Note moyenne
4,5
26 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

26 critiques presse

Brazil

par Caroline Vié

Le cinéaste semble être parvenu à une maturité dont il fait profiter son acteur principal, Romain Duris, qu'on n'a jamais vu aussi bon.

Ciné Live

par Philippe Paumier

Voir la critique sur www.cinelive.fr

La critique complète est disponible sur le site Ciné Live

Cinéastes

par Stéphane Beaujean

Réalisation sous forme d'électrocardiographie, Audiard étrangle le cadre autour de son héros et laisse le monde hors champs. Tout est concentré sur le visage et le corps d'un Romain Duris écrasé et écrasant.

La critique complète est disponible sur le site Cinéastes

Elle

par Elisabeth Quin

Audiard filme une odysée morale comme s'il s'agissait d'un combat de boxe entre l'instinct et la grâce. Caméra thermo-guidée, charnelle, collée à la nuque, aux mouvements de Romain Duris qui est magistral.

Fluctuat.net

par Manuel Merlet

Dans son dernier film, très personnel, Jacques Audiard fait preuve d'une indéniable maîtrise du tempo. (...) le dernier film de Jacques Audiard dégage une énergie suffisamment rare dans le cinéma hexagonal récent pour être soulignée. (...) avec ce quatrième opus, où le psychologique se mêle au physique, Jacques Audiard affirme un discours et une maîtrise que personne ne pourra lui nier.

La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net

L'Express

par Eric Libiot

Voir la critique sur www.lexpress.fr

L'Obs

par Pascal Mérigeau

Jacques Audiard [...] jouit d'un grand talent de cinéaste.[...] Romain Duris se montre très à son avantage, de même qu'un étonnant Niels Arestrup. Puisse le cinéma français nous offrir d'autres films de cette ampleur dans les mois à venir. Jacques Audiard montre la voie !

Le Figaroscope

par Françoise Maupin

Jacques Audiard filme, caméra à l'épaule, en plans séquences, avec virtuosité, mais aussi en toute liberté, d'une façon sensuelle et intense : un vrai plaisir qu'il sait faire partager.[...] Comme dans Sur mes lèvres, l'amour naît au-delà des mots et c'est magnifique. Le film doit aussi beaucoup à Romain Duris, qui donne une performance exceptionnelle.

Le Monde

par Thomas Sotinel

De battre mon coeur s'est arrêté, de Jacques Audiard. Inspirée du polar américain "Fingers", la quête d'un pourri qui se souvient qu'il a été pianiste. Une performance étonnante de Romain Duris.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

Ouest France

par La Rédaction

Caméra sur l'épaule le plus souvent, dans des séquences d'une rude intensité physique et émotionnelle, Jacques Audiard imprime un rythme de thriller à cette quête sombre et torturée d'une identité. Avec au final la bouffée d'oxygène d'une possible rédemption par les sentiments.

La critique complète est disponible sur le site Ouest France

Paris Match

par Alain Spira

Jacques Audiard signe un film puissant braqué sur les acteurs [...]. Film d'acteurs, cette oeuvre forte permet à Romain Duris d'affirmer son immense talent face à un Niels Arestrup toujours aussi impressionnant. Décidément, devant une telle réussite, de battre notre coeur risque de s'arrêter.

La critique complète est disponible sur le site Paris Match

Positif

par Jean-Christophe Ferrari

Un beau, un magnifique jeune homme, donc, porté par un acteur dont l'interprétation exceptionnelle égale ici parfois celles du jeune De Niro. [...] Audiard parvient à [...] créer un climat de suspense, agencer avec habileté et souplesse la structure du récit.

La critique complète est disponible sur le site Positif

Rolling Stone

par Grégory Alexandre

(...) grand et beau film sur la filiation, l'abandon au talent et l'apprentissage d'un nouveau langage de vie. Le tout porté par l'écume rouge sang du jeu intense d'un Romain Duris exceptionnel. Il est le coeur battant d'un film qui mérite absolument qu'on s'y arrête.

Studio Magazine

par Thierry Cheze

Voir la critique sur www.studiomag.com

La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine

Télé 7 Jours

par Gérard Lenne

Cinéaste efficace [...], Audiard s'y entend pour créer une atmosphère, brosser des portraits... Voir l'émouvant personnage féminin formidablement joué par Aure Atika et , bien sûr, le plus beau rôle jamais tenu par un Romain Duris métamorphosé, dirigé, convaincu et convaincant.

