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    Basic instinct 2
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    1,3
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    231 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    Basic Instinct 2 est une déception pour moi car j'avais particulièrement apprécié le premier et j'attendais beaucoup de cette suite, peut-être trop... Le film commence bien, ensuite on a le droit à une petite baisse de régime puis on enchaîne les longueurs, ensuite le film prend un tournant différent puis sa repart plutôt bien avant que la fin ne vienne tout gâcher... Sharon Stone n'est que l'ombre d'elle même, l'ombre d'il y a quatorze ans... David Morrissey quand à lui n'offre rien de plus qu'une performance très moyenne. En conclusion, Basic Instinct 2 est un thriller un peu ennuyant mais surtout très banal, on ne retrouvera jamais cette "étincelle" qu'il y avait dans le premier.
    tony-76
    tony-76

    1 072 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 août 2016
    Près de 14 ans pour nous offrir la suite des doutes de la sensuelle auteur Catherine Trammel. Une très longue période pour un film aussi banal ! La femme au pic à glace est de retour, mais à Londres cette fois-ci, où elle s'est installée pour poursuivre sa carrière d'écrivaine. Bien sûr, spoiler: elle poursuit sa vie nocturne et de manipulation
    . Sauf que cette aventure délaisse le milieu policier - rappelez-vous le subtil Michael Douglas - pour se pencher sur l'univers de la psychologie. Trammel est la dernière patiente du Dr. Glass, un psychothérapeute. spoiler: Une série de meurtres inexpliqués viendra troubler leur vie respective.
    Commençons d'abord par l'inévitable comparaison entre la suite et son prédécesseur... C'en est même presque gênant. Le premier était vraiment un bijou, un classique dans le genre. Avec celui-ci, Michael Caton-Jones (réalisateur) n'arrive jamais à nous faire croire totalement à cette grotesque histoire. On nous raconte les mêmes discours... Malgré sa, quelques clins d’œil s'adressant au premier film spoiler: - le pic à glace, la musique angoissante -
    assez plaisants. David Morrissey (connu dans les séries The Walking Dead et The Driver) est quasi neutre, fait pâle figure contrairement à Michael Douglas. Il n'a pas du tout son charisme ! Sharon Stone, bien que toujours aussi ravissante, n'arrive jamais à nous faire oublier les faiblesses d'un scénario complexe... Il aurait pu être beaucoup plus simple. Des longueurs qui n'en finit pas avec une mise en scène plate. Et, les scènes de sexe font penser à du Cinquante Nuances de Grey, c'est pour dire... Donc, Basic Instinct 2 représente purement une copie du premier film, à l'époque signé par Paul Verhoeven. Une suite inutile, décevante et simplement commerciale !
    Shelby77
    Shelby77

    163 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2016
    A des années lumières du premier Basic Instinct . Le film est ennuyeux du début à la fin. Les acteurs sont nuls, Sharon Stone n'arrive pas à empêcher le naufrage. Tout simplement mauvais. La pire suite possible.
    2/5
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    273 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 mars 2016
    Une suite qui arrive bien trop tard, et qui tente avec trop de maladresses de relever le défi d'être aussi mémorable que son aîné. Le résultat: une enfilade de scènes érotico-tendues sans grande inspiration, avec des interprètes pas très concernés. A cet égard,le film démontre assez bien comment l'on peut évoluer négativement dans son métier d'acteur. En d'autres termes, regardez les deux volets et comparez le jeu de Sharon Stone dans chacun: très bonne actrice dans le premier, très quelconque dans le second. A savourer si l'on est voyeur, mais ce sera vite oublié.
    pierrre s.
    pierrre s.

