Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
La sortie de "Bleeder" permet de remettre de l’ordre dans l’œuvre morcelée de Refn, comme elle permet de lui redonner la place qui lui est due.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Refn fait peut-être l'un des cinémas masculins les plus sensibles et émotifs du cinéma contemporain.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Refn fait peut-être l'un des cinemas masculins les plus sensibles et émotifs du cinema contemporain et si "Bleeder" est un peu immature, soucieux de faire éclater la bonne musique au bon moment et fier d'être parfois provocant, il pose, avec "Pusher", les bases de l'art refnien.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Découvrir aujourd’hui son deuxième film, datant de 1999 et encore inédit sur les écrans français, c’est aussi revenir sur une période de sa filmographie durant laquelle le réalisateur rêvait encore de perpétuer l’histoire d’une contre culture héritée des années 1970.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le metteur en scène est déjà reconnaissable dans une sophistication de l’image qui ne fera que (trop) s’amplifier et un art du montage percutant, à l’image d’un William Friedkin. Du solide.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
On aime ou pas, mais c’est fascinant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Romain Le Vern
Redécouvrir (le) film 17 ans après (...) donne à mesurer l’évolution cohérente et exceptionnelle du réalisateur (...) tout comme cela invite à questionner ce qui reste du cinéma indépendant et à constater à quel point les films de genre (...) sont devenus aujourd'hui les sauveurs.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Monde
par Jean-François Rauger
"Bleeder" se caractérise par un mélange de précision naturaliste et d’emphase lyrique, d’âpreté sociale et de stylisation voyante, une approche documentaire et une violence de série B. C’est le portrait de quatre personnages tout autant que la description d’un déroulement fatal et horrible des événements. L’interprétation est remarquable.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Un récit bourré d’idées de mise en scène, très représentatif de son époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Une certitude effleure aussi après avoir vu "Bleeder" : pour Nicolas Winding Refn, le cinéma tient du sacré, de la religion profane dont il serait l'un des prophètes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Sidy Sakho
"Bleeder", tourné en 1999 au Danemark avec l’essentiel du casting de "Pusher" (1996), son succès inaugural, n’est pas seulement une friandise pour les geeks de Refn. C’est un portrait de groupe dessiné avec tendresse et cruauté.
Cahiers du Cinéma
par Caroline Vié
(...) la passion de Refn pour les couleurs vives, et notamment le rouge, est déjà bien présente. Sa mise en scène nerveuse secoue le public comme un bon ratier et le rend indulgent pour un scénario trop touffu. La naissance d’un auteur est évidente devant cette œuvre de jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Humanité
par Vincent Ostria
Outre la sobriété du décor et de l’intrigue, les qualités expressionnistes du film proviennent de la façon dont les déambulations des divers protagonistes sont filmées en Steadicam et au grand angle. Le vidéoclub lui-même figurant une sorte de labyrinthe infernal du septième art, on a l’impression que l’histoire se déroule dans le cerveau d’un cinéphile détraqué. Ceci explique cela.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par La rédaction
Le film, bavard et violent, n'est pas génial mais intéressera les fans du réalisateur de "Drive", "The Neon Demon" ou encore d'"Only God Forgives".
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On retrouve tout le casting de la trilogie Pusher, la rage et l’énergie des débuts du réalisateur danois, qui démontre déjà à l’époque une jolie virtuosité dans sa mise en scène à partir d’un scénario banal. Une chronique drôle et violente, cohérente dans un parcours singulier.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Ce drôle d'objet vaut surtout comme témoignage précoce des grandes lignes et obsessions d'une filmo travaillée par deux courants antagonistes : l'amour et la violence. Winding Refn y déploie une mise en scène ultra-réaliste, sèche, directe, rythmée par de violentes accélérations.
Libération
par Olivier Lamm
Exploité sur les écrans français avec dix-sept ans de retard sur le Danemark, "Bleeder" est l’occasion de creuser le cas d’un cinéaste décidément mal aimable et complexe, qui n’en finit plus de nous dérouter.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Tout ça est brouillon, brinquebalant, un peu vain, mais il s'en dégage une revigorante et très plaisante envie de cinéma.
Télérama
par Jérémie Couston
Refn porte sur ses congénères un regard plutôt sombre - non seulement abrutis, ils sont racistes. Tout finira donc dans un bain de sang, avec, déjà, ce goût de l'auteur pour les fondus au rouge, le punk danois joué très fort et les embardées visuelles bizarroïdes (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Sébastien Schreurs
"Bleeder" est le film le plus méconnu, mais aussi le plus personnel du papa de Drive. À découvrir de toute urgence tant il est annonciateur des soubresauts de violence qui hantent toute l’œuvre étourdissante de Nicolas Winding Refn.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
La sortie de "Bleeder" permet de remettre de l’ordre dans l’œuvre morcelée de Refn, comme elle permet de lui redonner la place qui lui est due.
