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Trois réalisateurs aux personnalités bien affirmées signent chacun leur histoire dans cette anthologie aux sketches très personnels, qui fait la part belle à l'insolite et à une cruauté sans concession.
La Boîte et Coupez ! ont un pied dans le rêve cauchemardesque assumé et un pied dans le quotidien, alors que Nouvelle Cuisine part du quotidien et en pousse jusqu'à l'horreur la monstruosité sociale.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Comme d'habitude dans ce genre d'exercice, un sketch se détache des autres. [...] Nouvelle Cuisine du Hong-Kongais Fruit Chan [...] Cronenberg n'aurait pas renié cette histoire d'horreur organique, traitée ici avec un savoir-faire très efficace.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Hongkongais Fruit Chan réussit à montrer la progression insoutenable et légère d'une folie ordinaire. Couleurs vives. Lumière claire. Délicieux raviolis cuits à la vapeur. L'horreur est là, pourtant, partout, mais indétectable. [...] Avec La Boîte - une jeune femme hantée par la mort de sa soeur jumelle -, on retrouve son univers habituel, mais englué dans un esthétisme symbolique plutôt balourd. [...] Même les détracteurs [de Park Chan Wok] devront, cependant, reconnaître à ce Monsieur Plus survolté une idée par scène, côté technique, et, côté univers, des points communs qui, de film en film, en font manifestement un auteur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le dernier segment baptisé La boîte et signé par Takashi Miike repose sur une ambiance trouble. Sur un sujet cérébral [...] il met en scène un superbe univers mental où le passé et le présent se rejoignent et se confondent pour mieux briser les erreurs du passé. [De Nouvelle Cuisine] Il en émane une allégorie perverse sur l'usure des sentiments et le temps qui passe. La photographie de Christopher Doyle [...] ajoute au mystère. [...] Le meilleur reste Coupez ! de Park Chan-wook, [...]qui se met en scène lui-même dans une mise en abyme vertigineuse où ses obsessions se cognent à ses propres angoisses.
Seule réussite Nouvelle Cuisine, la partie hong-kongaise épice le fantastique asiatique aec une histoire de raviolis vapeur au contenu mystérieux. Fruit Chan alliant esthétisme moite à un scénario poisseux cuisiné à l'humour noir.
Les premiers plans de son film Nouvelle cuisine confirment le talent de l'auteur de Durian, durian, pour construire un plan, installer une atmosphère, marier de très riches saveurs documentaires à une inquiétude ou à un enjeu de fiction Parabole et effet (...) plombent d'emblée la contribution coréenne (...) Moralisme, gore et grotesque tentent une danse macabre dont la lourdeur invalide bientôt les gesticulations. (...) le réalisateur des Dead or alive mise tout sur l'élégance du plan et la légèreté du montage pour emporter son histoire (...) vers un fantastique impalpable, une brume de sensations troublantes qui laisse un long et délicat souvenir, bien après la dernière image savourée.
On est plus vraiment au cinéma avec 3 extrêmes, mais plutôt dans un guide du routard du cinoche : forcément incomplet, light, ultra light au point de déformer les traditions qu'il récite, mais bien rythmé, clair et carré.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Coupez ! est une mise en abîme pataude.[...] Nouvelle Cuisine pousse la plaisanterie macabre si loin qu'il épuise le crédit que l'on pouvait accorder à son propos. [...] Takeshi Miike [La Boîte] fait ici preuve d'une admirable retenue. Son film hivernal, à dominante gris bleu, suscite plus de tristesse que d'angoisse. Ici, la douleur n'est pas une catastrophe infligée, mais une part essentielle de la vie, celle des vivants comme celle des morts.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Finalement, c'est encore Takashi Miike (AUDITION, GOZU) qui s'en sort le mieux avec LA BOITE. Son montage travaillé et son sens du mystère sauvent presque son histoire peu surprenante. Mais ne suffisent pas à sauver l'ensemble du programme qui décevra les fans d'horreur et de fantastique comme les férus d'un cinéma asiatique où les trois réalisateurs ont été bien plus inspirés auparavant.
C'est hard, c'est gore... et inégal. [...] Nouvelle cuisine surprend par l'horreur de son propos [...] Coupez ! en revenche se révèle un exercice de style vain et decevant [...] Quand à la boîte elle impressione par sa beauté formelle et un mystère diffus savament entretenu.
Trois exercices de style gore, visuellement réussis, au service d'une démarche assez potache que les uns jugeront salutaire (au nom de la liberté artistique, blablabla), et les autres franchement idiote.
Le premier est un conte chichiteux sur l'anthropophagie, le deuxième, un dispositif très théâtral où un figurant torture un cinéaste avec perversité, et le troisième, une réflexion contournée sur la gémellité, où le Nippon Miike montre qu'il est capable d'une relative délicatesse. Mais c'est trop décoratif.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
Trois réalisateurs aux personnalités bien affirmées signent chacun leur histoire dans cette anthologie aux sketches très personnels, qui fait la part belle à l'insolite et à une cruauté sans concession.
