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lograt
10 abonnés
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2,0
Publiée le 27 juillet 2019
Un bon gros nanard qui n'est pas à la hauteur de la série, les scènes d'actions sont risibles, les costumes pas terribles et l'histoire peu intéressante.
Du pur film de science fiction extrêmement maîtrisé qui propose un personnage vraiment intéressant, mystérieux, surprenant en la personne d'une jeune télépathe libérée par son frère des griffes des dirigeants du conseil des planètes. Elle trouve refuge dans le vaisseau serenity et c'est son équipage et son capitaine qui seront les multiples héros de ce film avec beaucoup d'action, de spectacle, de suspense et d'émotion. Des acteurs impeccables, attachants et vraiment un film que j'ai plaisir à voir et revoir.
septiemeartetdemi.com - Dans la famille du space opera, Serenity constitue un exemple très représentatif mais pas transcendant, et le fait est qu'on ne pouvait guère en attendre plus. Tiré d'une série au grand succès, c'est une adaptation par le même réalisateur. Pas étonnant que, ayant vu la série ou non, le film ait un mauvais arrière-goût de reboot.
On a souvent l'impression qu'il se repose sur ses acquis, et du coup ses personnages et son univers colportent l'impression qu'on regarde un opus de Star Wars ou de Star Trek sans connaître les bases au préalable. Cette nature n'est pas pour dissimuler la nature du scénario d'un space opera : un décor, pas un script. On finit alors par se noyer dans ces espaces interplanétaires remplis de lignes de dialogues un peu faibles, d'effets visuels qui vieillissent déjà mal (le premier Star Wars faisait mieux avec les vaisseaux en rase-mottes) et des blancs que Chiwetel Ejiofor laisse avant le dernier mot de chacune de ses phrases ou presque.
Au global, une œuvre distrayante à ranger dans la catégorie pop corn, aguichante surtout pour ses plans longs et complexes et la chorégraphie qui est un filigrane plaisant des combats. Mais une œuvre aussi qui a trop confiance dans ses lauriers et qui ne sait pas exploiter ses opportunités.
un film pour les fans de la série,et les autres spectateurs,mieux abouti que la série et tout aussi sympathique,le même mélange entre western et space opéra,ce film clôture la série Firefly , de l'humour,de l'action,des acteurs attachant, j'ai adoré.....
Serenity offre un super final pour Firefly. On peut comprendre le film sans avoir vu la série mais je trouve qu'on passe quand même à côté de certaines choses, notamment au niveau du développement des personnages. Comme dans la série, les personnages, comme souvent dans l'oeuvre de Whedon, sont immédiatement attachants. On se retrouve plongé dans l'équipage du vaisseau par un magnifique plan séquence dès le début du film et c'est un grand plaisir. Ledit vaisseau qui est d'ailleurs plutôt bien réussi malgré le petit budget. Le scénario est très bien ficelé, reprenant certains thèmes chers à Joss Whedon. Les scènes d'action sont très bien réussies(on voit là l'expérience qu'il a acquis sur le sujet sur Buffy et Angel). Bien évidemment, l'humour n'est jamais bien loin et c'est un délice d'écouter les répliques de Malcom Reynolds,interprété par un super Nathan Fillion! Mention spéciale aussi pour Summer Glau. En bref, un excellent film de SF qui procure probablement plus de plaisir que la plupart des autres films de SF qui ont pourtant souvent un budget bien plus gros! Un film qui mérite d'être plus connu et reconnu!
Casting catastrophique (mais ça on le reprochera plutôt à la série "Firefly" intervenant en amont) avec un premier rôle insupportable entouré de comédiens de séries B. Tous ces acteurs jouent plus mal les uns que les autres pour n'offrir strictement aucune attache envers leur personnage. Le film ne renversera certainement pas la balance avec ses dialogues pitoyables et ses scènes clichées et téléphonées. On ne sait plus où donner de la tête dans cet amateurisme épuisant où rien ne paraîtra crédible l'espace d'un instant. "Serenity" a tout du film d'action à la sauce futuriste pour pré-adolescents, novices dans ce registre, et sûrement dans celui du cinéma. Du même acabit que "Resident evil" et compagnie, zéro style, zéro charme, zéro intérêt. Voilà une conclusion qui ne donnera clairement pas l'envie de se projeter sur la série "Firefly". Affligeant !
