Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
0,5
Publiée le 18 novembre 2006
alors là je reste sur le cul! Si vous voulez demolir un film culte demandez à au realisateur de basic instinct 2. A ce niveau là, c'est une reussite! Le seul interet, c'est stone qui n'a rien perdu de son charme fatal.
(Le personnage principal de cette dramatique histoire a préféré rester anonyme. Respectueux de sa décision, nous le désignerons donc par x). Se mêlant à la foule gigantesque d'adolescents poursuivis par leur libido, x, accompagné de quelques amis, prend place au milieu de la salle de cinéma qui lui est si familière. Ayant vu quelques jours auparavant le premier épisode et y ayant trouvé Sharon Stone fort à son avantage, il est persuadé, et ce malgré les mises en garde des critiques et quelques échos négatifs, de passer 1 h 30 de détente, en compagnie d'une blonde vénéneuse, devant un film agréable et sans prétention. Il ne se doute pas qu'il s'apprête à visionner la daube de l'année, et qu'il vient de tomber dans le plus énorme piège à c... de l'an 2006. Les lumières s'éteignent, il est trop tard. Deux heures s'écoulent. A sa sortie du complexe, x est écoeuré. Sharon Stone en faisait trop, le scénario était rocambolesque et ridicule, et le film n'était qu'un ramassis de clichés sur l'Europe et les pulsions sexuelles. Mais Basic Instinct 2 aura au moins eu le mérite d'ouvrir les yeux à x sur le fait que de nos jours le cinéma n'est plus un art, mais une machine à fric, qui consiste à appâter les foules avec quelques atouts, puis à leur soutirer sans vergogne 7(et bientôt 8) euros. (Nous remercions x por ce témoignage qui fut pour lui fort douloureux. Nous compatissons, et lui prions de nous excuser pour avoir remuer à ce point le couteau dans la plaie).
Ce film un vrai chef-d'oeuvre qui travaille comme jamais l'inxpressivité des acteurs. C'est une relecture brillante des films noirs des années 50 avec sharon stone qui a compris qu'il suffit de fumer en écartant les jambes devant des noirs musclés et tatoués pour être un vamp des temps modernes. De plus elle manie le pic a glace comme personne... la scène d'ouverture est une réécriture inspirée de deux films cultes : crash et splash, comme si cronenberg réinvente le mythe de la sirène, avec un gros footballeur crétin à la place d'ulysse et Sharon Stone a la place de Darryl Hannah (d'ailleurs j'aime a penser que je ressemble a Sharon parfois)
ayant vu la plupart des critiques négatives qu'avaient reçu ce film à sa sortie, je ne suis pas trés d'accord. certainement loin de faire oublier le premier opus, je trouve ce film à la hauteur de ce que doit être une suite. L'intrigue est trés bonne, on y retrouve la musique, le sufureux et l'humour qui avait fait le succés de Basic Instinct premier du nom. Sharon Stone a toujours une plastique impeccable et david Morrissey est trés convaincant mélanger à une réalisation stylisé de Michael Caton-Jones ce film n'est pas un chef d'oeuvre mais une suite honorable.
Je n'attendais pas grand chose de Basic Instinct 2, la critique étant assassine et la bande-annonce pas vraiment réussie, mais je pensais y voir un bon divertissement avec quelques scènes érotiques réussies. Ben bon Dieu, je suis tombé de haut ! Rythme lent, scénario convenu, scènes érotiques pitoyables (2 minutes de sexe soft sur 110 minutes de film),... Ajoutons ça une Sharon Stone plus salope que jamais avec un maquillage à la truelle et un psychiatre sans le moindre charisme (David Morrissey) pour obtenir la bouse qu'est Basic Instinct 2. Reste l'excellent David Thewlis qui ne rattrape malheureusement pas l'entreprise bien que ses apparitions sont impeccables.
Si Basic instinct premier du nom marquait la consécration de Sharon Stone comme actrice la plus sexy dHollywood, boostant ainsi une carrière qui peinait à démarrer, sa triste suite, à peine digne d'un direct to dvd, risque fort bien de créer leffet inverse. Place aux thrillers mous du genou qui préfèrent miser sur une ambiance inexistante pour exciter le spectateur. Triste époque pour nous et pour Sharon, quon aimerait, plus que jamais, revoir dans un rôle à la mesure de son talent !!!
Sharon Stone est mon actrice préférée, je la trouve belle et intelligente. Malheureusement, elle n'a pas fait beaucoup de bons films et celui là n'échappe pas à la régle. Ce basic Instinct 2 est absoluement soporifique! Les 20 premiéres minutes laissaient pourtant entrevoir un petit thriller sympathique mais hélas tout s'écroule et on s'emmerde royalement pendant les 1h30 restantes, jusqu'à un final aussi grotesque que pathétique! Même les quelques scénes chaudes ne méritent pas une étoile.
