Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Dans cet univers vaguement kaurismäkien (...), la radicalisation du naturalisme jusqu'au grotesque , marque de fabrique d'Odoul, suscite un burlesque bienvenu, la possibilité d'une tragédie sans cesse minée par la poilade, bref des étincelles d'hilarité que l'empathie tendue de Bruno Dumont, par exemple, interdit.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Morasseix appartient donc à un époque, plus sauvage et asociale que la nôtre, où le dérèglement et la rébellion étaient érigés en dogme. (...) On peut donc parler de film rock. (...) Même la mort n'a pas l'air très sérieuse dans un film aussi erratique, lyrique, dandy et bouffon.
Télérama
par Jacques Morice
Beau bordel impétueux que ce film de feu et de boue, réalisé par un virtuose autodidacte alors âgé de 23 ans.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Morasseix est une ébauche mal assurée, dont le sens de l'insolite est le meilleur atout, mais qui risque d'être de peu d'effets pour qui n'a pas l'éclairage de ses films suivants.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Monde
par Jean-Luc Douin
D'un noir et blanc jaunâtre, Morasseix oscille effectivement entre une maladresse débutante, parfois ingrate, et une énergie, des outrances, prometteuses.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
Damien Odoul a voulu s'essayer à une écriture mélangeant l'absurde, le surréalisme et l'iconoclaste. Au regard du résultat, péniblement hystérique et brouillon, il est patent que les ambitions n'ont pas été atteintes.
Cahiers du Cinéma
Dans cet univers vaguement kaurismäkien (...), la radicalisation du naturalisme jusqu'au grotesque , marque de fabrique d'Odoul, suscite un burlesque bienvenu, la possibilité d'une tragédie sans cesse minée par la poilade, bref des étincelles d'hilarité que l'empathie tendue de Bruno Dumont, par exemple, interdit.
Les Inrockuptibles
Morasseix appartient donc à un époque, plus sauvage et asociale que la nôtre, où le dérèglement et la rébellion étaient érigés en dogme. (...) On peut donc parler de film rock. (...) Même la mort n'a pas l'air très sérieuse dans un film aussi erratique, lyrique, dandy et bouffon.
Télérama
Beau bordel impétueux que ce film de feu et de boue, réalisé par un virtuose autodidacte alors âgé de 23 ans.
Aden
Morasseix est une ébauche mal assurée, dont le sens de l'insolite est le meilleur atout, mais qui risque d'être de peu d'effets pour qui n'a pas l'éclairage de ses films suivants.
Le Monde
D'un noir et blanc jaunâtre, Morasseix oscille effectivement entre une maladresse débutante, parfois ingrate, et une énergie, des outrances, prometteuses.
TéléCinéObs
Damien Odoul a voulu s'essayer à une écriture mélangeant l'absurde, le surréalisme et l'iconoclaste. Au regard du résultat, péniblement hystérique et brouillon, il est patent que les ambitions n'ont pas été atteintes.