Avis : Entre les murs - Page 9

Un film vraiment passionnant, qui pose un regard fin sur l'univers de la scolarité des adolescents, et qui amène à se poser les bonnes questions. Tous les personnages sont intéressants et l'évolution de l'intensité se fait vraiment ressentir ; néanmoins, certaines scènes auraient mérité un accompagnement musical, même si l'absence de celui-ci est compréhensible.

Ce film est vraiment trés bien, et non ce n'est pas de la fiction c'est la réalité de certaines écoles. Ca m'a un peu fait penser à un reportage plutôt qu'a un film.

un très beau film sur l'éducation , très réalisme de la société , de la banlieue , des jeunes têtes à claques mauvais élèves au collège !!! Ce faux documentaire est une très belle adaptation du roman sur un professeur dans un lycée confronté à des élèves "difficiles" !!! Bouleversant !!! Il mérite sa palme d'or controversée !!!

Entre les murs est un film de Laurent Cantet, tourné comme un documentaire nous racontant la vie et le quotidien d’un professeur de français, François, qui va faire tout ce dont il est capable pour rallier ces élèves « difficiles » avec l’école, annonçant un vrai combat verbal opposant élève et parents, partageant chacun son propre point de vue, tout les élèves ayant leur propre personnalité.
Notons aussi que ce film est l'adaptation d'un roman de François Bégaudeau paru en 2006 aux Editions Verticales.
Le scénario, il faut l’avouer est vraiment d’une très grande finesse, très bon, et d’un réalisme déconcertant, surtout pour les actuels élèves qui se rendront bien vite compte de la réalité des propos tenu de toute part que ce soit professeur ou élèves, on a tous entendu un jour ces phrases. Par conséquent ce concept se révèle prenant,
Des acteurs tous superbes et crédible à la perfection, si bien qu’on pourrait croire à un vrai cours dans ce lycée de Seine-Saint Denis sans même que ces protagonistes aient remarqués un quelconque caméraman. En effet, François Bégaudeau dans son rôle de professeur de français est vraiment parfait, ayant cela ne fait aucun doute été puisé de sa propre expérience puisqu’il a aussi été professeur auparavant dans un collège du XIXe arrondissement, et composé de toute cette classe vraiment garnis de très bons acteurs, notamment Franck Keita qui interprète Souleyman et Esmeralda Ouertani qui joue cette élève certes rebelle mais que j’ai trouver très charismatique malgré le fait qu’elle pourrait ressembler un cauchemar pour tout professeur qui se respecte, on se régale d’une classe offrant autant de situations vraiment réalistes, pertinentes et vivante, à aucun moment ne serait-ce qu’une réplique m’est apparu inutile !
Voilà enfin un film privilégiant le dialogue aux sanctions,
Ce film a vraiment raflé bon nombre de titre et vraiment fait parler de lui au 61e festival de Cannes ! (6 prix et 20 nominations dont la palme d’or) De plus, la précédente Palme d'or française remonte à 1987 ! Ce film traite d’ailleurs de plusieurs thèmes comme la différence, l’intégration sociale et culturelle, l’égalité et l’inégalité des chances, une impression particulière d’authenticité se démarque alors de ce merveilleux film qui allie émotion et humour si bien que je conseille ce film à vraiment tout le monde !

« Entre les murs », fameuse palme d'or 2008, est une belle supercherie... Si le film se veut réaliste et représentatif des collèges difficiles d'Ile de France, ça fait plus documentaire pour la télévision qu'autre chose... Malgré quelques répliques bien huilées, le film n'a finalement aucune conscience cinématographique, n'a aucun acteurs, juste des jeunes gens bien insupportables qui n'avaient rien à faire sur la Croisette... Non, Monsieur Sean Penn, cet « Entre les murs » ne méritaient pas la récompense ultime, cela devient vite agaçant et finalement pas intéressant.

une belle daube comme souvent parmi les films Français.mais celui la a la particularité de mettre en avant des gens sans aucun talents niveau cinéma (et je me demande comme il a pu gagné la palme) faut arrêté de la donné a des film gerbant.bref ce film est une daube et il est à fuir comme la peste

à ma grande surprise, très intéressant et pas du tout ennuyeux, bien au contraire attachant tout en cherchant à nous faire réfléchir. Complexe et pas manichéen comme je craignais.