Après Buffy contre les vampires, puis Angel, Joss Whedon sort la série Serenity qu'il adapte honorablement au grand écran en reprenant comme atout les mêmes acteurs principaux. Tous les ingrédients du genre sont réunis aux bras d'un équipage attachant en proie à une aventure galactique qui se suit sans ennui.
Visuellement bien fichu, l'univers est cohérent et très sympa. Bourré d'action on ne s'ennuie pas même si le scénario n'est pas renversant. Il est toutefois évident que "Serenity" s'adresse un peu plus à ceux qui connaissent la série, même si on peut sans problème faire l'impasse sur celle-ci pour apprécier le film.
« Serenity » est un bon film de science-fiction, disposant d’un bon scénario et d’une bonne mise en scène qui n’évite cependant pas quelques clichés classiques de ce genre cinématographique. Le rythme est bon et l’intrigue est sympathique. On aurait espéré un peu plus de confrontations physiques entre les principaux protagonistes et les fameux « saccageurs ». Les effets spéciaux sont de très bonne qualité pour un film disposant d’un aussi petit budget. L’ensemble offre un bon divertissement qui peut rivaliser avec certains blockbusters au budget nettement supérieur.
Je ne vais pas y aller par quatre chemins, je ne suis pas rentré dans le moule de la communauté de fans que ce film a pu réunir, pas plus que je ne suis rentré dans le film. Pire, mon esprit a été si peu captivé que je l’ai surpris en train de papillonner de temps à autre par ci par là, m’obligeant à reprendre certains passages. La faute sans doute à un scénario aux airs de déjà-vu, anabolisé aux effets spéciaux plutôt médiocres. Bon déjà, à la base, je ne suis franchement un féru de la science-fiction pure et dure. Mais quand même ! L’introduction, bien que concise, est claire, nette et précise, plantant efficacement le contexte. En revanche, nous avons une présentation très succincte de l’équipage du vaisseau Serenity, et on met un peu de temps à situer les liens qui les unissent. Je me demande d’ailleurs si il y en a, excepté le but commun qu’ils poursuivent. Mais le charisme est aux abonnés absents, ce qui est un comble concernant le commandant du vaisseau, équipé d’un ceinturon porte-flingue à la John Wayne. Peu importe, tous les autres personnages manquent de toute façon réellement de profondeur, ce qui revient à dire que le film a été résolument tourné vers le spectaculaire. Entre une jeune femme aux pouvoirs de voyance pas autant exploités qu’ils auraient dû l’être, une variante inter sidérale de zombies, un représentant gouvernemental adepte des arts martiaux et accessoirement tueur, et des personnages très stéréotypés comme le grand gaillard baraqué, cela donne une belle addition de clichés. Sans être épique, le récit est plutôt bien rythmé malgré une présence au minima des scènes d’action, mais tourne parfois vers le ridicule avec ce grand vaisseau qui est manipulé encore plus habilement qu’un avion de chasse dans la courte scène de bataille spatiale. L’humour est présent, mais tombe souvent à plat ; heureusement qu’il a été peu utilisé. A cela on rajoute une histoire inutilement tarabiscotée, on est presque perdus dès les premières minutes et on craint d’être définitivement largués. Donc oui, au risque de vexer les fans de la série "Firefly" et de sa conclusion "Serenity : l’ultime décision", l’ensemble de ce film est bancal. Affaire de goût ? Peut-être mais pas seulement : il faut être honnête. Un cinglant 1/5, un peu sévère sans doute, mais il ne faut pas non plus exagérer.
Un petit film de science fiction , qui veut surfer sur la mode des space fantaisy. Une intrigue légère , un frère qui veut sauver sa soeur d'un régime galactique totalitaire.Quelques bons effets spéciaux.La mise en scène est parfois un peu poussive, reste le charme de l'actrice principale très sensuelle.
A l’origine de "Serenity", il y a "Firefly". Série télévisée, créée par Joss Whedon et annulée après seulement quinze épisodes, ce croisement entre le Western et le Space Opera a fait l’objet d’un tel culte que les droits furent rachetés par Universal après les ventes fulgurantes du coffret DVD, en vue de produire ce long métrage. Et qui de mieux placé pour porter à l’écran son œuvre que l’auteur original, Joss Whedon, qui signe ici son premier film. Mais qu’est-ce qui fait l’intérêt de "Firefly" (et par extension de Serenity) ?