La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours

TéléCinéObs

par François Forestier

Jacques Audiard [...] est un conteur élégant. "De battre mon coeur s'est arrêté", joué par Romain Duris, est un film exceptionnel : on pense à Cassavetes, à Simenon, à mille auteurs. On en sort avec la poésie au coeur.

Télérama

par Frédéric Strauss

(...) la mise en scène (...) accroche par son punch physique, mais crée aussi une ambiance assez mentale, en brassant tout avec une heureuse énergie (...) Le film se garde la liberté de changer de ton en direct pour raconter un personnage qui fait sa mue devant nous. Notre coeur bat à différents rythmes, sans jamais s'arrêter.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

Zurban

par Olivier Pélisson

Jacques Audiard et son scénariste Tonino Benacquista réussissent un nouveau diamant noir, quatre ans après Sur mes lèvres. Imbriquant lien filial, intrigues mafieuses et sentiments, ils signent un film sombre à la narration dense et fluide. [...] Un pur objet de plaisir par un grand cinéaste.

Le Figaro

par Dominique Borde

Voir la critique sur www.lefigaro.fr

La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

Libération

par Didier Péron

(...) un film taillé dans la pierre, coupant aux angles, mû par une violence projectile. De battre mon coeur s'est arrêté (...) est un film multiple, d'une grande force intrusive, croisant polar, roman d'éducation, photographie d'une époque, reportage sur un acteur, éloge de la musique et transe oedipienne, l'ensemble comme plongé dans un bain nocturne huileux.

Première

par Sophie Grassin

Jacques Audiard filme son histoire en plans-séquences, caméra à l'épaule, dans le mouvement, la fluidité, la liberté [...] "De battre mon coeur s'est arrêté" [...] vaut aussi par et pour Romain Duris, d'une densité totale [...], éblouissant, dont la profondeur de l'engagement sidère.

La critique complète est disponible sur le site Première

aVoir-aLire.com

par Emmanuelle Cocud

Un imbroglio qui ressemble à s'y méprendre à la vie. Dans ce film au titre évocateur, Jacques Audiard parcourt un nouveau pan de son univers, entre déchéance et rédemption.

Chronic'art.com

par Vincent Malausa

(...) mise en scène qui ne trouve que par à-coups la grâce de Sur mes lèvres, trop affectée, trop systématique [...]. Pas honteux, De battre mon coeur s'est arrêté est à l'image de son titre assez révulsif : ampoulé et stérile [...] les fragments bons ou mauvais de ce petit thriller sans conséquences gardent la patte d'un authentique cinéaste

La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

MCinéma.com

par Camille Brun

On est (...) bluffé par ces longs plans serrés en caméra portée, toujours centrés sur le personnage principal. Avec eux se dégage une marquante impression de violence sourde, de sécheresse et d'animalité maîtrisées. Malheureusement, tout à son héros, Jacques Audiard paraît vite suivre une route trop tracée et ainsi négliger les ramifications secondaires de son histoire. Mis à part la répétitrice, il n'y a pas de place ici pour des protagonistes féminins (...). C'est d'autant plus frappant que Romain Duris tient lui un de ses meilleurs rôles. A mille lieues des personnages de jeunes néo-hippies de ses débuts, il est exceptionnel, subtil et totalement investi.

Cahiers du Cinéma

par Emmanuel Burdeau

Audiard a sans doute voulu mettre en crise la tchatche, la convertir en agitation toute physique, symphonie de gestes, phrasé strictement corporel. Pari plutôt raté...

Les Inrockuptibles

par Jean-Baptiste Morain

Tout cela n'est pas nul, loin d'être génial [...], plutôt mieux que l'horrible Sur mes lèvres. Tout est un peu moyen, un peu lourd.[...] On a beau trouvé ce cinéma honnête, on n'est pas obligé d'aimer ça. Parce qu'on y sent une vraie misogynie, et surtout une fascination pour les "vrais" mecs... Fascination rance pour les beaufs à l'ancienne qui aurait légèrement tendance à me donner envie de gerber.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
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