    426 abonnés 3 304 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 juillet 2015
    Une réalisation lourde et tape à l'œil, des acteurs en sur-jeu total, bref, Basic Instinct 2, était largement évitable.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    202 abonnés 1 910 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 juillet 2015
    Dès les premières images on comprend que le film est raté. Sharon Stone n'est que la caricature de son personnage de l'opus 1. Son jeu est aussi lourd que son maquillage. Quant à David Morissey, il grimace de façon pitoyable. Les scènes de sexe sont particulièrement ridicules, voire grotesques. On arrive quand même à regarder ce navet jusqu'au bout, par curiosité en ce qui me concerne. Au secours, Verhoeven revient !
    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 juin 2015
    Au fond, ce n'est pas plus mauvais que nombre de thrillers qu'on regarde parfois à la télé, voire au cinéma. Mais bon, le problème c'est qu'il s'agit de la « suite » de « Basic Instinct », et là, évidemment, cela devient plus compliqué. Passe encore la réalisation tout juste convenable, le scénario offrant de son côté un petit goût de soufre loin d'être déplaisant, mais c'est tellement bancal, premier degré et parfois poussif qu'on a bien du mal à s'intéresser vraiment à l'intrigue, rappelant beaucoup trop (en nettement moins bon, cela va sans dire) celle de l'original. Dommage, car David Morrissey livre une prestation honorable et même avec quatorze ans de plus, Sharon Stone en a encore sous le capot pour faire monter la température. J'aurais d'ailleurs été plus indulgent s'il n'y avait pas ce dénouement se voulant cruel, en réalité franchement bidon et se contentant une fois encore de s'inspirer de son modèle avec grandiloquence. Au final, j'ai beau la trouver presque attachante, il est peu dire que cette suite tardive ne s'imposait vraiment, mais alors vraiment pas.
    CH1218
    CH1218

    199 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 mai 2015
    Le film de Verheoven avait une vraie identité alors que sa suite est totalement insipide malgré le retour de Sharon Stone dans le rôle mystérieux et sexuelle de la "dark lady" Catherine Tramell. A éviter.
    christophe M.
    christophe M.

    10 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2015
    Un bon thriller ou l'on l'on va de rebondissements en rebondissements.
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    82 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 juillet 2014
    Autant dire tout de suite qu’il s’agit-là d’une suite que nous n’avions pas venue venir ! Et pour cause, il s’agit du sequel d’un film datant de 1992 et qui se suffisait à lui-même. Et pour lequel le brillantissime Paul Verhoeven (à qui nous devons également RoboCop et Starship Troopers) se retrouve remplacé par Michael Caton-Jones, un cinéaste qui ne possède pas vraiment de grands titres à son actif (juste Rob Boy avec Liam Neeson et le très discutable Le Chacal opposant Richard Gere à Bruce Willis). Non seulement Basic Instinct 2 ne faisait aucunement partie de nos attentes, mais en plus, le projet n’avait rien de bien alléchant. A-t-on eu raison de le redouter ?

    Désormais, la romancière Catherine Tramell (Sharon Stone) vit à Londres, où elle continue de vivre pleinement son existence emplie d’aventures sans lendemain. Mais à nouveau, elle se retrouve soupçonnée de meurtre. Celui du footballeur Kevin Franks (Stan Collymore), qui était en sa compagnie lorsque sa voiture tomba à l’eau. Dès lors, elle fait la rencontre du psychanalyste Michael Glass (David Morrissey), engagé pour dresser son profil psychologique. Mais une fois innocentée, elle poursuit ses rendez-vous avec lui, au point d’engager un dangereux jeu de séduction, amenant Glass à être mêlé à une sombre affaire de meurtre.

    Ne passons pas par quatre chemins : Basic Instinct 2 reprend absolument la même trame que son prédécesseur. À savoir le film démarrant sur la mort d’un personnage, l’accusation que l’on porte à la romancière, celle-ci s’amusant avec les personnes s’occupant de l’enquête, l’homme « l’affrontant » tout en devenant attiré sexuellement par elle, ce dernier ayant vécu un drame passé qui va refaire surface… Comme si les scénaristes ne s’étaient pas foulés pour devoir livrer cette suite en temps et en heure. Et qui n’ont pris aucun risques de se lancer dans une histoire qui aurait dénaturé celle du premier film, préférant garder la trame scénaristique de base afin d’affirmer aux spectateurs qu’ils on bien affaire à un Basic Instinct. Pourquoi pas ? Du moment qu’on se laisse prendre au jeu ! Malheureusement, nous sommes très, très loin de la perversité extrême qu’avait été le long-métrage de Paul Verhoeven.

