Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Score
par Anthony Wong
Avec son charme rétro-poétique immédiat (...), ses décors hallucinants, ses instants lyriques et ses embardées guerrières, Le Fil de la Vie est une oeuvre envoûtante qui revient aux sources du cinéma. Contre la course à la 3D et au tout technologique, Klarlund vient de prouver que la magie du septième art réside aussi dans le retour à un artisanat passionné. Bluffant.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
C'est somptueux de bout en bout, et loin de ne s'adresser qu'aux seuls enfants.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Olivier Pélisson
Ce conte danois évoquant Hamlet fait mouche. Grâce à un impressionnant travail technique sur les marionnettes, offrant un supplément d'âme et une magie artisanale absentes du dessin et des images de synthèse. Grâce à un univers séduisant (...). Grâce enfin à un récit subtil mêlant épique et romanesque à une idée en or : les fils invisibles des pantins sont les liens qui les tiennent en vie.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Ecran Fantastique
par Emmanuel Denis
Au-delà des trouvailles poétiques, (...) le scénario paraît un peu faible puisqu'il ressert, sans faire preuve de beaucoup d'imagination, de nombreux clichés du genre. (...) Cependant cette intrigue n'est qu'un fil conducteur reliant entre elles de superbes séquences. (...) Anders Ronnow-Klarlund, grand ordonnateur de ce spectacle somptueux, tourne alors, devant nos yeux émerveillés, les pages d'un superbe livre, porteur d'une authentique magie visuelle.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un film étonnant, têtu, dur comme du bon bois.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
LE FIL DE LA VIE aurait pu être un magnifique exemple d'un exploit technique au service d'un art. Ça reste simplement une belle réussite mais c'est déjà pas mal.
Première
par Gaêl Golhen
Epopée tragique aux relents shakespeariens, Le Fil de la Vie n'a rien du spectacle fauché pour gamin demeuré. Le réalisateur aligne avec une même maîtrise les séquences en apesanteur (...) ou les combats dans la jungle, et donne vie à ces pantins de bois que l'on pensait désincarnés. (...) Une belle réflexion sur les rapports entre virtualité et réalité (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Depuis les travaux de Karel Zeman dans les années 50-60, on n'avait guère vu de films de marionnettes. Oeuvre du danois Anders Ronnow Klarlund, celui-ci apporte du neuf. Pas seulement à cause de son scénario aux airs de légende nordique (...), mais par son audacieuse trouvaille: au lieu de masquer les fils qui animent ces figurines de bois, on les insère dans le récit.
Télérama
par Frédéric Strauss
Avec des marionnettes en bois et des fils, le jeune Danois Anders Rønnow Klarlund fait naître une magie dépouillée. (...) L'histoire sur laquelle repose cette étonnante entreprise est sans doute son seul point faible, ayant un goût de déjà-vu. (...) Mais le réalisateur sait en tirer des scènes visuellement très fortes (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cinéastes
par Sara Ri
Le fil de la vie semble s'être donner comme but de créer une nouvelle technique sans user de ses possibilités esthétiques en la contraignant à se calquer sur un modèle ancien obsolète. C'est se donner beaucoup de mal pour rien... (...) Anders Rønnow Klarlund ne parvient pas à donner vies à ses pantins malgré l'invention d'un univers digne des contes d'Andersen.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Le Monde
par Jean-François Rauger
On peut y être sensible ou trouver cela fortement ennuyeux et juger que l'esthétique adoptée y témoigne d'un goût contestable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Impressionnant. Car on s'arrêtera davantage sur les virtuosités techniques et esthétiques de l'entreprise que sur l'originalité d'un propos pourtant compliqué. (...) Des personnages dont on regrette seulement qu'ils aient la bouche figée, ce qui les prive d'une partie de leur force expressive. Et risque par là de rebuter le plus jeune public.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
A condition de ne s'attacher qu'à la forme, c'est plutôt réussi d'autant qu' Anders Ronnow-Klarlund exploite assez bien le concept. (...) Le scénario est très conventionnel (...) et la thématique trop classique (ou alors pas assez audacieuse). Défi technique avant d'être une révolution narrative, Le fil de la vie est par ailleurs très manichéen dans sa construction. La simplicité des personnages et des situations devrait toutefois émouvoir les plus jeunes (...).
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Anders Ronnow Klarlund peut bien tenter d'évoquer Turner pour les décors, ses marionnettes ripolinées aux nez ciselés façon Bernard Buffet évoqueront toujours la mascotte O-Cedar et les Géants de la Coupe du Monde 98.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ces héros ne sont jamais dupes de leur nature artificielle. Nous non plus : s'accoutumer à ces pantins inexpressifs, qui parlent sans desserrer les lèvres, exige des trésors d'imagination.
Mad Movies
par Julien Dupuy
Ratage total (...). On peut donc affirmer que ce grand donneur de leçon [Anders Ronnow Klarlund] s'est planté dans les grandes largeurs principalement à cause de sa méconnaissance et de son dédain envers le genre [fantastique].
