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Gitai semble de plus en plus désespéré, au vu de ce puissant Terre Promise. Le titre, lapidaire, évoque une promesse biblique, le film, colérique et hanté, ne porte que sur la trahison. (...) La vision de Gitaï est résolument noire, c'est claire.
La critique complète est disponible sur le site Elle
le trente-sixième film d'Amos Gitai. Peut-être aussi son meilleur. Celui qui contient, en puissance et en cru, ces lignes de destins que le cinéma de Gitai est un des seuls à oser suivre : celles d'humains nés au mauvais endroit au mauvais moment, coincés entre l'exil volontaire et le ballottage géopolitique qui les rabaisse au rang de marchandises.
Amos Gitaï a toujours aimé dévoiler ce que son pays ne voulait pas (sa)voir de lui-même. Ce brûlot, qui est aussi un grand film, confirme la richesse de son inspiration et la nécessité de sa colère.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le réalisateur ne tombe pas dans le voyeurisme gratuit et filme la nudité deshumanisée. Les actrices sont parfaites. (...) Il est inconfortable le chemin pour adopter cette Terre Promise qui vous met à l'aise, mais l'enjeu en vaut la chandelle.
Terre promise est une composition plastique, dont les partis formels radicaux, outre leur grande beauté, travaillent une question essentielle, passionnante, inédite: rendre perceptible la double nature du capital dans sa forme moderne, c'est-à-dire sa rigidité violente, coupante, prête à meurtrir sinon à équarrir les humains, et son extrême fluidité, la souplesse à toute épreuve de ses procédures (...).
Amos Gitaï a toujours aimé parler de ce qui dérange dans son pays. Il ne déroge pas à la règle. Dans ce film, Israël, qui fut pour beaucoup une " Terre promise ", a pactisé avec le diable. (...) Émouvant et puissant.
Terre promise dépeint Israël comme un grand bordel du capitalisme à l'heure de la mondialisation. Cette figuration de l'asservissement des corps transformés en denrées et transportés au mépris des frontières et des check-points apparaît comme une métaphore de la conquête du monde par une économie sans états d'âme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Israélien Amos Gitaï plante une nouvelle fois sa caméra dans les maux qui rongent la société de son pays éventuellement, mais de toute une région plus généralement. (...) Il y a de la rage et de la colère dans son réquisitoire. Anne Parillaud et Hanna Schygulla s'immergent dans un générique pathétique et remuant. Pour un rude moment de cinéma.
Filmé en caméra porté, ce film de fiction rejoint le documentaire tant par son esthétique que par son propos créant un malaise physique et psychologique (...).
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Amos Gitaï montre le côté sombre d'une terre où le divin a une place cruciale, et Elkabetz fait un peu la même chose, sauf qu'elle se place ici du côté de l'intime. C'est de l'intérieur qu'elle condamne le désir sous dictature. Si tous deux se demandent comment il s'y travaille, Elkabetz traite d'un avant la terreur tandis que Gitaï se charge d'un après, moment où seule la violence pulsionnelle a la parole.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le réalisateur refuse avec raison toute psychologie. En revanche, il peine parfois à définir ses personnages, tel Rose, dont on a du mal à saisir le parcours. Il va de soi que TERRE PROMISE aura gagné son pari s'il fait avancer les choses, rien n'est moins sûr.
Le film tente de nous mettre en état de choc, et l'on ne peut dénier un évident savoir-faire dans la gestion de cette énergie désespérée. cette recherche tourmentée de réalisme et pourtant contrariée par un casting déroutant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Gitaï en rajoute dans le trash et charge un peu trop son propos pour être totalement convaincant. Son montage hystérique et la montée progressive de la violence nous plongent dans un malaise persistant qui laisse un goût amer dans la bouche.
La critique complète est disponible sur le site Score
Un film qui, malgré ses lourdeurs allégoriques, est de part en part traversé d'une rage et d'une violence suffisant à tout discours. Amos Gitaï n'en finit pas de poser un regard iconoclaste sur Israël, ses mythes et ses zones d'ombre.
C'est asphyxiant et sordide, Amos Gitai filme comme il sait faire : de longs plans, caméra à l'épaule, répétitifs, insistants, instaurent une frénésie cruelle, un cauchemar angoissant... (...) Cinéaste de combats inspirés, Gitai semble, cette fois, aussi perdu que ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
Gitai semble de plus en plus désespéré, au vu de ce puissant Terre Promise. Le titre, lapidaire, évoque une promesse biblique, le film, colérique et hanté, ne porte que sur la trahison. (...) La vision de Gitaï est résolument noire, c'est claire.
L'Obs
Film mouvement, film circulation, film physique, film vertige, la plus belle réussite d'Amos Gitaï depuis "Kadosh".