Outre son talent indéniable pour l’écriture, caractérisant des personnages immédiatement charismatiques et/ou attachants en deux minutes, ne manquant jamais d’humour sans trop en faire, Whedon explore de manière plutôt réjouissante les codes des différents genres (Western, Science Fiction, etc.), qui s’entremêlent de façon très cohérente. Bien que tissée sur un canevas vu et revu, l’histoire réserve quelques surprises, aussi infimes soient-elles, créant un équilibre avec les archétypes et stéréotypes obligatoires. Grâce à ces quelques touches d’originalité, le scénariste-réalisateur tire son épingle du jeu. Sans pour autant s’avérer un prodige formel comme d’autres auteurs qui exercent dans le même registre, Whedon marque de sa patte ce premier essai.
En voyant River Tam, descendante directe de Buffy Summers, on pense bien sûr au thème de la femme forte, précédemment présent dans la carrière de Whedon, tout en regrettant que les deux autres personnages féminins du récit, la mécano Kaylee et la « compagne » Inara soient un peu trop en retrait dans le film, alors qu’elles pouvaient exister pleinement dans un unique épisode de la série. Il faut également évoquer les aspirations technico-esthétiques du réalisateur. Fait assez rare pour être souligné, le film respecte l’absence de son dans l’espace. Plus particulièrement, l’attention se porte sur la simulation d’un filmage à l’épaule pour une certaine quantité de plans en images de synthèse, une technique inaugurée par Whedon sur la série originale. Encore une fois, des petites innovations qui confèrent au film un aspect un tant soit peu différent des autres produits du même genre.
Sans être un film exceptionnel, "Serenity" possède néanmoins un univers quelque peu atypique et un énorme quota sympathie qui sauront charmer certains spectateurs.
Le fond se veut intelligent puisqu'il paraphrase la pensée d'André Gide " La foi soulève des montagnes, oui : des montagnes d'absurdité", le souci c'est que tout cela est bien confus, que c'est parasité par le rôle de Summer Glau qui nous tape sur les nerfs en partageant son temps entre pleurnicheries et combats à la super-ninja. L'ambiance "vaisseau pirate" est sympathique mais il y a décidemment trop de poncifs : marre de ces combats à mains nus où personne ne saigne après avoir percuté douze tables et vingt-huit tabourets ! spoiler: Les "Termites" sont une bonne idée, mais pourquoi ne voit-on jamais leur tronches ? Quant aux combats spatiaux, ils ont oublié d'être lisibles. Et puis messieurs les scénaristes, un peu de jugeotte de temps en temps : spoiler: un moment le Serenity approche de la planète Miranda dont l'espace proche est aussi encombré que le périph à 18 h 30. Or, l'environnement immédiat d'une planète comme la Terre mesure 500 millions de km², donc pour trouver un vaisseau tous les 500 m² il faudrait une flotte d'au moins un milliard de vaisseau, WTF ! Sinon on ne peut pas dire que le récit passionne sauf dans la dernière scène de combat, Quant à la conclusion, c'est "Bisounours, le retour !" . Côté interprétation, chez les dames si la canadienne Jewel Staite.et la cubaine Gina Torres sont charmantes dans des genres très différents, de même que la brésilienne Morena Baccarin, chez ces messieurs, c'est limite bourrin, et si Nathan Fillion se défend on oubliera les autres.
Un bon film de science-fiction avec un mélange de space opera et de western. Premier film réalisé par Joss Whedon, tiré de sa série Firefly. L'introduction du film nous présente l'univers pour ceux qui ne connaissent pas la série. L'histoire de l'équipage du Serenity, leur vie faite de petits boulots et de contrebande qui est perturbée par la présence à leur bord d'une passagère télépathe qui connait un secret dangereux. La musique de David Newman est sympa et les effets spéciaux sont pas trop mal. L’alchimie entre les personnages marchent bien et le casting se débrouille bien : Nathan Fillion, Gina Torres, Alan Tudyk, Morena Baccarin, Adam Baldwin, Jewel Staite, Sean Maher, Summer Glau, Ron Glass et Chiwetel Ejiofor.