Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Humanité
par Michèle Levieux
Tout ce qui constitue le monde de Bahman Ghobadi, le cheminement tragique mais aussi l'humour voire le burlesque participent de son oeuvre. Ses enfants de la guerre vivent dans des conditions horribles, dans des terrains minés, aux prises avec les soldats de l'armée irakienne qui tuent et violent. Bahman nous montre cette réalité de manière troublante.
Le Figaroscope
par Emmanuèle FROIS
Avec ce film, fort, tragique, puissant qui ressemble à un cri, Bahman Ghobadi dénonce et ne nous épargne en rien. Il filme de manière frontale la douleur de ces gamins mutilés, blessés autant dans leur corps que dans leur âme. A travers eux, c'est l'histoire du Kurdistan que le cinéaste évoque. Une terre dont le passé et le présent ne sont que souffrance.
Libération
par Gérard LEFORT
Kak Satellite s'entiche de cette petite bande comme le cinéaste les filme : entre stupéfaction et envie de les protéger. (...) C'est sur ce versant d'un réalisme magique que les tortues de Bahman Ghobadi prennent leur envol : un conte de fées nettement plus Carabosse que Cendrillon.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
De magnifiques portraits d'enfants embourbés dans la tragédie de la guerre. Un film exemplaire et poignant.
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
La force de Bahman Ghobadi est de faire le portrait d'une société tout en ne s'attachant qu'à en filmer les enfants. Sobrement mis en scène, superbement dirigés, ils nous racontent leur histoire horrible et sans espoir. Témoin de leur abîme, le spectateur est terrassé. La réalité à laquelle il est confronté passe la rampe de l'horreur et touche par la justesse de sa réalisation.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Isabelle Regnier
Loin de la radicalité de Rossellini, le film de Ghobadi n'en est pas moins honnête et juste. Son parti pris narratif consiste à glisser progressivement du registre de la comédie, parfois burlesque, à celui de la tragédie. Le style, conventionnel, manque parfois de subtilité, mais n'empêche pas la présence de quelques beaux moments de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Guillaume Tion
En montrant la guerre par le petit bout de la lorgnette, proche des civils, obscurs figurants oubliés des médias occidentaux, Ghobadi parvient à son but avoué : synthétiser la douleur d'un peuple en 95 minutes éprouvantes de réalisme.
Ouest France
par La rédaction
Le troisième film de Bahman Ghobadi (Un temps pour l 'ivresse des chevaux, Les chants du pays de ma mère). Le plus dur aussi, parce que le plus proche de la réalité. La détresse racontée à travers le cas des enfants.
Première
par Mathieu Carratier
Bahman Ghobadi se place du côté des laissés-pour-compte de la seconde guerre du Golfe et livre une chronique douce-amère de leur quotidien, entre déminage et passage forcé à l'âge adulte. Plutôt réussi.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Un film porté par l'énergie du désespoir, beau et cruel.
Zurban
par Olivier Pélisson
Dénué de misérabilisme mais témoin de la misère du monde, un film salutaire qui prend aux tripes.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Un film-prétexte sur la misère qui peine à se démarquer de la réalité formatée du JT.
Télérama
par François Gorin
Pourquoi, ici, le bât blesse-t-il un peu ? Prendre appui sur les enfants pour dénoncer l'horreur des guerres est inattaquable. Et Ghobadi sait bien montrer comment, parmi ces gosses livrés à eux-mêmes, poussent les mauvaises herbes de la hiérarchie et de la domination. Mais si la méthode est légitime, elle invite à recourir à des ficelles mélodramatiques un peu faciles, voire à des suspenses entachés d'invraisemblance (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
[...] surenchère et redondance, chantage à l'accumulation émotionnelle et thématique recyclent le meilleur cinéma de son pays pour en donner une version saturée, où l'adresse de l'assemblage des thèmes et le sens de l'imagerie garantissent l'efficacité. [...] le film ne laisse pas la moindre place pour réfléchir à quoi que ce soit, pour se trouver fût-ce une toute petite place de spectateur. Il a été couvert de récompenses dans le monde.