Super .Ce film est vraiment trop bien.Et les critiques pense pareil .Il faut que tout le monde voit ce film.

Un très joli film, plus proche du genre documentaire, mais réellement enrichissant.

Un film sur l'univers des colleges ZEP. Le film est bien realise on se prend vraiment à tous ces personnages. La chute de l histoire n'est pas exceptionnelle mais nous fait bien comprendre qu il est difficile d'enseigner dans ces colleges et que c'est parfois difficiles de trouver le juste emilieu entre un faible et un trop fort interet pour des eleves qui nous le rendront pas totalement.

Grosse claque en regardant ce film! La réalité que nous expose ce mélange de comédie et de récit fait froid dans le dos. La situation de l'éducation dans les quartiers difficiles en est à un point dangereux dans l'avenir social de la France. C'est une très belle mise en avant, très bien réalisée, et très bien jouée. Il est intéressant également de voir le mur qui sépare le prof de ses élèves, cette incapacité à transmettre son savoir et ses expériences. Excellent film à voir de toute urgence pour ceux qui ne l'auraient toujours pas fait.

Tellement réel, des personnages attachants,un professeur élégant et plus que présent!

super film sur une classe,ses peurs,ses mauvais et bons moments,palme d'or méritée

Cette fâcheuse réalité tabou dont personne n'osait vraiment évoqué sans prendre des pincettes a maintenant été diffusé sur grand écran. Bravo Laurent Cantet pour avoir dirigé ce film brillant et par la même occasion pour nous avoir offert un merveilleux tir groupé de différents problèmes sociaux qui seront abordés tout le long du film. Une approche réaliste dérangeante d'un lycée de banlieue et plus particulièrement d'une classe qui mène la vie dure à ses différents enseignants. Notamment à leur professeur de français qui essayera de les aider et les motiver pour qu'il réussissent leurs études, il fait preuve d'une détermination quasi-sans faille qui portera ses fruits au fil d'un combat quotidien qui engendre des rivalités ado/adulte. Une authenticité se dégage de ce film filmé quasiment à la manière d'un documentaire, une façon de faire qui touchera et surtout émerveillera bon nombre de spectateurs. Pour le réalisé Laurent Cantet employa de nombreux acteurs amateurs collégiens mais aussi professeurs pour retranscrire au mieux l'ambiance d'une classe tel que la leur; voilà le début d'une longue liste que l'on pourrait donner pour justifier son comportement maniaque et son don pour l'anecdotisme qui a grandement contribué à apporter toute la véracité que le film dispose. Le film est par ailleurs, tiré d'un roman, écrit par François Bégaudeau, si ce nom vous parle ne serait-ce que vaguement c'est tout à fait normal car c'est l'acteur qui incarne le prof de Français dans le film; rôle qu'il puisse de sa propre expérience car il s'en est grandement inspiré pour écrire son ouvrage. Alors oui, ce film n'a pas fini de faire grincer des dents et ce pour la bonne raison que Cantet a viser juste, un sujet qui dérange en plein cœur de l'actualité ça ne risque pas de plaire à tout le monde surtout à l'Education Nationale qui n'a pas fini de discrédité et de conspué le film. Très beau film français qui a de plus, raflé la Palme d'Or provoquant des réactions unanimes sur une vérité qui effraie, pour moi c'est un chef d'œuvre, je termine cette critique en vous montrant un petit exemple d'une enseignante de banlieue visiblement complètement abattue et dépité à la vue du film : ''Je crois profondément, après avoir vu le film, que la Palme d’or fait le jeu de l’extrême droite. En effet, ‘’Entre les murs’’ jette le discrédit sur l’école publique en montrant des professeurs névrosés et des élèves issus de l’immigration, crétins. Indirectement, le film laisse sous-entendre qu’il faudrait privatiser l’école "

encore du cinéma démago, plein de clichés.