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    Basic instinct 2
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    1,3
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    231 critiques spectateurs

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    Redzing
    Redzing

    1 113 abonnés 4 469 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 juillet 2010
    Dans la lignée des suites de classiques inutiles et surprenantes auxquelles on a le droit depuis 2000, voilà qu'on nous livre "Basic Instinct 2", soit un pari commercial et artisitique très osé ; et force est de constater que dans sa deuxième mesure, celui-ci n'est pas tenu. En effet, Caton-Jones réalise ce film à la manière irritante d'une série TV, en ne reprenant de l'atmosphère vénéneuse du premier que des parcelles de BO et une Sharon Stone efficace mais bien moins qu'avec Verhoeven. Quant au scénario, il calque pour une bonne partie l'opus précédent et finit dans l'incohérence. Une suite à fric de plus.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 2 août 2010
    Film vraiment déçevant. Ne vaut vraiment pas le premier. A éviter
    scorsesejunior54
    scorsesejunior54

    151 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 janvier 2007
    Sharon Stone n'a qu'un seul mot en bouche : "baiser". Une seule chose occupe son esprit : le sexe. Alors, quand elle rencontre un psychiatre aux allures de puceau attardé, forcément ça clashe. Elle le chauffe et lui sort des répliques obscènes en tenues moulantes. De son côté, il tente comme il peut de maintenir son plaisir sexuel tout en sachant que ses grimaces de plaisir sont aussi convaincantes que si on lui tripotait le bout du petit doigt. La romancière bisexuelle est de ce point de vue là un véritable modèle, parlant en murmures, presque en gémissements une heure cinquante durant. Problème : en plus d'être attirante, elle est dangeureuse. Alors, le flic pourri débarque avec le look qu'aurait un fan de Johnny Halliday, les Harley Davidson en moins. Il tente d'enquêter, avec la perspicacité qu'aurait l'Inspecteur Derrick des mauvais jours. Cela, le psy l'a compris et désirera ainsi suivre l'héroïne jusque dans les plus bas recoins de la ville, pénétrant dans une maison close et dérangeant un sado-masochiste de plus de cent cinquante kilos aux prises avec une prostituée Asiatique (vive la discrimination). Il veut lui-même se faire une opinion et se révèle désespérement attiré par cette fille insaisissable, pour laquelle il transpire une excitation indiscutable que révèle son regard amorphe. Bon, c'est vrai, il y a du suspense et un mystère indétrônable amplifié par le rictus final, cadré en gros plan. En plus de tout ça, on peut se plaindre d'avoir été arnaqué, et ce pour deux raisons. Effectivement, le pic à glace a disparu, remplacé par des étranglements à la ceinture (c'est plus psychologique) tandis que je pense vraiment que Sharon est passée par la chirurgie esthétique tant ses seins paraissent regonflés comme des ballons. Franchement, vous y croyez vous ? Ah, et j'oubliais : je sais que l'actrice principale a vieilli et est tombée bien bas mais de lui faire entretenir une relation avec Charlotte Rampling, n'est-ce pas un peu trop réducteur ?
    Estonius
    Estonius

    3 338 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 août 2013
    On a droit à une longue première partie ennuyeuse où on attend que le film démarre et quand ça démarre ça devient incompréhensible, peu intéressant, mou et lourd. Reste Sharon et sa beauté sulfureuse et quelques trop rares scènes érotiques. Bof !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 mars 2008
    Un film magnifique, à la hauteur du premier, voir même mieux avec les scènes hot censurées réintégrées. Sharon Stone est magnifique, plus belle que jamais. "Basic Instinct 2" est un grand film !
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    181 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 avril 2007
    Film qui ne repose que sur le talent et la beauté glaciale de Sharon Stone. Rien de plus original que le premier.
    nicperpignan
    nicperpignan

    40 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juin 2012
    très bon thriller !!!!!!!! je m'attendais à pire !!!!!!! on retrouve l'excellente Catherine Tramell cette fois à londres dans une toute nouvelle histoire toute aussi passionnante que le 1er mais bien différente ! il ne s'agit pas avec ce 2 ème volet, de suite mais bien d'une nouvelle histoire ! plus SEX que le 1er et plus osé !!! ce qui donne pas mal de charme à l'athmosphère du film. Catherine Tramell est toujours aussi excitante avec son franc parler, et son jeux de jambes. un très bon thriller comme on le retrouve dans beaucoups de romans thrillers/policiers actuels. ce qui m'étonne est que les gens achètent ce genres de romans qui cartonnent à travers le monde, et trouvent le film décevant ??? j'ai du mal à comprendre !!!! ils doivent certainement préferer marsupilami, camping et autres daubes du genre, des bidochons en gros ;-)
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 mars 2010
    Prétentieux!
    shindu77
    shindu77