Positif
La Boîte et Coupez ! ont un pied dans le rêve cauchemardesque assumé et un pied dans le quotidien, alors que Nouvelle Cuisine part du quotidien et en pousse jusqu'à l'horreur la monstruosité sociale.
Première
Comme d'habitude dans ce genre d'exercice, un sketch se détache des autres. [...] Nouvelle Cuisine du Hong-Kongais Fruit Chan [...] Cronenberg n'aurait pas renié cette histoire d'horreur organique, traitée ici avec un savoir-faire très efficace.
Télé 7 Jours
En provenance de Hongkong, Corée et Japon, trois films vénéneux. On n'y résiste pas.
Télérama
Le Hongkongais Fruit Chan réussit à montrer la progression insoutenable et légère d'une folie ordinaire. Couleurs vives. Lumière claire. Délicieux raviolis cuits à la vapeur. L'horreur est là, pourtant, partout, mais indétectable. [...] Avec La Boîte - une jeune femme hantée par la mort de sa soeur jumelle -, on retrouve son univers habituel, mais englué dans un esthétisme symbolique plutôt balourd. [...] Même les détracteurs [de Park Chan Wok] devront, cependant, reconnaître à ce Monsieur Plus survolté une idée par scène, côté technique, et, côté univers, des points communs qui, de film en film, en font manifestement un auteur.
aVoir-aLire.com
Le dernier segment baptisé La boîte et signé par Takashi Miike repose sur une ambiance trouble. Sur un sujet cérébral [...] il met en scène un superbe univers mental où le passé et le présent se rejoignent et se confondent pour mieux briser les erreurs du passé. [De Nouvelle Cuisine] Il en émane une allégorie perverse sur l'usure des sentiments et le temps qui passe. La photographie de Christopher Doyle [...] ajoute au mystère. [...] Le meilleur reste Coupez ! de Park Chan-wook, [...]qui se met en scène lui-même dans une mise en abyme vertigineuse où ses obsessions se cognent à ses propres angoisses.
Brazil
Seule réussite Nouvelle Cuisine, la partie hong-kongaise épice le fantastique asiatique aec une histoire de raviolis vapeur au contenu mystérieux. Fruit Chan alliant esthétisme moite à un scénario poisseux cuisiné à l'humour noir.
Cahiers du Cinéma
Les premiers plans de son film Nouvelle cuisine confirment le talent de l'auteur de Durian, durian, pour construire un plan, installer une atmosphère, marier de très riches saveurs documentaires à une inquiétude ou à un enjeu de fiction Parabole et effet (...) plombent d'emblée la contribution coréenne (...) Moralisme, gore et grotesque tentent une danse macabre dont la lourdeur invalide bientôt les gesticulations. (...) le réalisateur des Dead or alive mise tout sur l'élégance du plan et la légèreté du montage pour emporter son histoire (...) vers un fantastique impalpable, une brume de sensations troublantes qui laisse un long et délicat souvenir, bien après la dernière image savourée.
Chronic'art.com
On est plus vraiment au cinéma avec 3 extrêmes, mais plutôt dans un guide du routard du cinoche : forcément incomplet, light, ultra light au point de déformer les traditions qu'il récite, mais bien rythmé, clair et carré.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Coupez ! est une mise en abîme pataude.[...] Nouvelle Cuisine pousse la plaisanterie macabre si loin qu'il épuise le crédit que l'on pouvait accorder à son propos. [...] Takeshi Miike [La Boîte] fait ici preuve d'une admirable retenue. Son film hivernal, à dominante gris bleu, suscite plus de tristesse que d'angoisse. Ici, la douleur n'est pas une catastrophe infligée, mais une part essentielle de la vie, celle des vivants comme celle des morts.
MCinéma.com
Finalement, c'est encore Takashi Miike (AUDITION, GOZU) qui s'en sort le mieux avec LA BOITE. Son montage travaillé et son sens du mystère sauvent presque son histoire peu surprenante. Mais ne suffisent pas à sauver l'ensemble du programme qui décevra les fans d'horreur et de fantastique comme les férus d'un cinéma asiatique où les trois réalisateurs ont été bien plus inspirés auparavant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
C'est hard, c'est gore... et inégal. [...] Nouvelle cuisine surprend par l'horreur de son propos [...] Coupez ! en revenche se révèle un exercice de style vain et decevant [...] Quand à la boîte elle impressione par sa beauté formelle et un mystère diffus savament entretenu.
Elle
Trois exercices de style gore, visuellement réussis, au service d'une démarche assez potache que les uns jugeront salutaire (au nom de la liberté artistique, blablabla), et les autres franchement idiote.
L'Humanité
Le premier est un conte chichiteux sur l'anthropophagie, le deuxième, un dispositif très théâtral où un figurant torture un cinéaste avec perversité, et le troisième, une réflexion contournée sur la gémellité, où le Nippon Miike montre qu'il est capable d'une relative délicatesse. Mais c'est trop décoratif.
Les Inrockuptibles
L'exercice se résumant à un étalage de virtuosité assez vain