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Artriste
119 abonnés
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1,5
Publiée le 10 mai 2022
Troisième volet pour ce qui devient désormais une franchise cinématographique, Resident Evil Extinction ne fait hélas pas mieux que ses ainés et ne parvient toujours pas à rendre hommage à la licence dont il est adapté. L'histoire nous fait cette fois suivre un groupe de survivants qui vont tenter de s'échapper de la planète, puisqu'à présent le virus s'est étendu dans le monde entier. La structure du scénario est exactement la même que pour les deux épisodes précédents ce qui fait que l'heure et demie paraît longue vu que rien ne surprend. On ressent une forte impression de déjà-vu, seule l'ambiance change une fois de plus vu que cette fois-ci notre groupe de survivants tabasse des zombies en plein jour et au beau milieu du désert. Ce cadre vide d’intérêt permet au moins aux personnages d'avoir des relations un peu plus poussées vu qu'ils n'ont rien d'autre à faire que de se parler un peu pour passer le temps. Quelques nouveaux venus sont introduits comme Claire Redfield interprétée par Ali Larter qui campe sûrement le personnage le plus appréciable bien que son rôle soit peu exploité. Wesker fait également son apparition même s'il est totalement transparent, certainement dans le but d'être plus développé ultérieurement. Pour le reste Alice se découvre des pouvoirs surnaturels afin de faire face à un antagoniste caricatural mutant bien trop tard en Tyrant, danger bien connu des joueurs qui le trouveront beaucoup trop inoffensif comparé au modèle d'origine. Si les protagonistes sont toujours aussi mal écrits à l'instar du scénario, les dialogues eux gagnent légèrement en qualité et sont moins vides. Côté technique, Russell Mulcahy prend les commandes de la réalisation pour un résultat en demi-teinte. Quelques passages sortent du lot au niveau de la mise en scène mais de manière générale les scènes d'actions sont toujours aussi peu convaincantes. Surtout que les effets-spéciaux globalement moyens, voir carrément mauvais ne viennent pas embellir tout cet aspect visuel. L'environnement désertique tranche lui radicalement avec l'aspect horrifique normalement souhaité pour cette production. Néanmoins la b.o. se veut d'avantage en adéquation bien qu'elle reste peu mémorable hormis son thème principal asséné pendant la première partie. Reste une fin assez semblable à ses grandes sœurs, laissant entrevoir une énième suite dont on attend plus rien. Car oui, ce Resident Evil Extinction vient définitivement enterrer les espoirs des joueurs, la voie que prend cette saga ne compte pas respecter l’œuvre originale et semble même s'écarter toujours plus de l'esprit du jeu vidéo dont elle est censée être inspirée.
Cette fois réalisé par Russell Mulcahy et sorti en 2007, ce troisième opus de la saga "Resident Evil" est un peu moins réussi que le second. Tout d'abord, car il est un peu moins fun (même s'il nous promet quelques moments d'anthologie) mais surtout car il se prend plus au sérieux ! Alice erre cette fois dans le désert avec un satellite au-dessus de la tronche qui tente constamment de la contrôler. En suivant des oiseaux zombies, elle va finalement tomber sur un convoi regroupant plusieurs survivants dont Carlos Olivera et Claire Redfield. Adios donc Jill Valentine, on ne sait pas ce qu'elle devenue et bonjour à un nouveau protagoniste emblématique de la série vidéoludique avec Claire. Bon, je précise que je n'ai jamais joué aux jeux-vidéo en question, ainsi, je ne sais pas si ces personnages sont respectés ou non (et d'après ce que j'ai pu lire, pas du tout !). Le synopsis a l'air déjà assez bordélique comme ça mais, croyez-moi, le film l'est encore plus ! Et, lorsque c 'est second degré comme dans le précédent film, ce n'est pas vraiment grave, au contraire, cela apporte encore plus de fun. Mais là, on dirait que le film a gardé ce côté action complètement décomplexé du second opus (en plus ici, Alice elle a des pouvoirs qu'elle utilise un peu de manière random) mais dans un contexte premier degré, ce qui est, au pire risible, et mieux, ça ne fonctionne simplement pas ! Malgré tout, je dois avouer que j'aime beaucoup l'ambiance de cet opus qui change radicalement avec les deux premiers. À la manière des "Mad Max", nous sommes cette fois dans un monde post-apocalyptique et les décors, notamment le Las Vegas recouvert de sable, sont magnifiques ! Néanmoins, la fin me pose vraiment problème car elle part très loin dans son délire et en devient même risible ; au vu de la toute dernière scène, j'ai même un peu peur de ce que nous réserve la suite (que je n'ai pas encore vu) ! Concernant les acteurs, nous retrouvons Milla Jovovich et Oded Fehr qui jouent toujours aussi bien mais également cette fois, Ali Larter qui joue bien également, on regrettera d'ailleurs que son personnage ne soit pas plus exploité que ça. Si "Resident Evil : Extinction" n'est pas une réussite, il est également loin d'être désagréable à regarder !
