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Note moyenne
2,3
19 titres de presse
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France Soir
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MCinéma.com
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Première
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Score
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Studio Magazine
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Brazil
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Cahiers du Cinéma
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Chronic'art.com
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Ciné Live
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Elle
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L'Express
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Le Monde
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Les Inrockuptibles
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Ouest France
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Positif
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TéléCinéObs
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Télérama
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Zurban
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aVoir-aLire.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
France Soir
(...) surprise, Titoff ne se débrouille pas si mal. (...) Il s'agit du parcours touchant de Léo, jet-setter léger, insouciant, insupportable à certains égards, et dont la vie bascule dans un ravin après un virage.
MCinéma.com
Cavalcade ne nous offre qu'une course au ralenti. Pourtant, il y a du mieux (...). On est même parfois ému ! Les effets de mise en scène sont toujours un peu lourds, clichés et sans recul (...). Les dialogues parfois involontairement tordants (...). Malgré tout, quelques scènes surnagent ça et là et parviennent à toucher. Steve Suissa les doit notamment à l'investissement indéniable de Titoff dans ce rôle très physique et aux anecdotes bien vues de la vie à l'hôpital.
Première
Comme d'habitude, Suissa (...) réalise un film touchant mais plein de maladresses. (...) comment à partir d'un sujet aussi fort, faire un film aussi peu viscéral ? Et puis, n'est pas Javier Bardem qui veut....
Score
Si le film est touchant, c'est d'abord parcequ'il est tiré d'une histoire vraie. Titoff est très convaincant dans ce rôle dramatique, entre amertume, désespoir, rage et humour. Et même si le récit ne va dans aucune direction précise, on se laisse embarquer. Un gros regret : le dernier plan, digne d'une pub pour le Téléthon.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Brazil
Cavalcade fonce droit vers un cinéma des années 80, Titoff faisant assez bien un néo-Richard Anconina (...). [...] film ni bon ni mauvais, mais terriblement antidaté. Si l'ambition de Steve Suissa était de faire un cinéma de vieux, c'est réussi, il est devenu le nouveau Elie Chouraqui. Tant pis pour un sujet qui aurait mérité plus de teigne qu'un docudrama insipide d'1h30 (...).
Cahiers du Cinéma
Soit qu'il ait prévu le coup, soit qu'il ait réalisé très tôt que Titoff ne valait pas beaucoup plus comme comédien que comme comique, Steve Suissa érige cette stratégie en principe de direction d'acteur. Figé dans des ralentis mythologique, bâilloné par une cigarette mélancolique au bec et par une musique off (...), Titoff n'a pas le loisir de laisser voir qu'il n'a rien à montrer.
Chronic'art.com
Oh le gros nanar, voyez-le : Leo (Titoff, énorme, on y revient, 1). (...) On rigole, mais attention, attention à l'émotion : Cavalcade n'est pas seulement un non-film, c'est une histoire vraie de vraie, 100% pure leçon de vie sur le courage et la force d'aimer et tout et tout. (...) Cavalcade restera dans les annales du cinéma poids plume de coq surtout pour ses qualités esthétiques, qu'il a immenses.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Suissa réussit le tour de force de filmer l'accident plus mal que dans le remake des "Choses de la vie", d'émasculer la psychologie du héros et de tout traiter sur le même plan. On hésite entre mièvre et superficiel. La mise en scène s'étourdit d'effets vidéoclipesques quand c'est inutile, et s'aligne sur les sitcoms lorsqu'on a besoin d'elle. Un point fort dans ce désastre : (...) la présence et le charme de Titoff.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Pour faire passer son message ("les handicapés sont des gens comme vous et moi et qu'il faut considérer comme tels"), le réalisateur Steve Suissa enfile les clichés et donne peu de chances à ses acteurs d'être un tant soit peu crédibles. Titoff réussit plutôt bien sa performance de paraplégique, mais ne sauve pas le film dont les cadres, les dialogues, les situations, trahissent une triste désinvolture.
Les Inrockuptibles
Le problème majeur de cette adaptation du "roman autobiographique" de Bruno de Stabenrath, c'est Titoff. Erreur de casting : le comique marseillais est à côté de la plaque (...) à la limite de l'inexistence (...). Le reste, malgré des effets de flash-back insistants, est à l'avenant. Même Michel Legrand (...) semble être aux abonnés absents.
Ouest France
Le malheureux Titoff est dépassé par une composition qui le voit réciter avec application tous les gestes, attitudes et mouvements de sa condition. Mais on sent trop l'exercice pour (...)qu'apparaisse le minimum d'émotion attendue. Il n'est pas aidé par une mise en scène et un scénario, surtout, qui se perd dans le catalogue des séquences obligées. Avec ralentis et flashbacks (...) procédés, ici inefficaces. (...) Le résultat est confondant de naïveté et de simplisme.
Positif
Un ratage complet, malgré un casting de choix pour les seconds rôles (Bohringer, Todeschini, Cotillard notamment son impeccables).
TéléCinéObs
"Cavalcade" s'inscrit d'emblée dans un rapport ambigu à "l'histoire authentique" qui devient consternant lorsque le film se met à accumuler les effets mélodramatiques.
Télérama
Un sujet difficile, qui réclamait un minimum de subtilité et de mesure. Hélas, si le comique Titoff est assez convaincant dans un registre nouveau pour lui, l'esthétique de sitcom, la musique mélo pompeuse et les ralentis à répétition désamorcent toute émotion.
Zurban
(...) une adaptation emphatique et appuyée de Cavalcade, roman de Bruno de Stabenrath (...). Rien ne nous est épargné. Ni les ralentis, ni les amoureux qui courent sur le sable en se criant "je t'aime". Reste la vraie bonne surprise sdu film, un Tittof inattendu, parfait dans ce rôle (....) il trouve toujours le ton juste, laissant percevoir sa souffrance derrière une décontraction forcée.
aVoir-aLire.com
L'histoire a beau être vraie (nous précise-t-on avec insistance), elle n'échappe pas pour autant à la caricature. (...) Autant dire que cette année de rééducation à Garches est longue, très longue (...). Alors même s'il est question de triomphe de la vie sur l'adversité, la noblesse du propos n'excuse pas tout, et cette démonstration malhabile ne fait que desservir une histoire qui aurait pu être exemplaire.