AlloCiné
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Votre avis sur Grease ?
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Beaucoup plus abouti que Saturday Night fever, Grease est une gentille comédie musicale romantiques avec une Travolta glamour et mauvais garcon et une Newtown-John belle à ravir.
Un classique à voir et revoir.
Un classique à voir et revoir.
Décidément , Grease reste un exemple de comédie musicale . Seulement quand on enlève la musique , ça fait quoi ? Une banale histoire d'amour entre John Travolta et Olivia Newton-John , qui n'ont vraiment pas une tête de lycéens , faut l'avouer . Si , on ne s'ennuie pas , c'est que le scénario est terriblement efficace ,mais un peu trop gros et prévisible .
Cependant , on a du mal à ne pas penser aux autres grosses histoires d'amours du cinéma , qui se comptent par centaines . On oublie que ce film est un des films les plus connus de l'époque , et cette chanson qui a hypnotisé les charts de musique . C'est du classique , mais sans musique , ça sert plus à rien .
Cependant , on a du mal à ne pas penser aux autres grosses histoires d'amours du cinéma , qui se comptent par centaines . On oublie que ce film est un des films les plus connus de l'époque , et cette chanson qui a hypnotisé les charts de musique . C'est du classique , mais sans musique , ça sert plus à rien .
c'est kitch à mort, c'est stupide mais Dany Zuco, il a la classe quand même... Film qui a bercé mon adolescence...
J'adore les musiques mais le scénariot du film ne m'a pas vraiment emballé.Je le préfère en comédie musical
Ce cocktail indigeste de Rock et de disco est sans doute un des films les plus vulgaires et les plus ennuyeux de l Histoire du cinéma..Aucune place à une quelconque poésie...l humour se veut jeune et rafraîchissant alors qu il est pitoyable et graisseux ...les femmes sont soient des filles légères ecervelees , soient des pauvres mères de famille en devenir qui ne rêvent que de monter un salon de coiffure..
Ce film est d une misogynie abyssale..
Les chorégraphies sont atroces tout comme les couleurs criardes dignes d une mauvaise série télé du milieu des années 70.
Les chansons sont mauvaises et mal foutues hormis le bijou qui accompagne le générique.
C'est quasiment le même scénario que la fièvre du samedi soir à ceci près que la fièvre du samedi soir, tout en étant un immonde navet, essayait de coller à une certaine réalité sociale de l époque. Rien dans ce film est subtil ou de bon goût... c'est une horreur et c'est quasiment un film d horreur mais qui hélas ne fait jamais peur..les seuls frissons qu on peut ressentir surviennent quand on se met quelques secondes dans la peau du sinistre réalisateur et la honte qu il est en droit de ressentir...
Grease est l exemple concret du nanar qui sur un malentendu a cartonné...ce malentendu va permettre à tous les sans talents de s éclater pendant les années 80..ce film est le marqueur qui tue définitivement le nouvel Hollywood et qui ouvre un boulevard à la médiocrité générale qui fût la norme des eighties..
Sans Grease , Hélène et les garçons n auraient jamais existé.
Ce film est d une misogynie abyssale..
Les chorégraphies sont atroces tout comme les couleurs criardes dignes d une mauvaise série télé du milieu des années 70.
Les chansons sont mauvaises et mal foutues hormis le bijou qui accompagne le générique.
C'est quasiment le même scénario que la fièvre du samedi soir à ceci près que la fièvre du samedi soir, tout en étant un immonde navet, essayait de coller à une certaine réalité sociale de l époque. Rien dans ce film est subtil ou de bon goût... c'est une horreur et c'est quasiment un film d horreur mais qui hélas ne fait jamais peur..les seuls frissons qu on peut ressentir surviennent quand on se met quelques secondes dans la peau du sinistre réalisateur et la honte qu il est en droit de ressentir...
Grease est l exemple concret du nanar qui sur un malentendu a cartonné...ce malentendu va permettre à tous les sans talents de s éclater pendant les années 80..ce film est le marqueur qui tue définitivement le nouvel Hollywood et qui ouvre un boulevard à la médiocrité générale qui fût la norme des eighties..