Score
Avec son charme rétro-poétique immédiat (...), ses décors hallucinants, ses instants lyriques et ses embardées guerrières, Le Fil de la Vie est une oeuvre envoûtante qui revient aux sources du cinéma. Contre la course à la 3D et au tout technologique, Klarlund vient de prouver que la magie du septième art réside aussi dans le retour à un artisanat passionné. Bluffant.
TéléCinéObs
C'est somptueux de bout en bout, et loin de ne s'adresser qu'aux seuls enfants.
Zurban
Ce conte danois évoquant Hamlet fait mouche. Grâce à un impressionnant travail technique sur les marionnettes, offrant un supplément d'âme et une magie artisanale absentes du dessin et des images de synthèse. Grâce à un univers séduisant (...). Grâce enfin à un récit subtil mêlant épique et romanesque à une idée en or : les fils invisibles des pantins sont les liens qui les tiennent en vie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
Au-delà des trouvailles poétiques, (...) le scénario paraît un peu faible puisqu'il ressert, sans faire preuve de beaucoup d'imagination, de nombreux clichés du genre. (...) Cependant cette intrigue n'est qu'un fil conducteur reliant entre elles de superbes séquences. (...) Anders Ronnow-Klarlund, grand ordonnateur de ce spectacle somptueux, tourne alors, devant nos yeux émerveillés, les pages d'un superbe livre, porteur d'une authentique magie visuelle.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Un film étonnant, têtu, dur comme du bon bois.
MCinéma.com
LE FIL DE LA VIE aurait pu être un magnifique exemple d'un exploit technique au service d'un art. Ça reste simplement une belle réussite mais c'est déjà pas mal.
Première
Epopée tragique aux relents shakespeariens, Le Fil de la Vie n'a rien du spectacle fauché pour gamin demeuré. Le réalisateur aligne avec une même maîtrise les séquences en apesanteur (...) ou les combats dans la jungle, et donne vie à ces pantins de bois que l'on pensait désincarnés. (...) Une belle réflexion sur les rapports entre virtualité et réalité (...).
Télé 7 Jours
Depuis les travaux de Karel Zeman dans les années 50-60, on n'avait guère vu de films de marionnettes. Oeuvre du danois Anders Ronnow Klarlund, celui-ci apporte du neuf. Pas seulement à cause de son scénario aux airs de légende nordique (...), mais par son audacieuse trouvaille: au lieu de masquer les fils qui animent ces figurines de bois, on les insère dans le récit.
Télérama
Avec des marionnettes en bois et des fils, le jeune Danois Anders Rønnow Klarlund fait naître une magie dépouillée. (...) L'histoire sur laquelle repose cette étonnante entreprise est sans doute son seul point faible, ayant un goût de déjà-vu. (...) Mais le réalisateur sait en tirer des scènes visuellement très fortes (...).
Cinéastes
Le fil de la vie semble s'être donner comme but de créer une nouvelle technique sans user de ses possibilités esthétiques en la contraignant à se calquer sur un modèle ancien obsolète. C'est se donner beaucoup de mal pour rien... (...) Anders Rønnow Klarlund ne parvient pas à donner vies à ses pantins malgré l'invention d'un univers digne des contes d'Andersen.
Le Monde
On peut y être sensible ou trouver cela fortement ennuyeux et juger que l'esthétique adoptée y témoigne d'un goût contestable.
Ouest France
Impressionnant. Car on s'arrêtera davantage sur les virtuosités techniques et esthétiques de l'entreprise que sur l'originalité d'un propos pourtant compliqué. (...) Des personnages dont on regrette seulement qu'ils aient la bouche figée, ce qui les prive d'une partie de leur force expressive. Et risque par là de rebuter le plus jeune public.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
A condition de ne s'attacher qu'à la forme, c'est plutôt réussi d'autant qu' Anders Ronnow-Klarlund exploite assez bien le concept. (...) Le scénario est très conventionnel (...) et la thématique trop classique (ou alors pas assez audacieuse). Défi technique avant d'être une révolution narrative, Le fil de la vie est par ailleurs très manichéen dans sa construction. La simplicité des personnages et des situations devrait toutefois émouvoir les plus jeunes (...).
Cahiers du Cinéma
Anders Ronnow Klarlund peut bien tenter d'évoquer Turner pour les décors, ses marionnettes ripolinées aux nez ciselés façon Bernard Buffet évoqueront toujours la mascotte O-Cedar et les Géants de la Coupe du Monde 98.
L'Humanité
Ces héros ne sont jamais dupes de leur nature artificielle. Nous non plus : s'accoutumer à ces pantins inexpressifs, qui parlent sans desserrer les lèvres, exige des trésors d'imagination.
Mad Movies
Ratage total (...). On peut donc affirmer que ce grand donneur de leçon [Anders Ronnow Klarlund] s'est planté dans les grandes largeurs principalement à cause de sa méconnaissance et de son dédain envers le genre [fantastique].