    91 abonnés 1 605 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 septembre 2019
    Il est vraiment dommageable d'avoir fait une suite à ce film. Surtout si il s'agit de réaliser une purge pareil. Tout est mauvais. Le casting, l'histoire et les réalisations sont très mauvais. Mieux vaut oublier selon métrage et ne penser qu'au premier volet qui est culte à défaut d'être un très grand film.
    DavY Croquette
    DavY Croquette

    50 abonnés 1 181 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 août 2023
    Loin d'être au niveau du premier film, il fait quand même le job. Le personnage de sharon stone n'est pas aussi sulfureux que dans le premier, on a l'impression quelle n'y crois pas.Mais comment rivalisé avec l'écriture de son personnage dans le premier qui était simplement incroyable.
    Ricco92
    Ricco92

    224 abonnés 2 149 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 mars 2019
    Si on excepte Casino et Mort ou vif, on ne peut pas vraiment dire que la carrière de Sharon Stone ait été parsemée de films étant au niveau du statut de star auquel avait été propulsée l’actrice suite au succès de Basic instinct. Il n’est donc pas étonnant que Stone ait cédé en 2006 à la tentation de retrouver le personnage de Catherine Tramell.
    Hélas, on pouvait avoir quelques inquiétudes en voyant que ni Paul Verhoven (le réalisateur) ni Joe Eszterhas (le scénariste) ni Jan de Bont (le directeur de la photographie) ni Jerry Goldsmith (le compositeur) ni Michael Douglas (l’interprète principal) n’étaient de retour et que le film était interdit aux moins de 12 en France (et non plus aux moins de 16 ans comme le premier, même si, depuis, ce dernier a été étrangement réévalué aux moins de 12 ans). Dès le départ, on se doute donc que ni le talent ni la subversion de l’original ne sont de retour. Basic instinct 2 n’est, en effet, qu’une machine qui souhaite exploiter le restant de notoriété dont jouit Sharon Stone.
    Cela explique sûrement le fait que le film ne cherche plus véritablement à choquer son spectateur (il n’y a que très peu de séquences de sexe, celles-ci vont moins loin et ne sont plus un élément moteur de l’intrigue, le lesbianisme a presque disparu…) et on ne trouve plus derrière la caméra un provocateur comme Verhoeven mais un réalisateur beaucoup plus lisse en la personne de Michael Caton-Jones qui emballe le film sans aucun génie.
    De plus, on peut regretter le choix de dérouler l’histoire non plus dans un San Francisco à l’ambiance trouble mais dans un Londres sans aucune personnalité (alors que cette capitale est une ville pouvant en avoir une réelle).
    Le scénario est nettement moins prenant que le précédent et le personnage de Catherine Tramell n’est plus aussi troublant. Il faut dire que la séquence d’introduction donne hélas le ton dès le début en étant totalement tirée par les cheveux spoiler: et en montrant Catherine Tramell tenter de libérer son passager qu’elle a visiblement drogué !!!
    Ainsi, l’intrigue est assez peu crédible et on pense que l’équipe du projet s’en rend compte en reproduisant certains gimmicks du premier spoiler: (Tramell utilisant un pic à glace dans une séquence totalement inutile, une séquence de discothèque…) allant même jusqu’à répéter à trois reprises le fait de fumer sans y être autorisé. Mais tout le film est résumé dans la dernière séquence reproduisant cette attitude puisque Catherine accepté d’écraser sa cigarette comme si elle refusait toute provocation à l’image du film
    .
    On pourrait toutefois apprécier le fait que le compositeur John Murphy réutilise régulièrement les thèmes géniaux de Jerry Goldsmith. Hélas, à l’exception de la séquence du jacuzzi et celle de la fin, ceux-ci sont réutilisés à des endroits inappropriés leur enlevant donc toute puissance dramatique.
    Le résultat n’est donc pas très supérieur à celui d’un vague téléfilm : pas ennuyant mais sans aucun génie ni réel intérêt et surtout oublié dès le lendemain alors que le premier était un film envoûtant et au passage un des meilleurs polars des années 90 avec Seven. Il n’est donc pas surprenant que le film ait essuyé un lourd échec critique et commercial (il a rapporté à peine la moitié de son budget). Si on était mauvaise langue, on pourrait même dire que cela est un peu mérité.
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    82 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 juillet 2014
    Autant dire tout de suite qu’il s’agit-là d’une suite que nous n’avions pas venue venir ! Et pour cause, il s’agit du sequel d’un film datant de 1992 et qui se suffisait à lui-même. Et pour lequel le brillantissime Paul Verhoeven (à qui nous devons également RoboCop et Starship Troopers) se retrouve remplacé par Michael Caton-Jones, un cinéaste qui ne possède pas vraiment de grands titres à son actif (juste Rob Boy avec Liam Neeson et le très discutable Le Chacal opposant Richard Gere à Bruce Willis). Non seulement Basic Instinct 2 ne faisait aucunement partie de nos attentes, mais en plus, le projet n’avait rien de bien alléchant. A-t-on eu raison de le redouter ?