    Qu’était exactement Basic Instinct premier du nom ? Un thriller érotique, certes. Mais un thriller qui savait manier le suspense à la perfection ! Qui établissait une ambiance diablement tendue. Qui rendait une scène de sexe aussi palpitante et entrainante qu’un moment de bravoure dans un divertissement d’action (le film devait beaucoup à la sublime musique de Jerry Goldsmith). Pour preuve, la séquence où Michael Douglas couchait enfin avec Sharon Stone : une scène torride, sulfureuse, qui faisait monter la pression dès que cette dernière reproduisait la scène de crime du début, puis cherchant sous le lit, en pleine extase, l’arme du crime qu’était le fameux pic à glace pour finalement se rabattre sur Douglas, sans rien à la main. Pour Basic Instinct 2, c’est un tout autre constat qui s’offre à nous. Plus exactement, c’est le premier film, mais sans le suspense.

    Du coup, nous nous retrouvons avec un thriller sans queue ni tête. Dans lequel les personnages se lancent dans un face-à-face érotico-psychologique incompréhensible voire ridicule. Où la tension ne répond jamais présent, la faute à un scénario fumeux (qui va jusqu’à utiliser bêtement certains clins d’œil au film précédent, comme le pic à glace ou l’intervention du personnage de Philip Walker), une Sharon Stone qui se parodie au possible, une mise en scène bidon et une très mauvaise utilisation de la bande originale (reprise du thème du premier film, mais pas pour les bonnes séquences, donnant à cette suite des airs de série Z de bas étage). Il n’y a qu’à voir les premières minutes, la séquence de l’accident : montage anarchique sur fond de musique à la limite du hip hop, nous faisant plus croire à un clip plutôt qu’à l’ouverture sexy et prenant de l’opus précédent.

    Pire, il semblerait que Michael Caton-Jones et son équipe n’aient retenu qu’une seule chose du film de Paul Verhoeven : le sexe. Et cela, Basic Instinct 2 en dégage à chaque seconde ! Il n’y a qu’à voir la version censurée du film, qui regroupe énormément de scènes érotiques qui rincent l’œil et rien d’autre. Mais même la version sobre dite « version cinéma » pue le sexe à plein nez : moins de séquences osées mais tout autant de répliques y faisant allusion. D’ailleurs, je ne me rappelle pas que les personnages en parlait autant dans le premier film. Ici, chaque discussion contient au moins le mot « bite », « chatte » ou tout autre terme de ce genre. Une surdose de sexe qui rend Basic Instinct 2 incroyablement vulgaire et non sensuel. Si vous voulez un autre exemple, regardez la façon dont est filmée la tour où travaille Michael Grass : une sorte de pénis en érection, trônant au beau milieu de notre champ de vision. Dans le 1, les fameuses scènes de sexe avaient de l’intérêt. Ici, elles n’en ont aucun. Juste pour compléter une sorte de cahier des charges typiquement hollywoodien.

