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Sébastien L.
16 abonnés
257 critiques
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2,5
Publiée le 18 mars 2007
Cette suite n'est rien d'autre qu'un copier coller du premier film, ou l'on suit Catherine Trammel dans sa folie meurtriere. Cependant malgré une issue prévisible, la personnalité trouble de Sharon Stone nous pousse à remettre en cause ce qui semblait évident.
Que dire de cette insipidité ??? Il n'y a rien a en dire, rien a en retenir tant c'est d'une extrême longueur, c'est convenu, attendu, sans surprise... on aurait dire les scènes de cul vont un peu égayer l'ambiance, las ! elles ont été coupées au montage ! En plus, les seins sentent le colagène et l'imposture. C'est dire ! Nul, zéro, poubelle !
Le fil conducteur da la psychanalise peut être bien, néanmoins l'histoire reste longue, très longue, très très longue. Dommage, car le dénouement final nous laisse sur le doute, ce qui est assez rare pour les films.
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18 103 critiques
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1,0
Publiée le 15 octobre 2021
Fade, dérivé et nettement ennuyeux Basic instinct 2 est l'un des pires films que j'ai vus au cours des dernières années. Les fans de l'original torride de Paul Verhoeven verront leur patience mise à rude épreuve avec cette suite routinière dans laquelle presque tout va de travers dès le début. Les choses démarrent de manière involontairement hilarante l'écrivain Catherine Tramell interprétée par la seule star de l'original à revenir Sharon Stone et le footballeur de première division Stan Collymore s'amusent dans une voiture à grande vitesse jusqu'à ce que celle-ci s'écrase et que le footballeur se noie. Il s'agit simplement d'une reprise de l'intrigue du premier film mais sans la véritable atmosphère que ce dernier évoquait. Dans celui-ci n'importe qui pourrait comprendre le rebondissement évident qui se produit a la fin révélant l'identité d'un tueur dans une intrigue tellement clichée qu'elle en est franchement incroyable et pas crédible...
Le film de Verheoven avait une vraie identité alors que sa suite est totalement insipide malgré le retour de Sharon Stone dans le rôle mystérieux et sexuelle de la "dark lady" Catherine Tramell. A éviter.
C'est un film que l'on pourrait qualifier de "Erotico-Pathétique"... C'est d'une nulité à toutes EPREUVES... Et l'on veut en faire une 3ime? Vont-ils arriver à desscendre encore plus bas que celui ci? Je me le demande... Mais pour celui ci, rien, vraiment rien, n'est bien... Les acteurs surjouent ou jouent mal... les dialogues sont pitoyable, les secondes qui passent parressent être des heures... Je le déconseille vivement...
On en rêvait du retour de Catherine Tramell, personnage mythique incarné par Sharon Stone dans le cultissime Basic Instinct. En reprenant le rôle qui l’a révélé, on sent clairement la volonté de Sharon Stone de revenir sur le devant de la scène alors que sa carrière semble en panne. Malheureusement, ce n’est pas avec un film de cette envergure que l’actrice engagera son comeback. C’est triste mais pourtant vrai : il n’y a rien à sauver de ce film. On a du mal à comprendre ce que fait l’actrice dans cette galère. Cette suite n’est en rien comparable à l’original, qui reste une référence en matière de thriller hollywoodien. Ce ‘Basic Instinct 2 – Risk Addiction’ est tout simplement indigne de son modèle, se contente de le copier sans jamais lui arriver à la cheville. Le film reprend avec complaisance – et sans succès – les idées du film de Verhoeven, le tout ça sans aucune originalité. Le film n’est qu’une mauvaise réplique de ‘Basic Instinct’. On est tellement loin de son raffinement et de sa subtilité que cette suite ressemble finalement à une parodie. Tout le charme du premier volet a disparu : le mélange de perversité et d’humour. Ici, le film est drôle malgré lui, la faute à des dialogues risibles. Tout est mal amené, trop appuyé ; Sharon Stone surjoue affreusement, son héroïne est plus vulgaire que classe : elle en devient grotesque. Mais c’est encore celle qui s’en sort le mieux face au manque de charisme stupéfiant de son partenaire David Morrissey, sans compter les seconds rôles inexistants. On pourrait trouver son compte ailleurs, mais non : la mise en scène ringarde n’arrange rien, le scénario est franchement mal foutu, ponctué de rebondissements invraisemblables et absurdes. Rien d’étonnant que le film se soit pris une veste mémorable au box office. On peut à la limite prendre un plaisir coupable à suivre ce navet pour une seule raison : Sharon Stone, superbe pour son âge. Pour le reste, n’ayons pas peur de le dire : le film est un ratage intégral.
Près de quinze ans après l'excellent premier opus, nous retrouvons un nouveau réalisateur qui n'avais plus rien à filmer, des scénaristes qui n'avaient plus rien à écrire et une actrice qui pour tenter de reconquerir son public, n'a trouvé que ça à faire. Au final ce mélange donne la daube de l'année, c'est à dire un produit purement commercial et sans interet. Et meme le corps de Sharon n'efface pas le paysage...
