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schumiforever
7 abonnés
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2,0
Publiée le 23 septembre 2013
On l'aime bien Alice, même si elle commence à se transformer un peu trop en Néo, et puis c'est cool de sortir de Raccoon city et de trouver en Claire Redfield un personnage enfin travaillé dans la série. Par contre, côté histoire, on sort complètement de la trame des jeux pour jouer à Mad Max sur la route et s'ensabler à Las Vegas, le tout suivi par satellite par le méchant Wesker. Dit comme ça, ça donne pas envie, alors à voir en film... Mais bon, la mise en scène est améliorée par le vétéran Mulcahy, même s'il nous sert le minimum syndical du genre, ce petit convoi en quête d'une cité mythique est attachant, et on évite à peu près le ridicule, alors on dira que ce 3ème opus est potable.
Un troisième film de Resident Evil à la lignée des deux premiers. L'histoire n'a aucune originalité car c'est toujours une histoire de tuer des zombies et d'affronter des zombies avec quelques incompréhensions comme le tout début ou on croit de regarder le premier Resident Evil. Milla Jovovich manie aussi bien ses mains que ses armes avec en compagnie d'un bon casting d'acteurs. Les scènes d'actions sont du même niveau que les deux premiers avec quelques nouveautés comme l'attaque des oiseaux. Les décors donnent une version du monde qu'on aimerait bien vivre avec un bon choix d'une ville comme Las Vegas. Les costumes sont bien choisis comme celui de l'actrice principale qui lui donne bien un style entre le moderne et le western. Ce n'est qu'un film à regarder pour la détente.
Ce film est pas mal, bien qu'un peu plat par moment. Mais les spoiler: personnages qui enlèvent Alice au début avec un faux message n'ont servi à rien. A part des cascades un peu grotesques, malgré les pouvoirs d'Alice . Claire Redfield nous as bien fait ressentir les désagréments de l'Extinction de la vie humaine, avec ses clopes et ses problèmes d'essences. D'ailleurs, Ali joue vraiment bien son personnage de Claire. Mais dans ce film, nous n'avons AUCUNE nouvelles de Jill Valentine. Ils l'ont oubliée ?
L'ayant vue après l'épisode 4 et 5 , je le trouve meilleur sans être exceptionnelle , on sens que sa enchaîne vers des suites qui seront actions et effets spéciaux à 90%. C'est pour sa que cette épisode 3 est légèrement au dessus . Le films est un peu plus chercher , on suis l'équipe qui ce décime petit à petit , mais en partant sur l'épisode 4 et 5 sa en deviens trop banale et donc action , effet spéciaux et voilà.. Il est donc à voir , mais il ne faut pas en attendre grands choses pour autant .
Après un second volet catastrophique, la saga nanardesque se relance avec un troisième opus attendu avec appréhension. Aucune déception, et aucune surprise, Russell Mulcahy transforme Resident Evil : Extinction en un nanar improbable, sorte de film de zombies post-apocalyptique sous influences mal digérées. Et pourtant, il s'agit sans doute du meilleur de la série. En effet, la note d'intention du film ne manque pas de charme : créer une rupture en situant le récit et l’invasion de zombies dans un monde post-apocalyptique. Et ce même s’il n’y a rien de bien nouveau là-dedans, George A. Romero ayant bâti ses films de morts-vivants sur ce même principe et sans leur donner des faux airs de western fauché. Malgré les apparences, ce troisième épisode reprend très précisément ce qui ruinait déjà les précédents, à savoir un mépris total du matériau d’origine à nouveau relégué au rang de clins d’œils vulgaires, ainsi qu’un scénario qui bat des records de bêtise. Le jeu vidéo ? Rien à secouer, il suffit de placer de temps en temps des éléments bien reconnaissables pour satisfaire les geeks, c’est la philosophie de la franchise. Pas vraiment de cohérences avec les précédents épisodes, ce qui n'est pas vraiment surprenant tant il est difficile de faire des suites à directes de gros nanars. Ainsi, le scénario minable de Resident Evil : Extinction, qui transforme le film en un long chemin de croix interminable alors qu’il ne dure qu’1h30, n’est qu’une succession de séquences sans queue ni tête habitées de personnages totalement inexistants, de simples fonctions qui ne construisent aucun enjeu dramatique, noyés dans une narration hachée qui n’a aucun sens. Pourtant il en dégage de temps en temps un petit divertissement, les scènes d'actions sont bien mieux faites et sont beaucoup plus sympas à regarder que dans les précédents volets, même si les chorégraphies sont de temps en temps assez pauvres. Et on peut clairement remarquer que Mulcahy soigne ses cadres pour cacher la misère d’un décor tout cheap, et son découpage pour enfin livrer un film lisible et réfléchi en terme de mise en scène. Sauf que le film a beau avoir beaucoup plus de cachet que les précédents, son absence de scénario ruine toute tentative d’en tirer quelque chose. C’est plutôt joli mais ça ne raconte pas grand chose, et l’ennui pointe rapidement le bout de son nez. Ainsi, ce Resident Evil est une troisième série Z pour la saga, avec pas mal de moyens, mais qui ne parvient même pas à construire un fight final qui soit à la hauteur de la pénible attente, avec cet affrontement ridicule entre Alice et le Tyran mollasson. Triste, et c’est pourtant le meilleur de la série.