Sans Grease , Hélène et les garçons n auraient jamais existé.
Fêtons le cinéma
Sous ses airs de teen movie régressif, Grease brosse le portrait d’une Amérique en pleine mutation : ses adolescents sont tiraillés entre deux modèles, celui d’un second degré permanent et d’un détachement cool liés à la libération sexuelle et au rock’n roll, celui d’une certaine tradition amoureuse qui persiste malgré tout et que les protagonistes s’efforcent de cacher aux autres.
Le long métrage oppose ainsi la fragilité inhérente à l’amour à l’illusion de contrôle qu’il faut renvoyer au collectif pour impressionner et se donner un genre ; les actions n’ont de cesse de se subordonner à des normes alors même qu’elles revendiquent l’affranchissement des règles en usage : Danny indique à Sandy qu’« on ne part pas d’un drive-in à pied », ses amies de chambre affirment qu’une femme qui se respecte doit avoir les oreilles percées, Kenickie qualifie les aspirations de sa petite-amie de « rêves de midinette »… Chacun des personnages doit composer avec une violence sociale intériorisée que les chansons permettent, justement, de verbaliser et de figurer : pensons à cette séquence musicale au cours de laquelle Frankie Avalon humilie Frenchy en l’invitant à se démaquiller.
Aussi Grease relève-t-il de l’oxymore, soit la cohabitation, dans une même scène, dans un même plan, de deux directions inversées que suivent les amants : le chant lyrique de Danny a lieu devant des publicités tout à la fois idiotes et lascives – la saucisse et le pain à hot-dog, alors qu’on dit des mots d’amour –, le soin accordé au cadrage qui sépare les couples par divers éléments du décor, la tension entre la rêverie incarnée par les chorégraphies et une réalité cruelle qui ne laisse que peu de place à sa concrétisation. Le film s’achève sur un acte de foi en l’adolescence et en l’amitié, les lycéens entonnant un « on sera toujours ensemble » destiné à s’évaporer au contact d’un monde adulte absent, hors-champ, refusé le temps d’une (dernière) année.
Une comédie musicale intelligente et dynamique, portée par des acteurs enflammés.
Le long métrage oppose ainsi la fragilité inhérente à l’amour à l’illusion de contrôle qu’il faut renvoyer au collectif pour impressionner et se donner un genre ; les actions n’ont de cesse de se subordonner à des normes alors même qu’elles revendiquent l’affranchissement des règles en usage : Danny indique à Sandy qu’« on ne part pas d’un drive-in à pied », ses amies de chambre affirment qu’une femme qui se respecte doit avoir les oreilles percées, Kenickie qualifie les aspirations de sa petite-amie de « rêves de midinette »… Chacun des personnages doit composer avec une violence sociale intériorisée que les chansons permettent, justement, de verbaliser et de figurer : pensons à cette séquence musicale au cours de laquelle Frankie Avalon humilie Frenchy en l’invitant à se démaquiller.
Aussi Grease relève-t-il de l’oxymore, soit la cohabitation, dans une même scène, dans un même plan, de deux directions inversées que suivent les amants : le chant lyrique de Danny a lieu devant des publicités tout à la fois idiotes et lascives – la saucisse et le pain à hot-dog, alors qu’on dit des mots d’amour –, le soin accordé au cadrage qui sépare les couples par divers éléments du décor, la tension entre la rêverie incarnée par les chorégraphies et une réalité cruelle qui ne laisse que peu de place à sa concrétisation. Le film s’achève sur un acte de foi en l’adolescence et en l’amitié, les lycéens entonnant un « on sera toujours ensemble » destiné à s’évaporer au contact d’un monde adulte absent, hors-champ, refusé le temps d’une (dernière) année.
Une comédie musicale intelligente et dynamique, portée par des acteurs enflammés.
