Allez, on sacrifie un jour à la comédie américaine, un opus en l’occurrence basé entièrement sur la personnalité de Queen Latifah. Cela se sent tout particulièrement dans les scènes où elle ne figure pas, qu’un montage embrouillé tasse pour les faire rentrer en un minimum de screentime.
Vouloir de la comédie américaine, c’est ne pas avoir son mot à dire rapport aux moyens mis en œuvre. Avec une bonne dose de l’ironie étasunienne, le sujet est pourtant la richesse, & “pourquoi ceux qui la détiennent sont méchants”.
Dans un tour de passe-passe que je ne soupçonnais pas avant de poser ces lignes, Last Holiday offre tout de même un angle analytique profond (pour son genre en tout cas) : en faisant dépenser tout son argent au personnage de Latifah, le film de Wang parvient à s’en moquer (de l’argent), alors même que la dépense apporte le rêve américain dans les bras de sa protagoniste : assurance, influence, luxe, tous les ingrédients jouissifs du film (pour elle & par conséquent pour le spectateur) sont acquis à la régulière, alors même que film est une leçon de vie qui décourage cette attitude. Pour une comédie, admettez que c’est puissant.
Si Latifah dépense tout, c’est que le temps est venu de la bucket list : elle va mourir dans les trois semaines (la première partie sert à nous le faire comprendre, sans aucune retenue & avec le peu de subtilité que j’ai mentionné), alors, délaissant son petit monde de “cuisine” où elle fait du “poulet” (les mots entre guillemets sont en anglais dans le texte), elle s’envole pour un pays imaginaire (une République tchèque où l’on a déménagé les Alpes autrichiennes pour l’occasion) & s’en va vivre en mode yolo.
Il ne faut pas s’embêter à chercher la cohérence : le but était de construire un film ultrafeelgood qui fasse le plus d’outrages aux sentiments réels que possibles. Manier le charisme de Latifah en donnant dans la flatterie morale, c’était presque achever sa métamorphose en une Oprah Winfrey du septième art, personnage très inspirationnel qu’il est plaisant de voir évoluer en toute situation. C’est un conte de Noël efficace, pas marketé comme tel, sorti en mars comme par erreur, & son visionnage n’est peut-être pas tellement un sacrifice que sa superficialité peut le laisser croire.
Une comédie dramatique très sympathique qui se laisse facilement regarder. On y découvre le quotidien de Georgia Byrd, personnage avec lequel nous allons facilement nous identifier. En soit, le film n'a rien d'extra ordinaire il reprend les codes classiques du genre, on devine aisément la finalité, seulement on ne sait pas comment on va y arriver. Le casting joue une place centrale, j'ai découvert Queen Latifah que j'ai beaucoup apprécié dans ce rôle, celui d'une femme aux abois qui décide de profiter de chaque minute. Et j'ai adoré y trouver notre Gégé nationale, qui m'a beaucoup touchée. Une comédie dramatique à regarder le dimanche après-midi sous un plaid... un régal.
une comédie gentillette où Queen Latifah brille de ses talents avec naturel. le scénario est assez simpliste, certaines situations auraient pu être davantage exploitées mais le personnage de Georgia est vraiment attachant. l'idée essentielle portée "vivre chaque jour comme le dernier" est un message d'espoir et de liberté et le film une ôde à la vie.
Pas foncièrement mauvais mais loin d'être bon, ce film nous présente une comédie états-unienne et un peu lourdingue mais bon, les acteurs sont plutôt à l'aise et quand on a rien à voir ou que l'on désire végéter dans son canap', c'est idéal!
Des hauts et des bas, tout va bien tant que le réalisateur oublie un peu la guimauve et quand il réalise que le spectateur n'a pas forcément 5 ans d' age mental.
Un film dramatico-sentimentale qui traître d'un sujet fort et triste la mort . en effet quand une vendeuse dans un grand magasin apprends quelle est atteinte maladie qui ne lui reste quelques semaines à vivre elle décide alors de réaliser certains de ses voyages et de ses rêves mettez de côté depuis des années et décide de s'éclater et de profiter du peu de temps qu'il lui reste. un film plutôt touchant qui a aussi quelques scènes drôle qui montres les coulisses de la haute société grâce à certaines scène. une prestation plutôt remarqué de Gérard Depardieu pour un film qui est malheureusement méconnu dans sa filmographie américaine et française. Queen Latifah que je ne connaissais pas avant ce film mais elle est plutôt doué pour le cinéma.
Queen Latifah fait de ce film une comédie sympathique qui fait réfléchir, j'ai beaucoup aimé les répliques des scènes de la fin ! Il faudrait vivre chaque jour comme si c'était le dernier.
La fatalité, ça a du bon ! Qui ne s'est jamais posé la question de savoir ce qu'il ferait s'il devait mourir très prochainement ? Est-ce qu'on resterait avec nos proches ? Est-ce qu'on vivrait l'inimaginable ? Ce film respire la joie de vivre et l'insouciance malgré le thème abordé. Quelques scènes rigolotes sont là pour oublier certains gros clichés. Sympa.
Bluette indigeste et fadasse, pleine de bons sentiments, bâclée, ennyeuse, complaisante, dans laquelle se fourvoie Gérard Depardieu dans le rôle du “chef Didier". Grotesque !
une bonne comédie pour une soirée salon entre potes (c'est-à-dire pas besoin de trop suivre!) Par contre une Queen Latifah et un Gérard dEpardieu qui interprètent très bien leurs personnages! A voir mais sans plus