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    Entre les murs
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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 octobre 2009
    Personnellement j'attendais beaucoup de se film en espérant y trouver une dénonciation et peut être même une solution de ces cas dit difficile. Malheureusement j'ai été terriblement déçu, se film et plat et insipide et n'a pour ainsi dire aucun intérêt car selon moi il n'y a pas d'histoire se film serai plus un documentaire qu'une fiction, a y réfléchir il ne se rapproche pas non plus du documentaire car le film est bien loin de la réalité. On peut y voir une vision bien idéalisée de la situation réel. De plus l'acteur réalisateur et scénariste n'a aucun talent. Heureusement le sujet du film à été repris admirablement par Jean-Paul Lilienfeld dans la journée de la jupe où l'on peu voir la réalité de la situation.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 avril 2009
    Pour commencer, ce film devrait être tourner dans plusieurs endroits différents, hors, ce n'est pas le cas. Une classe d'étudiants qui passe leur temps à papoter, sans bouger, à être coller à leurs chaises, franchement, ça se bouge pas. Ce n'est pas un film, j'ai l'impression d'être en cours à ne rien faire, mis part me tourner les pouces, en écoutant des anneries pareils. Ce film devrait mériter et être le grand vainqueur des razzies awards, au lieu d'avoir la palme d'or.
    officiel76
    officiel76

    46 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 octobre 2008
    c'est amusant quand onlit les critiques des autres de constater qu'on peut mettre une note aussi differente avec des opinions si similaires. navrant de constater que faire l'apologie de quelques jeunes en déroute,dans un lycée qui l'est presque autant, suscite autant de compassion de la part de quelques uns...complaisance pour un sujet qui fâche ou l'on entend tout et son contraire, et ou l'on s'interesse finalement à certains au détriment de ceux qui réussissent et qui donnent l'exemple. reflet d'une société malade, portée par tous ces gens qui font de la mixité sociale un parangon de vertu mais inscrivent leurs enfants dans les écoles huppées. c'est caricatural de vouloir à tout prix nous attacher à ceux qui soit disant n'ont rien....alors comment expliquer qu'auparavant, ces mêmes enfants issus de l'immigration italienne ou polonaise aient réussi à recevoir une éducation excellent , sans plus de moyens intellectuels ou matériels que ceux d'aujourd'hui, et même dans des conditions bien pires? une collection de têtes à claques, voilà ce que j'ai vu pendant une heure et demi, et cela autant pour le prof que ses élèves. à vouloir à tout prix que les enfants s'expriment, ils en perdent surtout beaucoup de temps à dire n'importe quoi...
    charly5766
    charly5766

    14 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 janvier 2014
    Un grand film sociologique français, dans la lignée de La Haine et de Polisse. Certains pourraient ne pas voir de cinéma à l'intérieur, et pourtant le cinéma sert aussi à ça. Entre les murs reflète parfaitement notre quotidien, notre société actuel, tous les problèmes liés à l'éducation en général. Rien n'est vraiment jugé, tout n'est qu'observation et interrogation ... en un mot brillant !
    dahbou
    dahbou

    204 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 décembre 2009
    Imaginons de vaillants bobos jouant les anthropologues en s'intéressant à cette espèce bizarre et souvent décriés qu'est le jeune de banlieue. Pour cela, notre joyeuse équipe,sans sortir du 16ème, va tourner un film en s'inspirant du journal de 13h de Tf1 pour en livrer une inspiration toute personnelle entre démagogie et cliché le plus pur. Et pour cela, il faut rendre hommage à François Begaudeau déjà critique de cinéma calamiteux ayant eu la grande idée de jouer le rôle principal celui d'un professeur ( poste qu'il a jadis occupé ce qu'il a rappelé une paire de fois en interview et qui devrait être la garantie véridique pour son livre). Mais bouffé par son égo et vivant dans la 4ème dimension, il livre une prestation le donnant grand favoris pour une prochaine apparition dans "Plus belle la vie".
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 octobre 2012
    J'avais lu "Entre les murs" et je l'avais beaucoup apprécié pour sa drôlerie, pour son sens du rythme, pour l'honnêteté du narrateur dans sa façon de raconter aussi ses erreurs et pour l'équité de son ironie vis-à-vis des profs et des élèves. J'ai donc été ravi de voir le film de Laurent Cantet recevoir la Palme d'Or des mains de Sean Penn, et même un peu jaloux des élèves en train de poser avec leur babiole dorée aux côtés de Natalie Portman.