    Désormais, la romancière Catherine Tramell (Sharon Stone) vit à Londres, où elle continue de vivre pleinement son existence emplie d’aventures sans lendemain. Mais à nouveau, elle se retrouve soupçonnée de meurtre. Celui du footballeur Kevin Franks (Stan Collymore), qui était en sa compagnie lorsque sa voiture tomba à l’eau. Dès lors, elle fait la rencontre du psychanalyste Michael Glass (David Morrissey), engagé pour dresser son profil psychologique. Mais une fois innocentée, elle poursuit ses rendez-vous avec lui, au point d’engager un dangereux jeu de séduction, amenant Glass à être mêlé à une sombre affaire de meurtre.

    Ne passons pas par quatre chemins : Basic Instinct 2 reprend absolument la même trame que son prédécesseur. À savoir le film démarrant sur la mort d’un personnage, l’accusation que l’on porte à la romancière, celle-ci s’amusant avec les personnes s’occupant de l’enquête, l’homme « l’affrontant » tout en devenant attiré sexuellement par elle, ce dernier ayant vécu un drame passé qui va refaire surface… Comme si les scénaristes ne s’étaient pas foulés pour devoir livrer cette suite en temps et en heure. Et qui n’ont pris aucun risques de se lancer dans une histoire qui aurait dénaturé celle du premier film, préférant garder la trame scénaristique de base afin d’affirmer aux spectateurs qu’ils on bien affaire à un Basic Instinct. Pourquoi pas ? Du moment qu’on se laisse prendre au jeu ! Malheureusement, nous sommes très, très loin de la perversité extrême qu’avait été le long-métrage de Paul Verhoeven.

    Qu’était exactement Basic Instinct premier du nom ? Un thriller érotique, certes. Mais un thriller qui savait manier le suspense à la perfection ! Qui établissait une ambiance diablement tendue. Qui rendait une scène de sexe aussi palpitante et entrainante qu’un moment de bravoure dans un divertissement d’action (le film devait beaucoup à la sublime musique de Jerry Goldsmith). Pour preuve, la séquence où Michael Douglas couchait enfin avec Sharon Stone : une scène torride, sulfureuse, qui faisait monter la pression dès que cette dernière reproduisait la scène de crime du début, puis cherchant sous le lit, en pleine extase, l’arme du crime qu’était le fameux pic à glace pour finalement se rabattre sur Douglas, sans rien à la main. Pour Basic Instinct 2, c’est un tout autre constat qui s’offre à nous. Plus exactement, c’est le premier film, mais sans le suspense.

    Du coup, nous nous retrouvons avec un thriller sans queue ni tête. Dans lequel les personnages se lancent dans un face-à-face érotico-psychologique incompréhensible voire ridicule. Où la tension ne répond jamais présent, la faute à un scénario fumeux (qui va jusqu’à utiliser bêtement certains clins d’œil au film précédent, comme le pic à glace ou l’intervention du personnage de Philip Walker), une Sharon Stone qui se parodie au possible, une mise en scène bidon et une très mauvaise utilisation de la bande originale (reprise du thème du premier film, mais pas pour les bonnes séquences, donnant à cette suite des airs de série Z de bas étage). Il n’y a qu’à voir les premières minutes, la séquence de l’accident : montage anarchique sur fond de musique à la limite du hip hop, nous faisant plus croire à un clip plutôt qu’à l’ouverture sexy et prenant de l’opus précédent.