    Au final, Basic Instinct 2 peut se voir comme un très mauvais remake du premier, qui a tout misé sur le charisme sensuel de Sharon Stone (même si sa prestation dans cette suite laisse à désirer, on ne peut renier son aura) tout en oubliant ce qui faisait la grande force du long-métrage de Verhoeven. Pour finalement n’être qu’un thriller érotique tape-à-l’œil et ennuyeux. Nous avions bien eu raison d’appréhender un tel projet. Mais de là à devoir faire face à une telle ineptie, ce n’était même pas pensable !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 juin 2014
    Basic Instinct deuxième du nom est une suite raté, bâclé et inutile . A l'inverse de Michael Douglas qui refusa le projet et c'est tant mieux, Sharon Stone rempile avec joie pour cette miserable mascarade . Tant de tapage pour un si piètre résultat, le couple que formé Sharon Stone et Michael Douglas n'existe plus et ça ce sent terriblement . On est très loin du compte, le scénario est d'ailleurs mal orchestré . Ce film est vraiment pitoyable . Un mauvais rôle supplémentaire dans la filmographie de Sharon Stone mais on est habitué . Avec l'échec cinglant que ce film est connue, on peut être persuadé ou presque, que un troisième volet désastreux ne verra pas le jour et que Sharon Stone a compris la leçon .
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 081 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 juillet 2014
    Alors là... Alors là... Je n'aime pas dire qu'un film est mauvais, mais alors là... Alors je sais bien qu'une suite n'est presque jamais aussi bonne que le film dont elle est tirée. Beaucoup d'exemples le prouvent, comme "Robocop 2" ou encore "La colline à des yeux 2", la suite du remake, le second remake quoi, pas l'original. Sauf que voyez-vous, ces deux suites n'était ni bonne ni mauvaise, surtout pour ce qui était du second Robocop. Sauf que "Basic Instinct", film culte de Paul Verhoeven, a connu un second volet navrant, bête et mal exploité. Pourquoi ai-je dit mal exploité? Parce que, comme le scénario partait sur une bonne idée, de faire du héros un psychiatre qui s'aide des policiers, tout le contraire du premier, il s'est finalement lamentablement planté, tant sur un point de vue logique que sur un point de vue d'originalité. Car oui, j'ai dit qu'il partait bien, pas qu'il le restait. Devenant par la suite navrant, on ne peut qu'être réjouit de ne pas l'avoir acheté en DVD ou en Blu-ray, et de l'avoir vu à la télé. J'ai même envie de dire que, dès la première séquence, celle d'introduction, on peut de suite imaginer le niveau de ce qui va venir. C'est cette séquence qui résume le tout : plutôt bien filmée, mais dotée d'une gratuité et d'un non sens complètement débiles. Donc oui, si vous voulez voir un film avec des scènes d'un inintérêt total, jetez-vous d'emblée sur ce nouveau Basic Instinct. Pour combler le vide scénaristique du tout, ou bien la lenteur de certaines scènes, à vous de choisir, le réalisateur et les scénaristes vous donneront droit à des séquences sexuelles aussi lourdes qu'inutiles et gratuites, comme pour celles illustrant la serveuse du bar, qui apparait deux fois, le temps de la présenter, et le temps que le héros s'y présente plus intimement. Par la suite, on n'entendra plus parler d'elle! Et moi qui pensait qu'elle aurait une quelconque importance... Mais pourquoi les scènes de sex marchaient-elle plutôt bien dans le film d'origine alors qu'elles se plantent horriblement dans le cas présent? C'est ce qui m'en fait venir au syndrome j'ai appelé le syndrome "Verhoeven". Je m'explique. Pour tous ses films, et ce sans aucune exception, chacune des suites du réalisateur atypique sera mauvaise ou moins bonne, et n'aura surtout pas compris le message qu'il essayait d'envoyer dans l'oeuvre d'origine. Car oui, c'est un sacré coup dur que Verhoeven décide de ne pas faire de second volet à ses long-métrages, car seul lui semble savoir ce qu'il a réellement dans la tête lorsqu'il réalise quelque chose. Et c'est ce "Basic Instinct" qui nous prouvera, une fois de plus, que l'imitation ne vaut jamais la création. S'il y a bien autre chose qui ne va vraiment pas dans ce nouvel opus, c'est le jeu des acteurs. Souvenez-vous, dans le film d'origine, tout le monde jouait bien, même le plus petit des seconds rôles, et il existait une réelle alchimie entre Michael Douglas et Sharon Stone, faisant de leur couple un duo parfait et fascinant. Ici, quatorze ans plus tard, Sharon Stone est toujours là dans le premier rôle, et c'est le très moyen Dave Morrissey qui prend la place du détective Nick Curran. Plus aucune complicité, seulement deux acteurs qui ne sont présents que pour le chèque final. Même le personnage de Catherine Tramell ne possède plus le côté mystérieux et intriguant qu'elle avait dans le premier opus. Cela lui donnait une personnalité unique, que nul n'avait pour l'instant aperçu dans le cinéma moderne, ou contemporain, si je puis l'appeler ainsi. Et si les scénaristes n'ont pas compris ce qui faisait l'entrain de "Basic Instinct" premier du nom, cela ne servait à rien de mettre cette suite en oeuvre. D'ailleurs, Tramell ne tue plus au pic à glace, cultissime arme du premier volet. Non, elle préfère étrangler avec une ceinture durant l'acte, ou encore se propulser dans l'eau dans une voiture en marche, et cela seulement pour tuer son passager. Vous l'aurez compris, "Basic Instinct 2" est un ratage complet, bien loin de l'oeuvre d'origine, et qui n'a aucun intérêt dans la chronologie de la vie de Catherine Tramell. Si seulement personne n'avait eu l'idée de créer ce nouvel opus...
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    149 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 octobre 2013
    Malgré le retour de Sharon Stone en femme fatale et la présence de la frenchie Charlotte Rampling ayant joué de Swimming Pool de François Ozon avec la sulfureuse Ludivine Saigner, cette suite déçoit !!!
    Julien D
    Julien D