    Depuis est venu se greffer un autre débat, qui n'est pas sans rappeler celui qui avait accompagné le succès de "Etre et Avoir" : Alain Finkielkraut dénonce (sans avoir vu le film) la suffisance de François Bégaudeau et Philippe Meirieu qualifie le film d'idéologiquement dangereux : "François Marin, avec les meilleures intentions du monde, met en oeuvre une pédagogie calamiteuse. (...) C'est une bombe à retardement contre l'école publique. Je crains que des parents, effrayés par le tableau que l'on en donne, n'aient qu'une idée : préserver leurs enfants de cet univers en les mettant à l'école privée !"

    Diantre ! Bégaudeau complice de Mgr Di Falco ? De même que M. Lopez avait été transformé en Don Bosco laïque malgré sa pédagogie qui sentait quand même bien la naphtaline, doit on regarder M. Marin comme un prophète d'une didactique révolutionnaire de la frontalité ? Ce n'est à l'évidence ni l'intention du principal intéressé, ni celle de Laurent Cantet : "Le film ne cherche ni à ménager les uns, ni à charger les autres : ils tous leurs faiblesses et leurs fulgurances, leurs moments de grâce et de mesquinerie."

    Contrairement à ce que craignent Finkielkraut ou Meirieu, "Entre les murs" ne prétend pas proposer un remède à la crise de l'enseignement en France ; il se contente d'établir un tableau clinique, et c'est déjà beaucoup. Ce diagnostic peut se résumer par cette phrase de Bégaudeau : "L'école crée sans cesse des situations géniales ; mais on sait en même temps qu'elle est, au final, discriminante, inégalitaire, qu'elle fabrique de la reproduction : cette tension est celle du film."

    J'étais curieux de voir comment Laurent Cantet allait adapter le roman de Bégaudeau, quelles coupes il allait faire et quels épisodes il allait privilégier, sans dénaturer la pulsation donnée par la répétition des petits détails (les motifs brodés sur le t-shirt, les discours en boucle dans la salle des profs) et les grands événements (les nombreux conseils de discipline, l'avancée de l'action pour empêcher l'expulsion de la mère de Ming). Forcément, il a dû resserrer le récit entre les quatre murs de cette classe et moins jouer sur la rengaine. Mais ce qu'on perd en cocasserie, on le gagne en profondeur, et les plans larges intermédiaires viennent apporter une respiration après les gros plans du huis clos.

    Car Laurent Cantet filme à l'intérieur de la classe comme rarement on l'a fait, différemment d'Honoré ou de Kechiche, par exemple. Sans jamais chercher à décrire l'espace par des plans d'ensemble, il filme constamment au plus près des personnages, jouant sur les voix hors cadre et sur la saisie au vol d'un détail (le drapeau algérien sur le pannonceau de présentation de Chérif, une main qui pianote un texto sous la table). Mais la clé de voûte de cette réussite impressionnante, c'est la qualité du jeu des jeunes acteurs. Ils ont travaillé l'improvisation pendant un an pour parvenir à s'approprier des dialogues écrits tout en les enrichissant de leur propre personnalité. Le résultat est fluide, et donne cette impression documentaire soulignée par la critique, alors qu'on est au summum de mise en scène et de la direction d'acteurs.

    Cantet ne joue pas la facilité : pas de musique, aucun effet d'accéléré ou de ralenti. Il laisse aux scènes le temps qu'il leur faut, un peu comme chez Kechiche : les discussions entre profs pour savoir s'il faut déférer Souleymane en conseil de discipline peuvent paraître longues, mais elles sont nécessaires pour faire émerger les contradictions et les divergences. Et puis, la longueur ne se fait pas sentir grâce à la variété des sensations sucitées : certaines scènes déclenchent le rire, comme les contradictions dans lesquelles François s'enferme tout seul, ou le débat en conseil d'administration sur la machine à café, d'autres prennent aux tripes, comme l'attitude de la mère de Souleymane au conseil de discipline, ou le constat désespéré d'Henriette à la fin de son année.

