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    The Proposition
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    132 critiques spectateurs

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    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 209 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 septembre 2012
    Enfin ! Voilà le premier mot qui nous vient à l'esprit à la vue de ce western réalisé en 2005 et resté inédit en France jusqu’en 2009 où il a pu bénéficier d’une sortie (technique) grâce à la sortie du dernier film de John Hillcoat, à savoir La Route (2009).
    L’originalité du film est qu’il s’agit d’un western australien (c’est suffisamment rare pour être souligné), se déroulant au XIXème siècle dans l'outback, il met en scène un conflit entre la population locale et les aborigènes.
    Dans la lignée des chefs d'œuvres de Sam Peckinpah, on se retrouve devant un western crépusculaire, fiévreux et à la violence âpre.
    Une histoire de fratrie, de vengeance et de meurtres, avec des "gueules" qui en imposent, grâce à une magnifique distribution où l’on retrouve dans les principaux rôles : Guy Pearce, Ray Winstone, John Hurt & Danny Huston.
    The Proposition (2005) est un très beau drame, porté par d'excellents comédiens, un western comme on en voit plus de nos jours et c’est fort regrettable. A signaler aussi la très belle B.O que l’on doit à Nick Cave (on lui doit aussi le scénario du film !).
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 331 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juillet 2010
    Il y en a toujours un de temps en temps pour pointer le bout de son nez : un bon vieux western. Après "Appaloosa" et "3h10 pour Yuma" en 2008, c’est cette « Proposition » qui se propose d’être le cru de 2009. A dire vrai, le film date plutôt de 2005, et c’est sûrement la notoriété nouvelle de John Hillcoat avec sa récente "Route" qui explique plus cette sortie tardive qu’autre chose… Car oui, rien de vraiment nouveau dans le désert de l’Ouest, même si pour une fois cet Ouest a été déménagé en Australie… Alors attention, cela ne veut pas dire que le spectacle ici proposé est indigne, loin de là… Les amateurs d’histoires très sèches, de violence crue, ou bien tout simplement de jolies images sauront trouver un certain plaisir dans cette "Proposition". Gare cependant à ne pas se montrer trop exigeant, car à l’image de sa récente "Route", Hillcoat est de ces réalisateurs dont les films n’ont qu’un début et une fin. En effet, il faudra compter avec cette tradition du cinéma d’auteur actuel : un milieu flasque dans lequel il ne se passe rien et qui se contente juste d’être une illustration redondante de ce qui a déjà été dit plusieurs fois… Bref, un spectacle à double tranchant… A vous de juger si vous avez la nuque assez solide pour cette "Proposition"…
    velocio
    velocio

    1 303 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 décembre 2009
    Quand on est amateur de western, c'est vrai qu'il faut saisir toutes les occasions tellement les sorties sont rares dans ce domaine. Encore plus lorsque le scénario a été écrit par un chanteur qu'on aime particulièrement, l'australien Nick Cave. Quant au réalisateur, il s'agit de l'australien John Hillcoat dont le dernier film, "La route", est sorti récemment. On notera que John Hillcoat avait déjà réalisé en 1988 un film qu'il avait co-écrit avec Nick Cave et 3 autres scénaristes, dont le guitariste et chanteur Hugo Race : "Ghosts ... of the Civil Dead". Son dernier film n'est donc pas "The Proposition", film qui date de 2005 et qui, depuis, dormait dans les tiroirs des distributeurs français. Et, franchement, on peut comprendre pourquoi, car ce film n'a rien de mémorable. C'est donc un western qui se déroule dans les grands espaces d'un désert australien et qui réunit de grands noms du cinéma anglo-saxon : Guy Pearce, Emily Watson, John Hurt, etc. On ne peut guère être surpris devant la violence de certaines scènes : depuis ses débuts en 1984, Nick Cave semble fasciné par la mort et la violence et on se rappellera qu'un de ses meilleurs albums, sorti en 1996, a pour titre "Murder Ballads" ! Les paysages ont un charme certain, mais les compliments s'arrêteront là, le film étant trop brouillon pour captiver l'attention.
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mars 2011
    Admirable renouvellement, tant du genre du western (particulièrement moribond dans la décennie), que du cinéma australien. Si les influences de Leone et Peckinpah sont manifestes, le cinéaste trouve sa voie par la maîtrise de l’unité de temps et d’action, et une pertinente réflexion sur la justice dans un monde en déliquescence morale, tant du côté des déviants que des conformistes. Une révélation !
    Hastur64
    Hastur64