Resident Evil : Extinction est à l'image du reste de la série de film : très moyen. Le film est tout de même plus inspiré que son prédécesseur et a le mérite de ne pas dépendre de l'obscurité pour faire peur (contrairement aux autres chapitres se déroulant essentiellement de nuit, celui-ci se déroule dans un désert avec une luminosité bien tapante). L'action passe mais n'est pas non plus mémorable. Malgré tout, je ne reste pas un grand fan de la saga (et encore moins des films de zombie), et ce n'est pas ce film-ci qui va me rabibocher avec.
ZOMBIE APOCALYPSE. Quand t'es dans le désert depuis trop longtemps, tu t'demandes à qui ça sert. Alice ton avenir c'est ça. Un mélange grinçant de Walking dead et de Fury Road. Russell Mulcahy au commande de ce nouveau navet...et c'est pas le plus ridicule.
Résident evil extinctions m'a agréablement surprit. Le scénario est vraiment bon et les décors désertique donne au film un aspect efficace. bref un épisode abouti.
Légère (très légère) amélioration pour ce 3ème film, avec une vague ambiance Mad Max / post apocalypse. Cela reste quand même assez superficiel et on a du mal à s'y intéresser véritablement.
Résident evil 3 est le meilleur épisode de la saga, on a même l impression que cette série se lance réellement avec cet épisode et on est heureux de trouver un vrai film de zombie. A l opposé du premier épisode claustrophobique, l action se déroule cette fois en pleine nature, du moins dans le désert et surtout en plein jour ! Impossible cette fois de cacher les zombies pour masquer le mauvais maquillage, cette fois, les avancées technologiques aidant, les zombies sont réalistes et l angoisse est présente. Beaucoup d actions donc, une Milla Jovovitch au sommet et de beaux dexors font de ce film est un vrai film de zombie et d action. Dommage qu il faille respecter le cahier des charges du jeu vidéo avec le monstre final mais sinon on était pas loin du film parfait. A noter la présence dans ce film d une scène magistrale qui n a rien à envier aux oiseaux d Hitchcock !
J'ai toujours eu un avis mitigé avec cette saga et cet épisode ne me fera pas changer d'avis. Il y a de bonnes choses notamment les zombies qui sont assez bien foutus. Mais cela reste vraiment trop éloigné du jeux vidéo de base, et le résultat n'est pas vraiment convaincant.
Cette fois ça y est, les films se désolidarisent définitivement des jeux pour raconter une toute autre histoire, en utilisant de temps en temps des noms issus de la licence. C'est donc dans un cadre post-apocalyptique que l'ont suit les nouvelles aventures de la surpuissante Alice qui croisera le chemin d'un groupe de survivants (qui curieusement rappelle celui de la série Walking Dead). On est constamment entre l'hommage et le plagiat de Mad Max 2, les Oiseaux et Le jour des morts-vivants. Pas très original donc, ce film est plus ambitieux que les précédents mais conserve les défauts d'origine. La fin en cliffhanger n'annonce rien de bon... (Pas terrible)
On continue de suivre le périple d'Alice dans le genre "Mad Max temple of doom". La même recette que les précédents. L' "Umbrella Corporation" se découvre de plus en plus. La série de film Resident Evil sont de très bonne série B pour les adepte du genre. (Dont je suis).
