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Ducerceau
14 abonnés
612 critiques
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2,0
Publiée le 29 mai 2022
Bluette plutôt nunuche pour ados pucelles et puceaux en mal d'initiation. Le film vaut essentiellement par ses musiques et ses chorégraphies. Pâle copie de West Side Story qui, assez paradoxalement, semble avoir beaucoup moins vieilli. Intéressant comme document historique sur la société de consommation à la fin des Trente Glorieuses. Il y a en particulier une scène de culte rendu à la déesse automobile particulièrement édifiante.
Un film culte, stéréotypé, mais qui marche quand meme ! On plonge dans l'adolescence des années 80 en Amerique. Tout est fait pour plaire a l'epoque : des chansons rythmées, un groupe de potes gars et un groupe de potes filles de chaque coté. Un mec rebel, une fille de bonne famille, l'amour impossible. Pourtant on plonge tout de meme dans cet univers edulcoré d'une fantaisie musicale
Une bonne comédie musicale. Une histoire très simple, sur l'adolescence (les relations amoureuses, les clans, le lycée...tout y passe), avec des personnages très classiques aussi. La force réside dans le fait que l'histoire reste cohérente avec les chansons, celles-ci ne sont pas là juste pour faire "scène de comédie musicale" mais servent vraiment au film en lui-même, dans l'avancement de l'histoire, les sentiments des personnages. C'est pas toujours qu'on voit ça. Les acteurs sont globalement convenables, pas de prestations vraiment marquante mis à part celle de John Travolta, dans la lignée de la Fièvre du Samedi soir. L'autre force du film réside donc dans sa BO elle-même : quand les chansons ne sont pas légendaires, elles sont au moins de bonne qualité, sinon de très bonne. Et comme je l'ai déjà dit, c'est parfaitement en accord avec les images. Les scènes y sont d'ailleurs superbes par moment, avec une chorégraphie bien maîtrisée et des figurants très performants. La mise en scène reste sinon assez classique, proposant tantôt des plans super, tantôt des plans sans prise de risque. Et enfin, les décors nous immergent vraiment dans le lycée américain des années 50. Un film que je conseille vraiment, de pour ce qu'il représente et montre de la culture américaine. Et pour la musique aussi !
Film hybride et parodique, entre comédie musicale, comédie romantique, et, surtout, teen movie parfaitement calibré. Couple mal assorti, bal de fin d'année et séance de relooking sont au programme de ce film culte, éternellement ringard et indémodable à la fois, qui remplit toutes les cases des genres auxquels il rend hommage avec une légèreté jouissive et pleine d'autodérision.
J'aime bien ce côté ringard de la mise en scène, la réalisation délivre un scénario niais comme pas possible. A l'eau de rose ces chansons d'amour roman et puis ça fait bouger beaucoup de monde, c'est plaisant à regarder. Surtout the Star of the movie, John Travolta is like James Dean, the rebel without a cause funny for singing and dancing, wooo !!! Le casting est unanime, comme une communion fiévreuse sur le dance floor, un cliché type à cette époque de l'Amérique pancarte Pleasantville. Le couple d'acteurs est mystique à l'image de Dirty Dancing, la danse c'est du sport et de l'entraînement !
Film culte à voir. Certes il a vieilli et beaucoup de scènes sont kitsch. L'intrigue est inexistante et les transitions chansons/scènes parfois perturbantes.
Néanmoins la bande son reste inoubliable et John Travolta survole le film.
Grease (1978) est le premier long-métrage de cinéma pour Randal Kleiser, qui pour l’occasion, adapte un spectacle musical de 1971 et offre le premier rôle à jeune acteur qui venait tout juste de connaître la gloire grâce à La Fièvre du samedi soir (1977). Le réalisateur de Chérie, j'ai agrandi le bébé (1993), nous restitue une excellente comédie musicale, avec en toile de fond, les années 50 qui fleure bon les blousons de cuir, les cheveux gominés, le rock endiablé et les grosses cylindrées. Une œuvre qui fera connaître aux yeux du monde entier, un cinéaste et de jeunes acteurs débutants, dans une des comédies musicales US les plus emblématiques à l’heure d’aujourd’hui. Si l’intrigue et certaines situations prêche dans la niaiserie, ce n’est qu’un détail, à la vue de l’incroyable B.O mythique qui nous entraîne tout au long, et ce, sous le charme séducteur d’un John Travolta des plus survolté !
Une comédie musicale diablement entraînante,devenue culte,mais étrangement surnotée.En 1978,ça devait être délicieux.En 2010,c'est exagérément kitsch.Là est la différence fondamentale.Hormis ce grief majeur,il faut reconnaître que la vie sur ce campus américain dans les années 50 est assez irrésistible.Des lycéens qui draguent au drive-in,qui s'emballent lors d'un bal endiablé,qui friment dans leur décapotable,qui ne peuvent se séparer de leur bande d'amis.Ponctués de numéros musicaux espacés,mais toujours mémorables,"Grease"a provoqué l'excitation des jeunes filles par son côté girly,enthousiaste et idéaliste,mais aussi par le charme rebelle d'un John Travolta très doué en danse.Les garçons ne sont pas en reste,avec la magnifique Olivia Newton-John,étudiante prude aux envolées romantiques.Les chansons sont presque toutes fameuses,du sexy "You're the one that I want" à l'énergique "Summer Nights",en passant par la ballade "Hopelessly devoted to you",et le convivial "We go together".Bien sûr,ça reste assez enfantin,et bien trop optimiste.Il faut le prendre comme une sucrerie à la joie de vivre communicative.Un remontant en temps de crise.