    Récompensé à Cannes, promis au palmarés des Césars, sélectionné pour représenter la France aux Oscars, "Entre les murs" mérite maintenant de rencontrer le plus large public : par la générosité qui traverse tout le récit et l'intelligence de la mise en scène, c'est clairement le film français le plus intéressant depuis "L'Esquive".
    http://www.critiquesclunysiennes.com
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 mars 2009
    Je ne comprend pas du tout l'engouement que ce film a suscité. Bégaudau m'exaspère. Il n'y a rien de neuf dans le projet de l'autoportrait qui avait déjà été traité dans le film "Ecrire pour exister". Un film moyen mais qui décrivait une démarche sincère d'ouverture à l'autre. Ici, même les élèves ne sont pas dupes."Je ne pense pas que ça vous interesse vraiment" dit une élève à Bégaudau. Elle a bien raison de se méfier c'est le sentiment que j'ai eu durant tout le film. Heureusement à 30 ans Bégaudau n'est déjà plus prof. Lorsque les élèves dénoncent des propos tenus sur Souleymann, qui serait d'après leur prof principal "scolairement limité", l'adulte choqué réplique en traitant les deux délégués de pétasses. Je ne savais plus trop si je devais rire ou pleurer, tellement c'était lamentable. Comment instaurer la discipline sans respect? J'imagine la difficulté qu'est enseigner à des jeunes qui ne parviennent pas à se sentir investit et dont la plupart n'ont pas de saisi l'importance de l'apprentissage. Mais en l'absence de référent crédible comment peut-il en être autrement ?J'admire infiniment les vrai profs qui avec force, conviction et motivation essaye tant bien que mal à mener leur classe contre vents et marées. ça existe! Ce n'est pas le cas de ce prof qui n'a pas les épaules. Un de ses collègues l'accuse lors d'un conseil de classe d'"acheter la paix sociale". C'est vrai. Il se contente de se mettre en scène dans des situations qu'ils ne comprend pas. Lorsque le jeune gothique se lève pour demander qu'on respecte ses choix vestimentaires, Bégaudau se fout de sa gueule avec le reste de la classe. Si il n'y a qu'une chose à sauver de ce naufrage ce serait les élèves, qui, à l'inverse, sont tous très crédibles. J'avais lu le livre, je l'avais trouvé mal écrit et vide de sens. La palme d'or m'a poussé à regarder le film. J'en ressort inquiète et attérée. Et L'education nationale veut en faire un film de référence et le diffuser dans les écoles..AuSecours!
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juillet 2022
    La Palme d’or du festival de Cannes en 2008 remise au long-métrage de Laurent Cantet pour ce documentaire-fiction constitue une belle révélation. En nous immergeant dans la classe d’un collège déshéritée de Paris, le projet brosse le portrait d’une frange de la population en marge du système scolaire. Grâce à une mise en scène ingénieuse, les joutes verbales qui s’instaurent entre ce professeur de français (François Bégaudeau, lui-même ancien enseignant et auteur du roman support du scénario) et ses élèves (tous amateurs) permettent de livrer une radioscopie sans concession de cette génération. Il n’y a aucun misérabilisme ni conte de fée. C’est direct, efficace et puissant. Bref, un film coup de poing reflet d’une société fragmentée.
    ml-menke
    ml-menke

    40 abonnés 551 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 mai 2012
    Une classe de 4ème pendant une année luttent pour affronter leurs difficultés. La suite de leur vie reste incertaine. C'est un bilan sur l'éducation en France pas glorieux mais sans mensonges. Le film lui opère sa mission de prise de conscience mais comme oeuvre cinématographique ne va pas plus loin. Les petits défauts des acteurs et les manques dans le scénario sont bien présent.
    Mi-k B
    Mi-k B

