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Un visiteur
4,0
Publiée le 25 juillet 2007
Plus de 10 ans après Clerks, petit bijou drôle et bavard, Kevin Smith remet le couvert pour cette suite en couleur, disposant d’un casting fidèle au poste et agrémenté de quelques nouveaux personnages croustillants. Les ingrédients sont toujours les mêmes, seul le fond du problème a changé : adieu les soucis de la vingtaine, Randal et Dante doivent désormais prendre des décisions de trentenaires. Passée cette différence, on retrouve avec grand plaisir les situations, dialogues, gags et questionnements qui ont fait la réussite du premier film. Bien sûr, c’est souvent vulgaire, quasiment aucun gag ne se situe au dessus de la ceinture et le scénario reste très simple, mais le film est tout de même plus intelligent qu’il n’y paraît. A part les quelques lourdeurs, conséquence d’un humour parfois limite, Clerks II est une réussite. Les références à Star Wars et les dialogues absurdes sont toujours là, renforcés par la présence d’un fan du Seigneur des Anneaux qui donne lieu à quelques scènes hilarantes, dans le style inimitable de Kevin Smith !
Quel bonheur de retrouver nos héros rois de la glande!! Ce film n'est pas le meilleur de Kevin Smith mais qu'est ce qu'on rigole! L'humour de ce réalisateur est toujours aussi décalé et les scènes toujours aussi haurissantes mais cela marche et c'est le principal. Je conseil donc ce film à tous ceux qui veulent passer un bon moment et un grand bravo à Kevin Smith pour ces films qui nous font toujours autant rire!
Je m'attendais à du bon et j'ai eu de l'excellent ! Une suite attendue longtemps mais aucune déception. Kevin Smith passe, dépasse, outrepasse, un vrai plaisir tout du long, le summum arrivant à la fin avec un "donkey show" "paroxysmiquement" jubilatoire...
Amateur d'humour regressif, de répliques incisives, de cinéma ovniesque et subverssif, et de loosers assumés, ce film est pour vous!!! Univers bien décalé, personnages barrés, on passe 1h30 à se marrer comme des veaux!!! Entre le numéro d'enterrement de vie de garçon et la parodie du seigneur des anneaux, ce film est de la dynamite puissance 10! Du lourd, du culte en puissance. Y'avait longtemps que je m'étais pas autant poilé au cinoche!
Je le dis d'entrer de jeu : le film est inférieur au premier. on rit moins que dans le premier et certaines blagues se ramassent un peu. Malgré tout nous sommes heureux de revoir ces personnages du New Jersey que nous avons croiser tout au long de la filmo de Kevin Smith (dont les fameux Jay & Bob) et auxquelles, reconnaissons-le, sommes vraiment attachés. Cela n'empêche pas de retrouver une nouvelle venue, Rosario Dawson, qui s'en sort vraiment avec les honneurs. Les dialogues cultes sont au rendez-vous : un hilarant débat pro- Star Wars VS pro- Lord of the rings, une engueulade sur si ou non Porch Monkey est une insulte raciale... On retrouve également une étonnante scène de zoophilie dont je ne dévoilerais rien. Du bon délire comme on les aime, quoi. Kevin Smith est fidèle à lui-même et c'est tant mieux ! Le film a beau être moins drôle on y retrouve à certains moments une maturité étonnante sur la remise en question des personnages qui, à 30 ans passée, s'interrogent sérieusement sur ce qu'ils veulent faire de leur vie. Le message du film est clair et peut-être simpliste mais en bon fan, il me touche particulièrement : le regret d'une période passée, d'une jeunesse aujourd'hui révolue. Le fleurissement de grandes chaînes au profit de petits magasins, la disparition des petits vidéo-club, le fait que Lord of the rings ne vaut pas Star Wars... C'est carrément à la fin de toute une génération que nous assistons : la Génération X. La Génération X qui prend un coup de vieux qui se voit rattrapé par la réalité d'aujourd'hui (la génération Y ?) et c'est bien triste. Kevin Smith sait être émouvant et vraiment sincère comme on a pu le voir dans Jersey Girl et surtout Chasing Amy (sans doute le meilleur film de Kevin Smith avec le premier Clerks) et c'est ce qui fait le grand talent du bonhomme.
