Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Brazil
par Christophe Lemaire
Stephen Chow redonne un sens au mot cinéma avec ce mixe délirant entre western spaghetti italien, comédie musicale hollywoodienne, les cartoons de la Warner et humour frappadingue. (...) Stephen Chow laisse son imagination déborder de partout.
Chronic'art.com
par Alex Masson
(...) sous la surface d'un film ultra-spectaculaire, l'acteur-réalisateur Stephen Chow parvient à glisser la belle nostalgie d'un cinéma populaire à l'ancienne, entre candeur et aventures épiques. Tout cela fait de Crazy kung-fu un cas unique : résolument moderne dans son économie et son ambition, tout en démontrant par l'exemple que le cinéma, hong-kongais ou autre, c'était mieux avant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Ecran Fantastique
par Emmanuel Denis
(...) hommage aux grands classiques du cinéma d'arts martiaux adoptant la forme d'un spectacle délirant, partagé entre action, humour et émotion. Une merveille !
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
En dopant à coup d'effets numériques le genre de la kung fu comedy, Stephen Chow pulvérise les canons traditionnels du cinéma asiatique et les records de recettes avec extravagance et boulimie.
Mad Movies
par Julien Dupuy
S'il ne devait rester qu'un genre auquel rattacher Crazy Kung-Fu, ce serait sans aucun doute la comédie musicale. Nous n'irons peut-être pas jusqu'à dire que c'est un film parfait mais on peut par contre affimer que l'univers si atypique dans lequel il s'inscrit ne connaît aucune faille. Espérons que Stephen Chow continue à l'explorer, parce qu'on y retournerait bien y faire un tour...
Positif
par Lorenzo Codelli
Ah ! Il nous faudrait Robert Benayoun pour décrire, avec les calembours appropriés, le Niagara de gags surréels et hyperviolents (entre Mack Sennett, Jerry Lewis, Tex Avery) qui nous inonde sans répit à partir du décor fantastique et des personnages monstrueux (...). Une nouvelle preuve de l'immense talent et des goûts de mode (je dirais "obscènes" au sens latin du mot) de l'acteur-réalisateur-chorégraphe (...) et surtout moraliste de Stephen Chow.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Iris Mazzacurati
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
L'acteur réalisateur hongkongais Stephen Chow est un maître de la comédie d'action (...) Un pur moment de fantaisie et de superbes chorégraphies acrobatiques.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Bruno Icher
Stephen Chow revient à ce qu'il sait faire de mieux : des gags fauchés, un comique de situation bricolé avec trois bouts de ficelle. Et, quand il donne dans la démesure, c'est plutôt sur l'énormité du comique que sur celle d'effets spéciaux à gros budget, même si le film n'en manque pas. En général, ça marche, avec une fantaisie et une fraîcheur rares. Parfois non. Ce n'est pas grave, et puis il sera difficile à Stephen Chow de changer.
Première
par Mathieu Carratier
Stephen Chow a un sens du spectacle assez surnaturel qui balaie n'importe quelle réserve éventuelle à grands coups de manchettes. Si vous allez au cinéma pour prendre votre pied, c'est ici que ça se passe.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Du rififi en vue ! Et du beau puisque c'est Yuen Wo Ping, chorégraphe culte des combats en apesanteur de Tigre et dragon et Kill Bill... qui règle la castagne. L'ingrédient jubilatoire de ce cocktail euphorisant foisonnant d'humour, de parodie et d'esprit cartoon.
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
(...) objet cinématographique difficilement identifiable, truffé de clins d'oeil cinéphiliques (aux comédies musicales de Fred Astaire et Ginger Rogers, à Kubrick, à Tarantino). Ne pas passez à côté.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Aurélien Férenczi
Ici aussi il sera question de kung-fu, mais le cinéaste-gagman-histrion a mis la barre un peu plus haut. Ses références mêlent comédie musicale de l'âge d'or et cartoons déjantés : il conjugue la sophistication des mouvements d'appareil dans des décors foisonnants de studio, avec la liberté totale donnée par les effets spéciaux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Grâce à une virtuosité de tous les instants et à des gags désopilants, Crazy kung-fu ravit de plaisir. Une bonne dose d'adrénalisne martiale avant l'été.
Elle
par Elisabeth Quin
Bastons pour rire et frémir entre gangs et paysans.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dans ce pot-pourri d'emprunts allant du classique Justicier de Shanghai de Chang Cheh (pour le gang des haches) à Gangs of New York de Scorsese, on retiendra avant tout le duel musical avec des harpes, dont les sons terrassent les adversaires. Mais c'est moins jouissif que Shaolin Soccer, le précédent Stephen Chow, à cause d'une surenchère d'effets visuels qui rapprochent trop le film du dessin animé.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Au nombre de gags, de trouvailles visuelles, d'éclats de rire arrachés (fût-ce par la force) Crazy Kung Fu justifie aisément son existence. Mais il arrive parfois que le film laisse entrevoir d'autres horizons que celui de son humour hystérique, comme dans ces séquences qui opposent deux harpistes maléfiques aux maîtres artisans de la porcherie (...) on se dit à ce moment-là qu'un peu de foi dans ce que l'on montre n'a jamais nui à un film, même à une comédie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Si les vingt premières minutes du film donnent une vision réjouissante d'une Chine version Cotton Club, tout s'enraye rapidement. Malgré quelques gags fleurant bon l'absurdité répétitive à la Blake Edwards, Chow sacrifie trop facilement ses personnages et son humour à une grandiloquence sonore et visuelle qui donne irrémédiablement le tournis. Et la migraine.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Une parodie impeccablement manufacturée mais volatile.