L'Obs
Film mouvement, film circulation, film physique, film vertige, la plus belle réussite d'Amos Gitaï depuis "Kadosh".
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
le trente-sixième film d'Amos Gitai. Peut-être aussi son meilleur. Celui qui contient, en puissance et en cru, ces lignes de destins que le cinéma de Gitai est un des seuls à oser suivre : celles d'humains nés au mauvais endroit au mauvais moment, coincés entre l'exil volontaire et le ballottage géopolitique qui les rabaisse au rang de marchandises.
Première
Amos Gitaï a toujours aimé dévoiler ce que son pays ne voulait pas (sa)voir de lui-même. Ce brûlot, qui est aussi un grand film, confirme la richesse de son inspiration et la nécessité de sa colère.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Brazil
Le réalisateur ne tombe pas dans le voyeurisme gratuit et filme la nudité deshumanisée. Les actrices sont parfaites. (...) Il est inconfortable le chemin pour adopter cette Terre Promise qui vous met à l'aise, mais l'enjeu en vaut la chandelle.
Cahiers du Cinéma
Terre promise est une composition plastique, dont les partis formels radicaux, outre leur grande beauté, travaillent une question essentielle, passionnante, inédite: rendre perceptible la double nature du capital dans sa forme moderne, c'est-à-dire sa rigidité violente, coupante, prête à meurtrir sinon à équarrir les humains, et son extrême fluidité, la souplesse à toute épreuve de ses procédures (...).
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Amos Gitaï a toujours aimé parler de ce qui dérange dans son pays. Il ne déroge pas à la règle. Dans ce film, Israël, qui fut pour beaucoup une " Terre promise ", a pactisé avec le diable. (...) Émouvant et puissant.
Le Monde
Terre promise dépeint Israël comme un grand bordel du capitalisme à l'heure de la mondialisation. Cette figuration de l'asservissement des corps transformés en denrées et transportés au mépris des frontières et des check-points apparaît comme une métaphore de la conquête du monde par une économie sans états d'âme.
Ouest France
L'Israélien Amos Gitaï plante une nouvelle fois sa caméra dans les maux qui rongent la société de son pays éventuellement, mais de toute une région plus généralement. (...) Il y a de la rage et de la colère dans son réquisitoire. Anne Parillaud et Hanna Schygulla s'immergent dans un générique pathétique et remuant. Pour un rude moment de cinéma.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Filmé en caméra porté, ce film de fiction rejoint le documentaire tant par son esthétique que par son propos créant un malaise physique et psychologique (...).
Fluctuat.net
Amos Gitaï montre le côté sombre d'une terre où le divin a une place cruciale, et Elkabetz fait un peu la même chose, sauf qu'elle se place ici du côté de l'intime. C'est de l'intérieur qu'elle condamne le désir sous dictature. Si tous deux se demandent comment il s'y travaille, Elkabetz traite d'un avant la terreur tandis que Gitaï se charge d'un après, moment où seule la violence pulsionnelle a la parole.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Un film coup de poing qui laisse peu de place à la réflexion.
MCinéma.com
Le réalisateur refuse avec raison toute psychologie. En revanche, il peine parfois à définir ses personnages, tel Rose, dont on a du mal à saisir le parcours. Il va de soi que TERRE PROMISE aura gagné son pari s'il fait avancer les choses, rien n'est moins sûr.
Positif
Le film tente de nous mettre en état de choc, et l'on ne peut dénier un évident savoir-faire dans la gestion de cette énergie désespérée. cette recherche tourmentée de réalisme et pourtant contrariée par un casting déroutant.
Score
Gitaï en rajoute dans le trash et charge un peu trop son propos pour être totalement convaincant. Son montage hystérique et la montée progressive de la violence nous plongent dans un malaise persistant qui laisse un goût amer dans la bouche.
TéléCinéObs
Un film qui, malgré ses lourdeurs allégoriques, est de part en part traversé d'une rage et d'une violence suffisant à tout discours. Amos Gitaï n'en finit pas de poser un regard iconoclaste sur Israël, ses mythes et ses zones d'ombre.
Zurban
Amos Gitai nous projette en plein chaos, comme ces filles qui vont trouver l'enfer. Le voyage est éprouvant et la mise en scène efficace.
Télé 7 Jours
Amos Gitaï (...) filme, (...) agitant sa caméra et multipliant les flashblacks confus. Capter des émotions brutes est-il suffisant ?
Télérama
C'est asphyxiant et sordide, Amos Gitai filme comme il sait faire : de longs plans, caméra à l'épaule, répétitifs, insistants, instaurent une frénésie cruelle, un cauchemar angoissant... (...) Cinéaste de combats inspirés, Gitai semble, cette fois, aussi perdu que ses personnages.