    Pire, il semblerait que Michael Caton-Jones et son équipe n’aient retenu qu’une seule chose du film de Paul Verhoeven : le sexe. Et cela, Basic Instinct 2 en dégage à chaque seconde ! Il n’y a qu’à voir la version censurée du film, qui regroupe énormément de scènes érotiques qui rincent l’œil et rien d’autre. Mais même la version sobre dite « version cinéma » pue le sexe à plein nez : moins de séquences osées mais tout autant de répliques y faisant allusion. D’ailleurs, je ne me rappelle pas que les personnages en parlait autant dans le premier film. Ici, chaque discussion contient au moins le mot « bite », « chatte » ou tout autre terme de ce genre. Une surdose de sexe qui rend Basic Instinct 2 incroyablement vulgaire et non sensuel. Si vous voulez un autre exemple, regardez la façon dont est filmée la tour où travaille Michael Grass : une sorte de pénis en érection, trônant au beau milieu de notre champ de vision. Dans le 1, les fameuses scènes de sexe avaient de l’intérêt. Ici, elles n’en ont aucun. Juste pour compléter une sorte de cahier des charges typiquement hollywoodien.

    Au final, Basic Instinct 2 peut se voir comme un très mauvais remake du premier, qui a tout misé sur le charisme sensuel de Sharon Stone (même si sa prestation dans cette suite laisse à désirer, on ne peut renier son aura) tout en oubliant ce qui faisait la grande force du long-métrage de Verhoeven. Pour finalement n’être qu’un thriller érotique tape-à-l’œil et ennuyeux. Nous avions bien eu raison d’appréhender un tel projet. Mais de là à devoir faire face à une telle ineptie, ce n’était même pas pensable !
    NeoLain
    NeoLain

    4 961 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 mars 2008
    Une séquelle qui ne s'imposait pas. trahie par son propre corps, Sharon Stone semble pourtant croire au retour de la super garce au pic à glace qui, cette fois, s'en prend à un psychanalyste. Malgré que Sharon Stone est sublime, une ouverture du film assez bien foutu, rien n'y fait. Tout le reste tombe dans le pur érotisme sous cellophane, risible quand le réalisateur se croit malin à recourir à des tours en guise de symbole phallique.
    Akamaru
    Akamaru

    3 092 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 mai 2013
    Cette suite au sulfureux "Basic Instinct" est franchement dispensable.Il s'agit d'une histoire de gros sous,et d'émoustiller les adolescents les plus boutonneux.Ce qui est incroyable,c'est que le film de Michael Caton-Jones reprend trait pour trait les caractéristiques de l'oeuvre originale de Paul Verhoeven:érotisme soft,musique inspirée de Jerry Goldsmith,perversité et inversion des rôles entre Trammell et sa proie,intrigue compliquée.Cela aurait du fonctionner,d'autant que l'architecture du Londres contemporain se prêtait bien à l'exercice.Las,rien ne fonctionne.David Morrissey est un pâle psychiatre.Inexpressif et atone,il ne donne pas le change.En face,Sharon Stone,48 ans au compteur,s'en donne à coeur joie et l'écrase de tous son glamour.Elle reste crédible en blonde incendiaire qui vit très dangereusement,mais singe ses attitudes d'époque.Son jeu d'actrice semble s'être émoussé,même si elle conserve son goût pour les belles choses.La tension psychologique a disparue.Certaines répliques sentent le nanar,et la plupart des passages obligés sentent le réchauffé.Enfin,le déroulement est abracadabrantesque et la fin,juste ridicule.Rare de voir autant d'écart,entre un film originel et sa suite.
    7eme critique
    7eme critique

    531 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 mai 2017
    La grossière et ridicule introduction de ce second opus inutile annonce déjà bien la couleur !
    Le personnage de Catherine Tramell était bien plus subtil à l'époque, ici, Sharon Stone surjoue, irrite, et flirte avec la limite du vulgaire. Cette fois-ci, nous n'assisterons pas à une relation tumultueuse avec un flic, mais avec un psychiatre. "Basic instinct 2" reste extrêmement fidèle à son prédécesseur, trop même, car en effet le scénario sera quasiment trait pour trait le même que le précédent, avec beaucoup d'aspects réutilisés, mais le charme en moins et la bêtise en plus. Le seul point positif sera peut-être la réutilisation de cette musique culte, nous remémorant nos bons vieux souvenirs du vrai et finalement unique "Basic instinct".
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