Ce troisième opus est nettement meilleur que le deuxième et moins bon que le premier. On prend des idées de scénario à George Miller (Mad Max 2), à Hitchcock (Les oiseaux). Mais le tout se laisse voir. Le point fort : Milla Jovovich dans ce personnage d'Alice qui est si surhumain et on savoure toutes ses prouesses.
Chef de file d’une poignée de survivants d’un virus qui a décimé le monde, et qui fait maintenant danser “Thriller” à ses habitants, Milla Jovovich en profite également pour nous présenter sa collection “Apocalypse 2007” (des vêtements de sa propre ligne… bonjour le placement de produit !). Sexy jusqu’au bout des ongles, et parce qu’il le faut bien, elle revient donc taper du zombie, et en finir avec Umbrella, dans ce troisième et dernier épisode des “Resident Evil”. Toujours aussi léger niveau scénario, “Resident Evil : Extinction” prend toutefois la peine d’introduire des personnages-phares du jeu vidéo (Claire Redfield, Albert Wesker), tandis que Russell Mulcahy, faisant, avant tout, carburer sa caméra au fun, trousse quelques belles scènes d’action, avec une héroïne moins caricaturale que dans l’épisode précédent, et une flopée de clins-d’œil (dont un à Hitchcock, via une saisissante attaque de corbeaux), aussi sympathiques que le film dans son ensemble. Et un plaisir coupable, un !
C'est sans conteste un de mes résident evil préférés, un peu à part, avec une inspiration très affirmée et finalement assumée à l'univers Mad max et ses convois de survivants roulant dans la poussière, le désert, à la recherche de gasoil pour poursuivre la route et ici éviter tant que faire ce peut les zombies infectés du virus umbrella . Milla Jovovich est encore une fois superbe et impressionnante dans ce nouveau costume, dans un premier temps en moto puis rejoignant le convoi de survivants à la recherche d'un éventuel refuge ou eden. C'est beau, images somptueuses, couleurs et lumières magiques, sauvage et barbare et bien sûr riche en combats désespérés contre les hordes de morts vivants affamés et bestiaux. On ne voit pas le temps passer, avec un rythme infernal et un final plus classique mais remarquablement intéressant et spectaculaire dans les laboratoires sous terrains d'Umbrella ou Alice sera face à son créateur. Passionnant.
Ambiance rock'n roll, effets numériques de mauvaises factures (malgré quelques améliorations par rapport aux premiers films), un scénario flirtant avec le grotesque...Ce troisième opus ne sera pas non plus celui qui permettra à la saga de mériter le titre de Resident Evil (qu'elle me manque, l'angoisse des jeux...). Mais je dois avouer qu'il y a eu quelques améliorations côté mise en scène, acteurs et décors, mettant plus en avant le budget du film. Même s'il n'est pas parfait, Resident Evil : Extinction peut s'avérer être un divertissement potable...Ce n'est pas trop mal!
Voici le dernier volet de la saga qui se regarde avec assez de plaisir pour faire honneur à la saga (cinématographique bien sûr). Après on plonge dans le semi-nanar. Dans la continuité de la saga, tout est classique dans le fond et même dans la forme, mais la mise en scène nerveuse et parfois surprenante réussit quand même à nous faire passer un bon moment lorsqu'on est fan de film de zombies. Et je dois dire que c'est presque avec nostalgie que l'on revoit à la fin du film des décors des précédents opus, après avoir navigué pendant plus d'une heure dans un univers dévasté et post-apocalyptique. A réserver aux amateurs de zombie et de Resident Evil (enfin ceux qui ne détestent pas les films).