Ce n'est pas la premiere fois que je ne comprend pas les critiques. Ce film est sombre, maléfique et jouissif. La B.O est somptueuse. De plus Sharon Stone est magnifique, très charismatique de la femme démoniaque qui arrive toujours a ses fins. L'histoire quand à elle est très interressante et très bien ficellée. ravo donc a la réalisation et vivement le numéro 3 ! A voir absolument pour les fans de films psychologique.
Mouai, bof... Une intrigue tirée par les cheveux, un personnage de psy complètement insipide et une sharon stone magnifique, mais qui surjoue à mort son personnage de femme fatale et ambigue. Non, je n'y crois pas, je n'entre pas dedans et pour tout dire, je me suis ennuyé. Rien à voir donc avec le premier volet qui aurait du, à mon sens, être le dernier.
Quand le sujet du film et véritable pilier scénaristique est le mâle mais que le centre de l'image se recentre, se construit et s'attarde sur la femelle, cela donne une énorme contradiction cinématographipque. Rien ne va. Véritable caricature d'archétypes même pas abordés dans le premier volet, tout y est général et sophistiqué. Londres ne sert à rien, les seconds rôles non plus. Blindé d'incohérences parfaitement évitables, le scénario, vide et pas construit, nous prend pour de véritables cons. Parfait steak mort ambulant, David Morissey ne sauve pas la magnifique Sharon Stone de l'illustration simplissime, grotesque et peu subtile d'une femme fatale pas excitante du tout. Dommage puisqu'elle est l'unique enjeu de mise en scène de Caton-Jones. Pas de sujet, pas d'idées, pas d'excitation, pas écrit, pas réalisé et souvent mal interprété, BASIC INSTINCT 2 est la bouze formidable que nous attendions depuis plusieurs années.
Comment faire une suite à l'un des meilleurs thriller érotique de ces dernieres années ? Ben ... on ne peut pas. On reprend donc Sharon Stone ( presque cinquentenaire ) dans son rôle d'écrivain, et on refait couler le sang. Pic à glace ? Non pas cette fois çi, juste un leger clin d'oeil. Sharon Stone à beau écarter les cuisses, nous on regrette bien le Basic Instict premier du nom. Le suspence est quand même maintenu jusqu'à une fin ouvete, comme si le réalisateur ne voulait pas prendre d'inissiatives. C'est bien dommage.
J'ai adoré ce film.Je trouve qu'il est au moins aussi bien que le numéro 1.Il y a du suspense du début à la fin de l'histoire, on ne s'ennuie pas une minute. Sharon Stone joue toujours aussi bien, elle transpire le sexe par tous ses pores. L'ambiance est noire et malsaine.La manipulation mentale est au centre de l'histoire. La BO est très agréable et le thème du premier film est repris à certains moments. Franchement, je ne regrette vraiment pas d'être allée voir ce film et je compte bien l'acheter quand il sortira en dvd.
N'entrez jamais dans le périmètre de chasse de Catherine Tramell sous peine d'avoir quelques soucis et votre instinct primal, qu'est la survie, se réveillera automatiquement. Son antre, sa tanière sombre sent la mort. Catherine y déambule, tisse sa toile et d'une réplique arrachera (ou plutôt fera arracher) le coeur de ses victimes déjà sélectionnées depuis des années peut-être. Ce film noir sophistiqué et beau a été mis en lumière par le directeur de la photographie Gyula Pados. La musique composée à l'origine par Jerry Goldsmith a été justement arrangée par John Murphy. Sharon Stone, dont la panoplie vestimentaire m'a fait pâlir d'envie, EST dans le personnage et l'interprète froidement, cyniquement. Elle vise ses victimes ou les amadoue avec élégance, avec une gestuelle toujours autant magnifique. David Morrissey est un acteur superbe, viril, imposant dont l'expression faciale ne peut être feinte. Il est confronté au maître du jeu de la manipulation ! Charlotte Rampling ne manque pas le rendez-vous : subtile, désabusée face à une telle perfidie, malgré son rôle de mentor. Vous l'aurez compris, Catherine est encore plus prédatrice, encore plus séductrice, cela s'appelle une tueuse !
Faute de passer pour quelqu'un de superficiel, la seule chose que j'ai apprécié dans ce film, ce sont les sandales de Sharon Stone (celle en cuir,d'ailleurs si quelqu'un peux me dire ou je pourrais me les procurer, ce serait cool) Pour le reste cela s'apparente à une pure farce cinématographique, une monumentale niaiserie. Bref, merci quand même à Sharon et à cette intrigue tellement captivante de m'avoir permis de finir ma nuit.