    37 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 octobre 2013
    14 années passé depuis l'année 1996 avec cultisme Basic instinct on retrouve la fraicheur de Stone elle qui attendait depuis un bou cette suite (d'ailleurs elle avait lancé des poursuites au producteur en 1997) on s'attendait à un grand moment, mais le fait que Verhoeven ne revient pas derrière à la caméra et Douglas devant il fallait mieux abandonner l'idée d'une suite, car on se doutait que sa deviendrai moins incohérent et donc c'est une suite qui prend une nouvelle tournure avec de nouveaux scénaristes le couple Leora Barish, Henry Bean (Affaires privées, Danny Balint) qui ont mis l'idée de confronter miss Tramell à un psychiatre et vu le personnage de Sharon l'idée était bonne on pouvait s'attendre à quelque chose d'intense, mais ils sont hélas parti du sujet d'un basic instinct c'est-à-dire dans ce 2nd opus on ne retrouve ni pic à glace a sujet de meurtre ni la bisexualité de la romancière (en fait il l'avait mis, mais ça était coupé au montage final c'était l'actrice française Anne Caillon (Poltergay, Meetic) qui incarne la maitresse de la sulfure écrivaine, car les scènes sont trop osez) alors que les scénariste utilise avec brio les réplique de Sharon Stone, mais il se dégringole en utilisant mal les répliques des Anglais, surtout celui de David Morissey en le rendant moins psychologique il aurait dû le rendre de l'état psychologique à l'état psychotique il y était presque arrivé dommage j'espère que ce rôle qu'il a accepté ne lui portera pas préjudice pour la suite de sa carrière et le réalisateur Caton-Jones n'utilise pas les mêmes plans et allure du précédent film ce qui est dommage.
    Mais ce film tient de belles choses, car on retrouve sa façon d'opérer face à sa proie elle arrive encore une fois à faire transgresser les règles de sa victime et arrive à le déstabiliser en complétant de son atout charme féminin tout comme elle a fait à Michael Douglas. Si cela aurait étais complété en gardant au montage Anne Caillon on aurait retrouvé les mêmes traces du précédant thriller érotique.
    Estonius
    Estonius

    3 338 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 août 2013
    On a droit à une longue première partie ennuyeuse où on attend que le film démarre et quand ça démarre ça devient incompréhensible, peu intéressant, mou et lourd. Reste Sharon et sa beauté sulfureuse et quelques trop rares scènes érotiques. Bof !
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