Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Grâce à une mise en scène très stylée et un humour noir décalé, qui ne sont pas sans rappeler un Tarantino débutant (...), le réalisateur nous embarque pour 93 minutes d'une course-poursuite drôlement sanglante où les rebondissements surprises ne manquent pas.
Effets de gros plans et gags macabres (telle cette coiffeuse qui fouaille les tripes d'un mafieux russe pour y chercher des diamants...) autour d'une histoire de transaction qui tourne très mal, contée en temps réel. Violence, ironie, désinvolture, dans un exercice stylé, plutôt fluide et souvent drôle, qui confine à l'hommage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si les dialogues triviaux à la Tarantino ne font pas toujours mouche, l'ironie " tabacophile " est plutôt de bon ton et toujours surprenante. Malheureusement, le rythme n'est pas toujours de la partie. NICOTINA est donc assez maladroit mais parvient à surpasser ses faiblesses et reste un honnête divertissement.
Construite comme un long clip survolté, cette sorte de version mexicaine d'Arnaque, crimes et botanique façon " piratage informatique, mafia et nicotine " ne semble obéir qu'à un seul objectif : séduire la génération élevée dans le culte Tarantino. Ce qui donne une pâle photocopie ciné (...).
La critique complète est disponible sur le site Aden
Produit par la même équipe qu'Amours chiennes, le film surfe sur la mode des films latino-américains, mais de façon trop calculée pour échapper à la superficialité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce pastiche grossier de l'art tarantinesque, sans aucun choc visuel ou narratif, se complaît trop dans l'hémoglobine et le vice pour tenir son histoire.
Malgré quelques bonnes idées (...), cette production argentino-mexicaine n'arrive pas à faire oublier son amateurisme et ses puériles influences post-Reservoir Dogs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Pour vraiment faire un Snatch con carne, il aurait tout simplement fallu que les auteurs aient du talent, ici parti en fumée avant même d'avoir existé à l'image.
La critique complète est disponible sur le site Score
Rolling Stone
Grâce à une mise en scène très stylée et un humour noir décalé, qui ne sont pas sans rappeler un Tarantino débutant (...), le réalisateur nous embarque pour 93 minutes d'une course-poursuite drôlement sanglante où les rebondissements surprises ne manquent pas.
Télérama
Effets de gros plans et gags macabres (telle cette coiffeuse qui fouaille les tripes d'un mafieux russe pour y chercher des diamants...) autour d'une histoire de transaction qui tourne très mal, contée en temps réel. Violence, ironie, désinvolture, dans un exercice stylé, plutôt fluide et souvent drôle, qui confine à l'hommage.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
Si les dialogues triviaux à la Tarantino ne font pas toujours mouche, l'ironie " tabacophile " est plutôt de bon ton et toujours surprenante. Malheureusement, le rythme n'est pas toujours de la partie. NICOTINA est donc assez maladroit mais parvient à surpasser ses faiblesses et reste un honnête divertissement.
TéléCinéObs
Une fable caustique et macabre qui, en dépit d'un démarrage laborieux, se savoure au second degré.
Aden
Construite comme un long clip survolté, cette sorte de version mexicaine d'Arnaque, crimes et botanique façon " piratage informatique, mafia et nicotine " ne semble obéir qu'à un seul objectif : séduire la génération élevée dans le culte Tarantino. Ce qui donne une pâle photocopie ciné (...).
Le Monde
Produit par la même équipe qu'Amours chiennes, le film surfe sur la mode des films latino-américains, mais de façon trop calculée pour échapper à la superficialité.
Les Inrockuptibles
Ce pastiche grossier de l'art tarantinesque, sans aucun choc visuel ou narratif, se complaît trop dans l'hémoglobine et le vice pour tenir son histoire.
Première
Malgré quelques bonnes idées (...), cette production argentino-mexicaine n'arrive pas à faire oublier son amateurisme et ses puériles influences post-Reservoir Dogs.
Score
Pour vraiment faire un Snatch con carne, il aurait tout simplement fallu que les auteurs aient du talent, ici parti en fumée avant même d'avoir existé à l'image.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com