    3 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 septembre 2013
    Je voulais voir ce film, néanmoins, je pensais finir par m'ennuyer, d'autant qu'il durait 2h. Et bien pas du tout, le film se déroule devant nos yeux sans que l'on voit le temps passer. A la rigueur même, je le trouve trop court car, effectivement, il aurait fallu montrer une évolution de cette microsociété, une évolution dans les rapports des personnages à mon sens, bien trop survolée. Je verrai bien une série montrant tout une année scolaire ... En tous cas, même si je doute de leur réel talent de comédiens, ces jeunes collégiens sont brillants de naturel ce qui rend ce film proche du documentaire ...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 juillet 2009
    j'avoue que je ne m'attendais pas à mieux en voyant ce film..car j'avais déjà une idée bien précise...
    ce film est tout simplement l'éloge de la démagogie, quelque chose que je trouve tout simplement insupportable. les professeurs ont le devoir de transmettre des connaissances , et non de faire ami ami avec les élèves pour que ceux ci soient plus "dociles"...et l'enchainement des événements dans le film est bien la preuve que cette tactique ne marche pas. les professeurs sont donc très peu crédibles!! quant aux élèves...j'espère juste qu'ils jouaient vraiment un rôle exagéré..car ces attitudes odieuses ne seraient tolérées longtemps et oubliées à l'aide d'autoportraits!!!
    en bref un film qui ne méritait pas du tout la palme d'or..(dire qu'il y avait valse avec bashir cette année!c'est navrant!)
    je pense que ce film a remporté le succès par le fait qu'il transmet à certains le système éducatif idéal, où les élèves ont tout simplement le pouvoir sur le corps enseignant..qui a d'ailleurs détester ce film pour les même raisons que moi!
    bref je conseille tout de même de voir ce film , pour que chacuns donne son opinion..
    Plume231
    Plume231

    3 887 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mai 2011
    Juste après avoir vu une des deux Palmes d'or 1997, on se reporte onze ans plus tard et quelques milliers de kilomètres plus à l'Ouest juste dans nos chères belles contrées. Alors une Palme d'or à un film français c'est tellement rare donc ça fait toujours plaisir à notre côté chauvin. Pour le film en lui-même, ce n'est certes pas un grand film, pas celui qui marquera l'Histoire du cinéma d'autant que c'est une oeuvre assez bien française et qui ne doit pas parler autant aux autres pays (il est tout à fait possible que je me trompe totalement sur ce point mais le système d'éducation est loin d'être le même dans les autres pays!!!), et que l'on peut le trouver parfois un peu long. Reste que c'est un témoignage inestimable de notre époque sur un des aspects les plus importants de notre société à savoir l'Education nationale. Parfois certaines séquences sont comme des madeleines de Proust où on peut se dire qu'on a déjà vécu ceci ou cela sur les bancs de l'école, très bien aidé d'ailleurs par une interprétation toute en spontanéité et impossible à prendre en défaut. Palme d'or 2008, vu.
    Loskof
    Loskof

    388 abonnés 688 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 novembre 2011
    Comme d'habitude une palme d'or qui ne vaut pas son titre, ou plutôt qui le vaut tant les critères pour l'obtenir sont misérables. Le problème du film vient de son parti pris. Et oui on a bien dis "film". Si entre les murs avait un documentaire il aurait facilement mériter 3 ou 4 étoiles tant il relate bien les problèmes de l'éducation nationale à faire face à des élèves qui n'en ont rien à faire. De ce côté, Entre les murs est très réussi, ne rajoute rien voire enlève un peu à la réalité. Le seul problème c'est qu'ici, o à affaire à un film et qui dit film dit scénario, jeu d'acteurs, suspens.. et là, il n'y a tout simplement rien! ça fait certes réel puisque c'est filmé comme une documentaire mais ça n'en est pas un donc la démarche est vicieuse car elle pourrait cacher les défauts de cette production. Or des défauts il y en a plein. Il n'y a pas de scénario, juste une succession d'éléments ayant un vague rapport les uns les autres ne présentant aucune évolution dans l'histoire. L'écriture est très pauvre, les répliques de l'enseignant sont à pleurer. Quant au jeu d'acteurs on touche parfois le fond avec les autres professeurs. On finit par s'ennuyer devant cette fresque pas si bien écrite et lassante dans les situations qu'elle propose. La critique d'éducation nationale et de ses élèves est très juste mais on parle de cinéma et cela ne suffit pas du tout à faire un bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mai 2013
    Très beau film. Très bon scénario. On ne s'ennuie jamais. Et surtout extrêmement (mais vraiment extrêmement) bien joué. Je ne mets pas chef d’œuvre mais, ... ah si tiens je vais mettre chez d’œuvre !
    LaPoesiedAtitla
    LaPoesiedAtitla

    3 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 mai 2013
    Toute la problématique de l'éducation nationale et de la France chorale ! J'ai eu peur que cela fasse trop "documentaire", et finalement, c'est passionnant comme un bon thriller. On ne décroche pas un instant, grâce, notamment, à des comédien(ne)s magnétiques !
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