Si Sharon Stone a apporté quelque chose au cinéma en plus de sa superbe plastique, c'est bien l'incarnation de la vénéneuse Catherine Tramell, l'un des plus troubles personnages de ces 20 dernières années. Tour à tours séductrice, manipulatrice, victime ou tueuse, le personnage est de venu mythique en un seul film, le chef d'oeuvre de Paul Verhoeven: Basic Instinct! Mais aujourd'hui c'est Michael Caton Jones qui remet le couvert pour la suite des aventures de la trouble romancière;Sharon Stone l'interprète d'ailleurs avec le même brio et la même classe qu'il y a 14 ans. Toujours aussi inquiétante, elle partage cette fois l'affiche avec le quasi inconnu David Morrissey, psychiatre de renom qui va tomber entre ses griffes (il n'a pas le charisme s'un Michael Douglas mais s'en sort bien quand même). Le film tient en fait la route pendant une bonne heure en se démarquant du précédent: plus sombre, plus noir, plus glauque (vois la séquence de la partouze), Londres et son fog forment le théatre idéal pour suivre le macabre chemin de Catherine Tramell et la descente aux enfers du Dr Glass, manimulé de bout en bout. Malheureusement, le tout part en cacahuète dès que Sharon Stone bous fait son déhanché de tête façon "l'Oréal parce que je le vaux bien !". L'intrigue se perd en complexité, les évènements s'enchainent sans réelle cohérence pour aboutir à un final décevant (ce cri... quelle horreur). Et c'est sans compter quelques erreurs de casting (Thewlis enflic ??? Quel est l'abruti qui est allé chercher ce cachetonneur ???) En bref, un bon thriller érotique loin très loin de surpasser l'original. Et quand on pense que le 3 est déjà en préparation, on frémit d'avance...mais pas forcément pour la bonne raison. Enfin, c'est juste mon avis !
Il était clair dés le départ que l'on ne devait pas attendre grand-chose de ce film. Pas de Michael Douglas et, pire, pas de Paul Verhoeven à la réalisation. En outre, la quinzaine d'années qui séparent les deux opus ont galvaudé le thriller érotique : il faudrait dorénavant mettre le paquet pour surprendre le spectateur lambda dans le genre. La déception annoncée est malheureusement là. Comme on pouvait le prévoir, ce deuxième épisode de la saga "Basinc instinct" essaie d'imiter le premier sans parvenir à sa cheville. A cela, plusieurs raisons. En premier lieu, Michael Caton-Jones n'a pas la maestria de Paul Verhoeven pour la réalisation. Ce film est plutôt ennuyeux et ici la tchatche a remplacé l'action. Ensuite, le scénario est prévisible : la chute est une fausse bonne idée tellement on a déjà vu ce genre de fin. D'autre part, l'érotisme, principal argument pour attirer le chaland, est plutôt réduit à la portion congrue (oui, oui, on voit un sein de Sharon Stone. Et alors ? Aucune partie de son corps n'avait plus de secret pour nous depuis belle lurette !). Enfin, notre chère Sharon n'a plus trente ans et ce n'est pas la peine de nous faire prendre des vessies pour des lanternes : elle n'est plus crédible en vamp, arrêtez de vous moquer de nous ! Tout n'est pas cependant négatif dans ce film. Il nous fait découvrir le talent de David Morrissey (inconnu jusque là au bataillon) qui fait ici une prestation remarquable. David Thewlis, en flic pas forcément très clair, est, lui, carrément jubilatoire. Ces deux acteurs valent, à mon sens, le détour. Malgré tout, comme diraient Les Nuls, ce film est une bien mauvaise resucée.
Ou bien Sharon Stone a oublié de lire le scénario avant de signer (c'est dommage, ça lui aurait pas pris beaucoup de temps), ou bien elle devait payer urgamment ses impôts... non mais qu'est-ce que s'est que cette bouze ? Le premier sans être un chef d'œuvre avait le mérite d'être original et intéressant, mais là... le scénario tient sur un ticket de métro, l'histoire n'a ni queue ni tête, la mise en scène est pitoyable et les acteurs non aucune mais alors aucune épaisseur. A l'heure où la plupart des studios hollywoodiens essaient de soigner les second opus, en voilà un qui reste dans la bonne vielle tradition des années 80 et 90, celle des suites-nanard à but uniquement lucratif! Quel honte !
Evidemment, grâce au charisme de Sharon Stone, le film se regarde sans trop de déplaisir, mais tant d'indigence finit par troubler. Les choix de Michael Caton-Jones sont systématiquement mauvais comme celui de prendre ce David Morrissey qui n'a aucun charisme face à la star. On ne croit pas une seule seconde à la relation ambigue qu'il entretient avec Sharon Stone. Mais le plus gros problème du film vient d'un total manque de rythme qui fera s'assoupir les plus endurants. Non seulement les scènes de meurtres sont hors champ et anodines, mais pire, bon nombre des scènes de sexe diffusées sur le net ne sont même pas dans le produit fini, d'une tiédeur incroyable. Finalement, on se retrouve bien plus devant un film du niveau de "Sliver" ou de "Body" et même si l'histoire est une photocopie du premier, on ne retrouve aucunement le mystère et la fascination du chef d'oeuvre de Verhoeven. Non, décidément, cette suite ne se justifie à aucun moment et n'apporte rien de neuf au concept d'origine.