Amourettes lycéennes dans les 50's. Voilà à quoi peut se résumer "Grease", dont la niaiserie est ahurissante. D'autant plus que la mise en scène de cette version cinéma, complètement bancale, n'apporte sans doute pas grand chose à ce qui était au départ un spectacle à Broadway. On pourra quand même apprécier la débauche de mauvais goût des clans de lycéens "beaux gosses" (vêtements, répliques, démarches), qui se révèle comique au second degré. A noter également que les numéros musicaux rock sont très travaillés, au chant et à la chorégraphie. Pour fans de rock 50's et de comédies musicales.
Considéré comme un classique par les jeunes filles en fleur, ce film mérite tout de même le détour. Bon, passons sur l'histoire, passablement intéressante et concentrons nous sur le reste : les acteurs sont sympas malgré une différence d'âge avec les rôles assez abyssales, la musique est réussie, la mise en scène des passages chantés est impeccable et le générique de début vaut le détour. Ensuite, les personnages. D'un 1er abord, ils sont super cool, trop beaux et tout ce qu'on veut. Mais quand on creuse, on se rend compte que ce sont des gros losers qui parlent de cul (d'ailleurs, ça ne parle quasiment que de ça) mais qui en fait, sont quasiment des puceaux. L'ambiance 60's est joyeusement kitsch, les costumes font peur et on ne s'ennuie pas trop entre 2 chansons. C'est fun, c'est assez marrant, c'est de la guimauve mais comme toute bonne guimauve, on finit toujours par repiocher dans le paquet. D'autres critiques sur
En 1978, les minettes étaient attirées par les numéros "beauf-attitude" de s'il vous plaît Monsieur John Travolta, révélé l'année précédente grâce au succès du non-moins ringard "La Fièvre Du Samedi Soir". Ici, on remet le couvert mais cette fois dans un décor lycéen. Ils sont joyeux ces "teenagers" : complètement abrutis par leur disco ridicule, sapés flashy flamand-rose, possédant une capacité de réflexion inférieure à celle d'un moineau (et encore, j'insulte ces derniers) mais bon (et c'est l'essentiel) ils sont adorablement romantiques (on voit surtout le face cachée de cette qualité vantée par le film, c'est-à-dire les désordres amoureux de gamins prépubères). Alors, dans un esprit franchement crétin, ils enchaînent des dialogues d'une mièvrerie à crever de rire et puis de temps en temps, comme pris de pulsions incontrôlables, ils se mettent à sauter partout (ah non, ils dansent) en hurlant de leur voie aigüe (pardon, c'est du chant) ce qui les tourmente (leurs premières chaussettes). Ne nous plaignons pas, les décors sont absolument splendides (vous connaissez "Les Feux de l'Amour" ?), la photographie sublime (plutôt tendance "Amour, Gloire et Beauté" pour celle-là), l'esthétique visuelle à couper le souffle (qui c'est qui a vomi sur l'écran ?), bref la totale ! Et ces chorégraphies qui nous font tant rêver (ça me rappelle les danses de vieux sur France 3 le samedi après-midi à la différence près que les personnes âgées s'avèrent plus dans le tempo), pourquoi ne pas en avoir parlé dès le début ? La bande-son en a fait rêvé plus d'un (ouh ouh ouh) et toutes chavirèrent définitivement devant menton-plus-gros-que-son-visage (indice son prénom est John, son nom Travolta). Tronche de cake et blondasse attardée sont liés devant nos yeux ébahis et l'on en vient à capter l'importance historique de "Grease" : ce chef-d'oeuvre auréolé d'un succès considérable annonçait (avec la complicité d'autres films du même niveau) la débandade cinématographique début 80's.
je découvre ce classique de la comédie musicale peut etre bien trop tard. Ayant connu les moulin rouge, mama mia et la la land, ce film m'a semblé un peu fade et niais tant dans l'histoire que le jeu excessif des acteurs. je garde en souvenir les 10 dernières avec la chanson de phare de ce classique.
Ce n’est sûrement pas le film musical du siècle. L'histoire est sans grand intérêt. C’est bourré de clichés, souvent niais, kitsch, ringard voire vulgaire. Le doublage français du personnage interprété par Olivia Newton-John est horripilant. Visuellement, c’est parfois totalement dépassé et laid. Même les filles ne sont pas belles. Les chansons et les chorégraphies sont de qualité inégale. Malgré tout, on peut voir ce film pour ses quelques chansons entraînantes à commencer par celle du générique de début en dessins animés, ses passages chantés ratés mais (involontairement) drôles comme avec la voiture dans le garage ou la recalée de la coiffure, et le final qui met de bonne humeur. Enfin, c'est toujours un plaisir d'écouter et de regarder John Travolta et Olivia Newton-John chanter « Summer nights » ou « You're the one that I want » (avec une Olivia Newton-John terriblement sexy et totalement transformée dans cette dernière chanson).