile : adapter Leur histoire, un très beau livre de Dominique Mainard sur l'incommunicabilité. Alain Corneau s'en tire avec les honneurs. [...] porté par la chanson de Christophe, Les mots bleus racontent avec autant de délicatesse que le roman cette histoire d'individus cadenassés par leurs peurs.
Zurban
Porté par les acteurs, Corneau capte au détour d'un geste la détresse d'une âme bléssée. Et quand on voit ces personnages abandonner leurs défenses, comprendre que se donner à l'autre n'est pas toujours une façon de se perdre mais de mieux se retrouver, l'émotion monte et on se dit que Corneau a réussi un beau mélo.
aVoir-aLire.com
On devient les témoins mélancoliques d'existences solitaires qui pourraient être perdues, à tout jamais. La mélancolie s'installe aidée par la musique de Christophe, dont le tube Les mots bleus est décliné sur tout le film jusqu'à donner un caractère intemporel et atmosphérique aux images joliment photographiées par Yves Angelo. Une bien belle bande son pour un film émouvant et envoûtant qui s'impose comme l'un des plus achevés de son cinéaste.
Chronic'art.com
Sans rire, Les Mots bleus appelle plutôt pour tout commentaire un vague champ lexical de la compassion et de la sensibilité. On y souscrit un peu : pas pire qu'autre chose, le film se laisse suivre dans son chemin mille fois battu.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
Tout cela est un peu appuyé et la fin du film ne le dément pas, le tout surligné par la chanson de Christophe, une bonne idée au demeurant mais qu'il était inutile d'utiliser à deux reprises. Entre temps le film émeut par le parcours inhabituel des personnages, conjugué au talent des comédiens.
Ouest France
Le cinéaste peine le plus souvent à nous faire entrer au coeur de ce monde cloisonné, mélange de rêverie et de fantasmes sur des sentiments desséchés, dans lequel une mère et sa fille, l'étonnante petite Camille Gauthier, se sont évadées.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Sa générosité est palpable à chaque instant, mais son propos moins évident [...] Mais en s'emparant de ce matériau intime pour en faire l'histoire d'une émotion qui doit se livrer, il réussit à nous ouvrir à une aventure humaine. Le chemin que font Anna, Clara et Vincent les uns vers les autres dépasse le cas d'école et peut croiser le nôtre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Dans ce mélo vaguement social, la fillette mutique est, comme dans La Petite Chartreuse mais sur un mode plus putassier, un objet transitionnel, un doudou qui sert de lien deux êtres déphasés, un instit et la mère de l'enfant. Une love-story en toc où la fragilité ostentatoire de Sergi Lopez et l'étrangeté rédhibitoire de Sylvie Testud font tilt.
Score
Tout irait bien si ce gentil téléfilm n'était pas mis en scène par Alain Corneau, autrefois l'un des meilleurs réalisateurs français (Série Noire, Le Choix des Armes). Hors de son élément, le polar, il s'emmêle un peu les pinceaux. Tant pis.
Télé 7 Jours
Avec cette nouvelle adaptation d'un roman, Alain Corneau, cinéaste éclectique, creuse un sillon inédit dans sa filmographie, celui du mélo psychologique. Un registre qu'il invéstit avec délicatesse mais sans pleinement convaincre.