Kevin Smith démontre lui-même quil était impossible de poursuivre son colossal Clerks, joyau dhumour libre. Sa suite nest quune énième comédie générationnelle aux dialogues ternes et sans éclats. Pour ceux qui, comme moi, cultivaient le culte de Clerks, lamertume pour ce gâchis nest que plus forte.
vraiment excellent film des dialogues genial, un peu cru mai bon j'ai passer un tres bon moment surtout la scene ou ils parle du seigneur des anneaux , et la scene de l'ane, fou rire garanti, je le conseil vivement que je voie le premier.
Pour expier ses fautes (Père et fille, brrr !), Kevin Smith se devait bien d'effectuer un retour aux sources, alors, pourquoi pas une suite à Clerks ? Dans la mesure où le réalisateur a toujours gardé un pied dans cet univers, l'entreprise avait au moins pour elle de ne pas puer l'opportunisme à plein nez... Exit l'épicerie et le video-club, Dante et Randall traînent désormais leur guêtres dans un fast-food dirigé d'une main de velours par Rosario - Rhâââ lovely - Dawson. Comme Smith a grandi depuis le premier Clerks, il est maintenant question de mariage et de bilan, mais, qu'on se rassure, pas question pour autant d'abandonner les délires geeks (Jason Mewes se fend d'un superbe hommage au Silence des agneaux) et autres discussions salaces : si le ton est parfois un peu trop sérieux et la multiplication des références à la foi de l'auteur envahissante, on rit très souvent, et le bonhomme a gardé intacte sa capacité à mettre les pieds dans le plat quand il le faut (voire même sauter pour bien éclabousser).
Après environ quinze ans d'absence, Kevin Smith réalise la suite de son film culte: "Clerks: employés modèles". On pourrait s'attendre au coup classique du grand come back mais non... D'abord parce que "Clerks II" n'est pas une vraie suite, non, tous les films de Kevin Smith ont jusqu'à présent étés des sortes d'épisodes d'une longue séries sur "la vie selon Smith". Ensuite parce que cet opus est d'une modesteté étonnante, le premier opus tentait le maximum avec un petit budget, le second tente le minimum avec un gros budget. C'est d'ailleurs ça qu'on repproche un peut au film: faire un tout avec beaucoup de rien, quelques détails, et beaucoup de volonté. On dirait un peut que ce "Clercks II" est un prétexte pour faire encore un film dans la saga Kevin Smith. Toute fois, cela est justifié, car la morale du film stipule: "A quoi chercher à faire beaucoup si le peut que j'ai me suffit, j'aime la vie que je mène et même si elle pourrait être mieux je ne veux pas la changer, alors si ça te plait connard va te faire enculer". Un bon film, divertissant et qui fait réflechir, qui a quand même un goût un peut trop sec.
Loin du premier volet, les discussions sont prévisibles. Une intrigue amoureuse tente de venir aider à la structure scénaristique mais elle se plante car trop prévisible et cliché. Bref, je retiens la scène très marrante avec le fan du Seigneur des Anneaux qui vient acheter son hamburger... et voilà.
Soyons clair : Clerks en 1994 était drôle, vif, mordant avec sa contre-culture "djeune" et son éloge de la glande. Puis vieillir en même temps que Kevin Smith et voir quil na pas évolué, et nous faire subir cette chose molle, grasse et vaguement drôle à limage des hamburgers quil nous sert nest pas très réjouissant. Born to be nerd !
Un scénario proche du néant, des longueurs quand le film veut être "sérieux". Pour le reste je me suis marré pratiquement du début à la fin du film franchement divertissant dans un registre suffisamment lourd pour être encore considéré comme original. Un film qui ne se prend pas au sérieux.
12 ans après! quelle idée de faire une suite a Clerks, les employés modeles. Qui, a part moi qui ai vu l'orginal en salle, se souvient de cet opus du cinema independant americain, et va aller le voir sur grand ecran aussi? Ode a la glande, noir et blanc... pas le block buster. La suite reste bien dans le meme genre, mais les personnages ont grandi (vieilli on dit?)... comme nous, et la couleur ne favorise pas la transition.