Quand je l'ai vu la première fois, je m'attendais à̀ une dobe absolue. Au final, c'est bien sur rempli de cliches et les voix VF sont absolument insupportable, le voir en VOST est largement mieux. Les dialogues sont pas terribles et souvent trop long. Mais il faut avant tout le regarder pour en s'amuser devant les scènes ridicules, voir la belle gueule de Travolta, les chansons et scènes cultes...et les danses qui sont bien réalisé ! Tout ça nous fait passer un bon moment. C'est en plus fait expres et c'est plutot reussi. C'est une comédie musicale/romantique qui fait un bien fou !
quelle super film de comédie musicale avec de superbes acteurs prodigieux et talentueux ainsi que de super bonnes chansons qui reste mythique.
Grease c'est le film de toute une génération. Grease c'est avant tout un film culte qui restitue l'innocence des Etats-Unis des années soixante, l'apogée du rock'n roll, les gangs pas méchants, les filles en jupes... C'est aussi un voyage dans le temps avec les drive-in, les fast-foods... L'époque et le pays où j'aurais aimé vivre. John Travolta tout auréolé du succès planétaire de La Fièvre du Samedi Soir confirme son grand talent de danseur, de chanteur et de comédien. Olivia Newton-John et Travolta forment un couple mythique, dont les chansons phares du film sont connues de tous et dont les paroles sont sur toutes les lèvres. La réalisation de Randal Kleiser est dynamique, le film parsemé de grands classiques et de chansons originales, d'amourettes, de décors kitschs, de couleurs vives et d'une bonne humeur communicative. Probablement la meilleure comédie musicale à mes yeux, Grease ne prend pas une ride et me procure autant de bonheur à chaque projection.
Bon, ça vieillit un peu mais le film est toujours aussi bon, avec ses bons acteurs, ses très bonnes chansons... On a du mal à y croire mais le film est tellement sympa à suivre que c'est vraiment pas grave. Très bon film, c'est tout.
Grease, la comédie musical par excellence, qu'elle plaisir de voir le duo Newton John et travolta danse et chanter pendant 1h30, un bande son culte, travolta marque a jamais de sa prestation de danseur chanteur dans cette comédie, qui donne envie de danse. Tout simplement Culte a voir et a revoir.
Un film culte mais pourtant pas si terrible que ça. C'est stéréotypé à mort (même caricatural) et tellement kitch ! Après le casting est convaincant, les chorégraphies sont travaillées et la b-o reste absolument mythique... mais je ne peut fermer les yeux sur la niaiserie qui est ahurissante. Très mitigé ! Grease est convaincant seulement au niveau "musical" mais le reste (scénario, personnages...) c'est à vomir !!
La mythique comédie musicale n'a pas pris une ride. Du rose, du cuir, des flammes, du rock, des mises en pli et des peignes... C'est kitsch, c'est cliché, mais c'est drôle et surtout, surtout, les chansons et leurs chorégraphies sont plus entrainantes les unes que les autres. Ce n'est pas pour rien que la BO de Grease a été l'une des plus vendues de l'histoire. Un film léger mais hyper plaisant et assez révélateur d'une époque d'émancipation dans l’Amérique des années 70, avec une fin décapante et ultra culte.
Un teen-movie qui vaut le coup d'oeil, pour les chansons et les chorégraphies, et surtout pour l'ambiance joyeuse qui règne pendant tout le film. C'est un film qui vous met la pêche, tout simplement ! Les chansons sont très bien amenées et elles sont sympathiques pour la plupart. John Travolta et Olivia Newton-John, jeunes adultes plus qu'adolescents, forment un joli petit couple, qui joue au chat et à la souris à coup de chansons. L'histoire est trop mignonette, mais bon, c'est un teen-movie !
Médiocre certes, mais comment ne pas ressentir un plaisir coupable en voyant Travolta se recoiffer les cheveux gominés toutes les deux minutes et le voir se prendre la tête pour des futilités d’adolescent ? C’est d’ailleurs étonnant à quel point Grease est dénué de tout enjeu dramatique, et repose uniquement sur les intérêts superficiels des teenagers américains typiques, à savoir les filles et les bagnoles. Mais c’est justement ce qui fait son charme, et on ne pourra que regretter d’autant plus la bande originale vraiment moyenne, qui ne comporte que quatre titres vraiment intéressants.
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