Brazil
Stephen Chow redonne un sens au mot cinéma avec ce mixe délirant entre western spaghetti italien, comédie musicale hollywoodienne, les cartoons de la Warner et humour frappadingue. (...) Stephen Chow laisse son imagination déborder de partout.
Chronic'art.com
(...) sous la surface d'un film ultra-spectaculaire, l'acteur-réalisateur Stephen Chow parvient à glisser la belle nostalgie d'un cinéma populaire à l'ancienne, entre candeur et aventures épiques. Tout cela fait de Crazy kung-fu un cas unique : résolument moderne dans son économie et son ambition, tout en démontrant par l'exemple que le cinéma, hong-kongais ou autre, c'était mieux avant.
L'Ecran Fantastique
(...) hommage aux grands classiques du cinéma d'arts martiaux adoptant la forme d'un spectacle délirant, partagé entre action, humour et émotion. Une merveille !
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
En dopant à coup d'effets numériques le genre de la kung fu comedy, Stephen Chow pulvérise les canons traditionnels du cinéma asiatique et les records de recettes avec extravagance et boulimie.
Mad Movies
S'il ne devait rester qu'un genre auquel rattacher Crazy Kung-Fu, ce serait sans aucun doute la comédie musicale. Nous n'irons peut-être pas jusqu'à dire que c'est un film parfait mais on peut par contre affimer que l'univers si atypique dans lequel il s'inscrit ne connaît aucune faille. Espérons que Stephen Chow continue à l'explorer, parce qu'on y retournerait bien y faire un tour...
Positif
Ah ! Il nous faudrait Robert Benayoun pour décrire, avec les calembours appropriés, le Niagara de gags surréels et hyperviolents (entre Mack Sennett, Jerry Lewis, Tex Avery) qui nous inonde sans répit à partir du décor fantastique et des personnages monstrueux (...). Une nouvelle preuve de l'immense talent et des goûts de mode (je dirais "obscènes" au sens latin du mot) de l'acteur-réalisateur-chorégraphe (...) et surtout moraliste de Stephen Chow.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
L'acteur réalisateur hongkongais Stephen Chow est un maître de la comédie d'action (...) Un pur moment de fantaisie et de superbes chorégraphies acrobatiques.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Stephen Chow revient à ce qu'il sait faire de mieux : des gags fauchés, un comique de situation bricolé avec trois bouts de ficelle. Et, quand il donne dans la démesure, c'est plutôt sur l'énormité du comique que sur celle d'effets spéciaux à gros budget, même si le film n'en manque pas. En général, ça marche, avec une fantaisie et une fraîcheur rares. Parfois non. Ce n'est pas grave, et puis il sera difficile à Stephen Chow de changer.
Première
Stephen Chow a un sens du spectacle assez surnaturel qui balaie n'importe quelle réserve éventuelle à grands coups de manchettes. Si vous allez au cinéma pour prendre votre pied, c'est ici que ça se passe.
Télé 7 Jours
Du rififi en vue ! Et du beau puisque c'est Yuen Wo Ping, chorégraphe culte des combats en apesanteur de Tigre et dragon et Kill Bill... qui règle la castagne. L'ingrédient jubilatoire de ce cocktail euphorisant foisonnant d'humour, de parodie et d'esprit cartoon.
TéléCinéObs
(...) objet cinématographique difficilement identifiable, truffé de clins d'oeil cinéphiliques (aux comédies musicales de Fred Astaire et Ginger Rogers, à Kubrick, à Tarantino). Ne pas passez à côté.
Télérama
Ici aussi il sera question de kung-fu, mais le cinéaste-gagman-histrion a mis la barre un peu plus haut. Ses références mêlent comédie musicale de l'âge d'or et cartoons déjantés : il conjugue la sophistication des mouvements d'appareil dans des décors foisonnants de studio, avec la liberté totale donnée par les effets spéciaux.
Zurban
Grâce à une virtuosité de tous les instants et à des gags désopilants, Crazy kung-fu ravit de plaisir. Une bonne dose d'adrénalisne martiale avant l'été.
Elle
Bastons pour rire et frémir entre gangs et paysans.
L'Humanité
Dans ce pot-pourri d'emprunts allant du classique Justicier de Shanghai de Chang Cheh (pour le gang des haches) à Gangs of New York de Scorsese, on retiendra avant tout le duel musical avec des harpes, dont les sons terrassent les adversaires. Mais c'est moins jouissif que Shaolin Soccer, le précédent Stephen Chow, à cause d'une surenchère d'effets visuels qui rapprochent trop le film du dessin animé.
Le Monde
Au nombre de gags, de trouvailles visuelles, d'éclats de rire arrachés (fût-ce par la force) Crazy Kung Fu justifie aisément son existence. Mais il arrive parfois que le film laisse entrevoir d'autres horizons que celui de son humour hystérique, comme dans ces séquences qui opposent deux harpistes maléfiques aux maîtres artisans de la porcherie (...) on se dit à ce moment-là qu'un peu de foi dans ce que l'on montre n'a jamais nui à un film, même à une comédie.
MCinéma.com
Si les vingt premières minutes du film donnent une vision réjouissante d'une Chine version Cotton Club, tout s'enraye rapidement. Malgré quelques gags fleurant bon l'absurdité répétitive à la Blake Edwards, Chow sacrifie trop facilement ses personnages et son humour à une grandiloquence sonore et visuelle qui donne irrémédiablement le tournis. Et la migraine.
aVoir-aLire.com
Une parodie impeccablement manufacturée mais volatile.