L'Humanité
Tout ce qui constitue le monde de Bahman Ghobadi, le cheminement tragique mais aussi l'humour voire le burlesque participent de son oeuvre. Ses enfants de la guerre vivent dans des conditions horribles, dans des terrains minés, aux prises avec les soldats de l'armée irakienne qui tuent et violent. Bahman nous montre cette réalité de manière troublante.
Le Figaroscope
Avec ce film, fort, tragique, puissant qui ressemble à un cri, Bahman Ghobadi dénonce et ne nous épargne en rien. Il filme de manière frontale la douleur de ces gamins mutilés, blessés autant dans leur corps que dans leur âme. A travers eux, c'est l'histoire du Kurdistan que le cinéaste évoque. Une terre dont le passé et le présent ne sont que souffrance.
Libération
Kak Satellite s'entiche de cette petite bande comme le cinéaste les filme : entre stupéfaction et envie de les protéger. (...) C'est sur ce versant d'un réalisme magique que les tortues de Bahman Ghobadi prennent leur envol : un conte de fées nettement plus Carabosse que Cendrillon.
aVoir-aLire.com
De magnifiques portraits d'enfants embourbés dans la tragédie de la guerre. Un film exemplaire et poignant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
La force de Bahman Ghobadi est de faire le portrait d'une société tout en ne s'attachant qu'à en filmer les enfants. Sobrement mis en scène, superbement dirigés, ils nous racontent leur histoire horrible et sans espoir. Témoin de leur abîme, le spectateur est terrassé. La réalité à laquelle il est confronté passe la rampe de l'horreur et touche par la justesse de sa réalisation.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Loin de la radicalité de Rossellini, le film de Ghobadi n'en est pas moins honnête et juste. Son parti pris narratif consiste à glisser progressivement du registre de la comédie, parfois burlesque, à celui de la tragédie. Le style, conventionnel, manque parfois de subtilité, mais n'empêche pas la présence de quelques beaux moments de cinéma.
MCinéma.com
En montrant la guerre par le petit bout de la lorgnette, proche des civils, obscurs figurants oubliés des médias occidentaux, Ghobadi parvient à son but avoué : synthétiser la douleur d'un peuple en 95 minutes éprouvantes de réalisme.
Ouest France
Le troisième film de Bahman Ghobadi (Un temps pour l 'ivresse des chevaux, Les chants du pays de ma mère). Le plus dur aussi, parce que le plus proche de la réalité. La détresse racontée à travers le cas des enfants.
Première
Bahman Ghobadi se place du côté des laissés-pour-compte de la seconde guerre du Golfe et livre une chronique douce-amère de leur quotidien, entre déminage et passage forcé à l'âge adulte. Plutôt réussi.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Un film porté par l'énergie du désespoir, beau et cruel.
Zurban
Dénué de misérabilisme mais témoin de la misère du monde, un film salutaire qui prend aux tripes.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Un film-prétexte sur la misère qui peine à se démarquer de la réalité formatée du JT.
Télérama
Pourquoi, ici, le bât blesse-t-il un peu ? Prendre appui sur les enfants pour dénoncer l'horreur des guerres est inattaquable. Et Ghobadi sait bien montrer comment, parmi ces gosses livrés à eux-mêmes, poussent les mauvaises herbes de la hiérarchie et de la domination. Mais si la méthode est légitime, elle invite à recourir à des ficelles mélodramatiques un peu faciles, voire à des suspenses entachés d'invraisemblance (...).
Cahiers du Cinéma
[...] surenchère et redondance, chantage à l'accumulation émotionnelle et thématique recyclent le meilleur cinéma de son pays pour en donner une version saturée, où l'adresse de l'assemblage des thèmes et le sens de l'imagerie garantissent l'efficacité. [...] le film ne laisse pas la moindre place pour réfléchir à quoi que ce soit, pour se trouver fût-ce une toute petite place de spectateur. Il a été couvert de récompenses dans le monde.