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Un visiteur
5,0
Publiée le 27 décembre 2011
Slevin, c'est un casting parfait composé d'acteurs hors norme: Josh Hartnett, incroyablement séduisant comme toujours, Morgan Freeman, toujours au top (de même que l'épatant Ben Kingsley), et Lucy Liu, qui m'a impressionnée: je l'avais déjà vue il y a maintenant un certain temps dans Kill Bill, mais dans Slevin, je l'ai tout simplement trouvé éblouissante! Le scénario est remarquable: le film est bourré de rebondissements, et provoque ainsi un suspense intense, il y a beaucoup de personnages, si bien qu'on a par moment un peu de mal à suivre. Le film se termine sur un retournement de situation remarquable: tout s'éclair, et les incompréhensions disparaissent. Je voudrais aussi souligner que ce film, en plus d'être une merveille d'action, est aussi un délice pour le côté visuel: j'ai trouvé les décors plutôt intéressant: le design de l'escalier dans le bureau du Boss par exemple est.. je me répète mais je manque de superlatif.. une merveille. Pour moi, Slevin est donc un film brillant à voir absolument.
Slevin m'a vraiment surpris. Je ne m'attendais pas du tout a ça! Les acteurs était super je ne me suis douter de rien. C'est un film que je recommande vivement.
SLEVIN est une bonne surprise mais j'avoue que je ne pensais pas mettre cette critique avant la fin du film . Un scénario au départ décousu entraînant Josh Hartnett dans le rôle du pion accidentellement utilisé par la Mafia arrosé de dialogue d'une expression maîtrisée , d'une ambiance un peu décalée à la Tarantino , d'une amourette fort sympathique mais qui ne fait que combler un peu de pellicule afin peut être d'éviter les temps morts .... Bref une histoire qui se déroule sans que l'on accroche vraiment mais on se laisse mener par le réalisateur , un casting formidable offrant Bruce willis dans un rôle de tueur à gage froid , très professionnel mais aussi sentimental , les vilains mafieux ben kingsley et Morgan freeman acteurs charismatique .... et aussi par une bonne mise en scène . C'est alors que toute l'importance du film se dévoile sur la fin dévoilant la maîtrise de Paul Mc Guigan qui nous offre au final une réalisation bien pensée se jouant du téléspectateurs .
Josh Hartnett est irregardable dans ce film est pas que lui. Tout ce long-métrage est une fausse ambiance Tarantinesque, chaque moments est surplombés par des dialogues insipides, j'ai carrément décrocher de l'histoire.
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2,5
Publiée le 29 novembre 2011
C'est un film très inspirè du cinèma de Quentin Tarantino! Pourquoi ? Parce que ce polar à la cool suit un Josh Hartnett pris par mègarde dans une guerre des gangs à New York! Les personnages sont souvent dècalès et les rèfèrences cinèphiliques (le "North By Northwest" d’Hitchcock par exemple) et violentes ne manquent pas! Point fort: Bruce Willis en tueur à gages; Point faible: un jeu de piste labyrinthique qui peut agacer avec un scènario très perfectible! L'ensemble est tout de même très distrayant grâce à son casting quatre ètoiles (Morgan Freeman, Sir Ben Kingsley...) dont Josh Hartnett, belle gueule au nez cassè, qui rappelle parfois un certain Jack Nicholson dans le "Chinatown" de Polanski mais sans le sparadrap! A voir car la manipulation du spectateur est habile dans le final....
Très bon film. Digne de rivaliser avec les plus grands films de Tarantino. Une histoire très bien écrite et excellemment bien joué. Un peu long à se mettre en place comme beaucoup de vrai THRILLER !
Bon film, bien ficelé, dans le genre Tarantino. Les acteurs jouent parfaitement et la Bande originale du film est énorme! Bref tout est réunie pour passer un bon moment.
Je veux les même tapisseries sur mes murs. Non ce film est très sympa. Tout le monde le déglingue mais c'est assez drôle et bien fait. Ça ne se prend pas au sérieux.
Les dialogues relous et insipides pseudo-tarantiniens patinent parfois (souvent) dans le vide à force de se vouloir et de se croire intelligents sans l'être le moins du monde ; les personnages sont trop charismatiques et pédants pour qu'on puisse croire leur "création" vraiment sincère ; les révélations finales ne sont pas aussi décoiffantes que leur mise en scène prétentieuse le laisse entendre. Et, si l'on n'est pas dupe, tout cela révèle une certaine vanité de la part de Paul McGuigan, qui se la joue "Grand Cinéaste", à mi-chemin entre Tarantino et Ritchie, sans parvenir à égaler ni l'un ni l'autre (et le casting prestigieux ne suffira pas à me berner). Et pourtant. Et pourtant, "Slevin" embarque, "Slevin" trouble, "Slevin" plaît. Il plaît par son atmosphère rendue étrange, presque psychédélique, par des plans incroyables, des montages surprenants et une musique hypnotisante. Et si McGuigan opte souvent pour la facilité en multipliant flash-back, ellipses et autres effets faciles, l'ensemble passe comme une lettre à la poste, allez savoir pourquoi. "Slevin", malgré ses nombreux artifices qui cachent un certain vide et peuvent en agacer certains, a le don de scotcher le spectateur face à l'écran, de l'attacher à ses personnages pourtant si antipathiques, et de l'emporter dans son intrigue moins compliquée qu'elle en a l'air. Donc voilà : un film surfait, presque factice, et à moins de faire preuve d'une naïveté qui frôle la bêtise on s'en rend compte rapidement, mais paradoxalement l'ensemble est loin d'être déplaisant. Pour une fois, j'ai aimé qu'on se foute de ma gueule, quoi. Une sorte de plagiat pas trop dégueu de "Snatch" et de "Pulp Fiction", bref une curiosité qui mérite le coup d'oeil.
Il s'agit d'un bon film avec un scénario bien écrit mais pas non plus extraordinaire. Les pièces du puzzle sont bien désordonnés au départ pour terminer par un beau tableau, c'est pour moi la force de ce film.
Lucky Number Slevin ou l'efficacité d'une "embrouille à la Kansas City". Le scénario est haletant et très bien ficelé. En béton. C'est l'atout majeur du film. Ensuite, il ya l'intelligence au montage. Distiller les réponses au compte-goutte n'en rend le final que meilleur. Et puis il y a cette gueule d'ange au nez cassé et sa faculté à construire et déconstruire tout. Constamment. Traiter avec intelligence et humour le sujet de guerre des grands gangs, c'est "fin et ça se mange sans faim"