Un pur régal, un film jouissif tant pour son scénario que pour son action dosé et filmé avec brio. Après la tare que fut Apocalypse, Extinction semblait la fin de la licence ou tout du moins son départ vers le beau pays des nanars pour y côtoyer Singam, Conan le destructeur ou encore Megaforce. Le film dans un univers à la Mad Max développe sa propre Time Line, un univers parallèle où les personnages évoluent et se rencontrent différemment que dans le jeu. Une fois ce détail admis par le spectateur, ce film devient un bonheur à regarder. Le scénario à multiple rebondissement sait prendre le spectateur et les personnages deviennent enfin intéressant à suivre, notamment son antagoniste, le génial Dr Isaac. Les scènes de combats reste spectaculaire sans tomber dans les excès, portées par une Milla Jovovich impressionnante et magnifique. En résumé, une beauté fatale à l'univers neuf qui sait surprendre et le fait très agréablement.
Je suis fan du jeux vidéos, j'adore l'univers Resident Evil, et j'aime les films de zombie, mais là franchement....... c'est nul ! Nul nul nul nul nul et nul !
Les acteurs jouent très mal, l'histoire n'a rien à voir avec la série des jeux vidéos (qui soit dit en passant partent en sucette eux aussi) et on se retrouve avec un film prétentieux qui ne vaut rien et qui souille une licence qui à du mal à remonter la pente.
Avoir donné la mise en scène de Resident Evil : Extinction à Russell Mulcahy est une bonne idée. Le réalisateur de Highlander, même s'il n'a pas fait grand chose depuis à part quelques honnêtes séries B durant les années 90, apporte son sens de l'image à la franchise qui n'a cependant jamais convaincu au cinéma. Alice doit échapper une fois de plus à Umbrella Corporation qui veut mettre au moins un antidote à leur virus qui transforme les humains en zombies. La bonne idée, c'est que l'action se passe en plein désert, sous un soleil de plomb. Duant les interviews lors de la promo du film, Milla Jovovich avait souligné la chaleur éprouvante durant le tournage, les scorpions dont il fallait se méfier, etc. On apprécie les références à Mad Max, à Hitchcock avec la fameuse scène des oiseaux qui est la séquence la plus réussie du film, à Sergio Leone. Le film est violent, parfois gore, on est bien loin du côté aseptisé qu'avait le 1er épisode. Il est peut-être un peu répétitif avec des effets un peu facile lorsqu'un zombie apparaît brusquement à l'écran ou une nouvelle fois avec les rayons lasers en ouverture et en conclusion du film. Simple clin d’œil ou manque d'imagination de la part de Paul W.S Anderson, scénariste et producteur du film ? Au final, Resident Evil : Extinction reste une série B sublimée par le charme de son interprète principale et par quelques éclairs de violence que l'on est en droit d'attendre dans un film d'épouvante.
Déjà quand on voit des personnages au milieu de zombis les bras et les jambes à l'air, le ventre à l'air, les cuisses à l'air, alors que ces personnages disent aux autres pendant 1h30 de faire attention à ne pas se faire mordre, désolé mais je peux pas croire en ce genre de films...
Le seul potable de la série avec une intrigué c'était le premier, les autres c'est du fric, du fric et encore du fric c'est tout.
- Rien à voir avec le jeu vidéo - Pas du tout réaliste - Tout est prévisible du début à la fin - C'est + la promotion de certains acteurs (forcément tops modèles) que d'une histoire ou d'un vrai scénario...
Placez quelques individus biens foutus au milieu de zombis et c'est parti, ils vont tuer des zombis pendant 1h30 sans aucun réalisme, sans transpirer, sans se faire mal.
Cette fois ça y est, les films se désolidarisent définitivement des jeux pour raconter une toute autre histoire, en utilisant de temps en temps des noms issus de la licence. C'est donc dans un cadre post-apocalyptique que l'ont suit les nouvelles aventures de la surpuissante Alice qui croisera le chemin d'un groupe de survivants (qui curieusement rappelle celui de la série Walking Dead). On est constamment entre l'hommage et le plagiat de Mad Max 2, les Oiseaux et Le jour des morts-vivants. Pas très original donc, ce film est plus ambitieux que les précédents mais conserve les défauts d'origine. La fin en cliffhanger n'annonce rien de bon... (Pas terrible)
Divertissement sympa plein d'action qui s'inspire largement de plusieurs films célèbres. Le manque de moyens est largement compensé par le plein d'action.
Troisième volet de l'adaptation cinématographique de la célèbre séries de jeux vidéos. Après deux opus très moyens, on tombe cette fois-ci dans le très mauvais. On retrouve ainsi Alice dans un monde déserté envahit par les zombies qui survit aux cotés d'autres protagonistes dont Claire Redfield et Carlos. Ainsi des personnages de la série sont ici intégrés complètement n'importe comment. La production pense satisfaire les fans avec simplement des noms connus. Le film est en lui-même est ennuyant et répétitif, quelques scènes d'actions et de clins d'oeil à d'autres œuvres (Les oiseaux) viennent remplir l'écran. Ce film introduit également Albert Wesker dans le rôle de ... président d'Umbrella Corporation ! C'est à se demander si les scénaristes ont déjà joué à un Resident Evil. Enfin, le personnage central du film Alice continue à friser le ridicule et est à présent dotée de pouvoirs télékinésistes complètement hors contexte dans un resident evil. Film à éviter !
Le film a été mis en version road-movie et j'adore tout ce qui est road-movie. Donc ouais ce troisième volet est pas si mal que ça, sans plus. Les scènes d'action caricaturales ont été "pratiquement" enlevées et les décors de destructions sont pas mal aussi.