CinemaTeaser
Refn fait peut-être l'un des cinémas masculins les plus sensibles et émotifs du cinéma contemporain.
CinemaTeaser
Refn fait peut-être l'un des cinemas masculins les plus sensibles et émotifs du cinema contemporain et si "Bleeder" est un peu immature, soucieux de faire éclater la bonne musique au bon moment et fier d'être parfois provocant, il pose, avec "Pusher", les bases de l'art refnien.
Critikat.com
Découvrir aujourd’hui son deuxième film, datant de 1999 et encore inédit sur les écrans français, c’est aussi revenir sur une période de sa filmographie durant laquelle le réalisateur rêvait encore de perpétuer l’histoire d’une contre culture héritée des années 1970.
Franceinfo Culture
Le metteur en scène est déjà reconnaissable dans une sophistication de l’image qui ne fera que (trop) s’amplifier et un art du montage percutant, à l’image d’un William Friedkin. Du solide.
L'Obs
On aime ou pas, mais c’est fascinant.
LCI
Redécouvrir (le) film 17 ans après (...) donne à mesurer l’évolution cohérente et exceptionnelle du réalisateur (...) tout comme cela invite à questionner ce qui reste du cinéma indépendant et à constater à quel point les films de genre (...) sont devenus aujourd'hui les sauveurs.
Le Monde
"Bleeder" se caractérise par un mélange de précision naturaliste et d’emphase lyrique, d’âpreté sociale et de stylisation voyante, une approche documentaire et une violence de série B. C’est le portrait de quatre personnages tout autant que la description d’un déroulement fatal et horrible des événements. L’interprétation est remarquable.
Les Fiches du Cinéma
Un récit bourré d’idées de mise en scène, très représentatif de son époque.
Paris Match
Une certitude effleure aussi après avoir vu "Bleeder" : pour Nicolas Winding Refn, le cinéma tient du sacré, de la religion profane dont il serait l'un des prophètes.
Transfuge
"Bleeder", tourné en 1999 au Danemark avec l’essentiel du casting de "Pusher" (1996), son succès inaugural, n’est pas seulement une friandise pour les geeks de Refn. C’est un portrait de groupe dessiné avec tendresse et cruauté.
Cahiers du Cinéma
(...) la passion de Refn pour les couleurs vives, et notamment le rouge, est déjà bien présente. Sa mise en scène nerveuse secoue le public comme un bon ratier et le rend indulgent pour un scénario trop touffu. La naissance d’un auteur est évidente devant cette œuvre de jeunesse.
L'Humanité
Outre la sobriété du décor et de l’intrigue, les qualités expressionnistes du film proviennent de la façon dont les déambulations des divers protagonistes sont filmées en Steadicam et au grand angle. Le vidéoclub lui-même figurant une sorte de labyrinthe infernal du septième art, on a l’impression que l’histoire se déroule dans le cerveau d’un cinéphile détraqué. Ceci explique cela.
Le Figaro
Le film, bavard et violent, n'est pas génial mais intéressera les fans du réalisateur de "Drive", "The Neon Demon" ou encore d'"Only God Forgives".
Le Journal du Dimanche
On retrouve tout le casting de la trilogie Pusher, la rage et l’énergie des débuts du réalisateur danois, qui démontre déjà à l’époque une jolie virtuosité dans sa mise en scène à partir d’un scénario banal. Une chronique drôle et violente, cohérente dans un parcours singulier.
Les Inrockuptibles
Ce drôle d'objet vaut surtout comme témoignage précoce des grandes lignes et obsessions d'une filmo travaillée par deux courants antagonistes : l'amour et la violence. Winding Refn y déploie une mise en scène ultra-réaliste, sèche, directe, rythmée par de violentes accélérations.
Libération
Exploité sur les écrans français avec dix-sept ans de retard sur le Danemark, "Bleeder" est l’occasion de creuser le cas d’un cinéaste décidément mal aimable et complexe, qui n’en finit plus de nous dérouter.
Studio Ciné Live
Tout ça est brouillon, brinquebalant, un peu vain, mais il s'en dégage une revigorante et très plaisante envie de cinéma.
Télérama
Refn porte sur ses congénères un regard plutôt sombre - non seulement abrutis, ils sont racistes. Tout finira donc dans un bain de sang, avec, déjà, ce goût de l'auteur pour les fondus au rouge, le punk danois joué très fort et les embardées visuelles bizarroïdes (...).
aVoir-aLire.com
"Bleeder" est le film le plus méconnu, mais aussi le plus personnel du papa de Drive. À découvrir de toute urgence tant il est annonciateur des soubresauts de violence qui hantent toute l’œuvre étourdissante de Nicolas Winding Refn.