    223 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2014
    Ayant vu les très réussis « La route » (2009) et «Des hommes sans loi » (2012), j’étais curieux de voir ce western australien que John Hillcoat avait réalisé en 2005, alors qu’il n’était encore qu’un obscur réalisateur australien. Si le film ne m’a pas scotché dans mon fauteuil, je dois avouer qu’il ne manque pourtant pas de qualités. D’abord il faut souligner la beauté des images et de la photographie qui magnifient les paysages désertiques du bush australien (l’outerback). Ensuite se western des antipodes possède un lyrisme un peu désespéré qui fait sublimement pendant à la violence de ce coin perdu de l’Australie de la fin du XIXème siècle. Le dernier point est la magnifique bande originale concocté par Nick Cave (par ailleurs scénariste du film) qui donne une touche résolument moderne au film tout en se fondant dans une ambiance dernière frontière. Malheureusement le film ne parvient jamais à sortir d’un esthétisme un peu trop présent et l’histoire finie par passer au second plan. Les différentes séquences peinent à donner de la nervosité au film et la dilution des enjeux de l’intrigue aboutie à rendre le film beau à regarder, mais peu intéressant paradoxalement ce qui provoque un ennui sourd chez le spectateur. Les personnages sont à la fois bien campés par le scénario et bien interprétés par les acteurs, mais leurs relations et leurs ressorts psychologiques sont difficiles à décrypter et on n’arrive jamais en se sentir dans une quelconque empathie ou simplement intéressé à leurs tribulations. Un western australien moderne et pas inintéressant, mais qui allie le bon et le moins bon, ce qui lui confère un aspect irritant tant on voudrait se sentir ému et enthousiasmé sans jamais vraiment y arriver. À voir néanmoins pour les qualités précédemment citées et qui font que le film mérite quand même un coup d’œil.
    Freaks101
    Freaks101

    147 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2012
    L’opposition entre la sauvagerie de la nature et le monde civilisé est un thème courant dans le cinéma, au moins John Hillcoat l’illustre t-il de manière splendide. A la fois rêverie élégiaque et western brutal, un peu comme si le cinéma de Sam Peckinpah rencontrait celui de Terrence Malick. Ce duel entre le monde moderne qui s’impose et celui encore primitif du contient australien s’incarnent à travers deux magnifiques personnages : le capitaine Stanley (Ray Winstone), vivant dans une jolie maison raffinée au côté de sa douce femme (Emily Watson) qui s’évertue de faire pousser de magnifiques rosiers au milieu du bush. Face à lui, Arthur Burns (Danny Huston) chef de gang mi-homme mi-animal, vivant dans une grotte dans la montagne, amoureux de la nature dans ce qu’elle a de plus sauvage. Au milieu de ce duel Charlie Burns (Guy Pearce) partagé entre ces deux mondes. Hillcoat restitue de manière sublime la beauté plastique de son pays, il truffe également son récit de terribles éclats de violence, accentuant ainsi les contrastes de son histoire. C’est en tout cas son meilleur film à ce jour.
    Nico2
    Nico2

    84 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2010
    Tourné en 2005, ce western australien de John Hillcoat (réalisateur de l'adaptation du roman de Cormac McCarthy La Route) est très classique dans sa forme et réussit paradoxalemnt à être un antiwestern puisque les blancs ont du mal avec l'hostilité du climat australien. Film étrange où le manichéisme n'a guère sa place, The Proposition a tout du long une atmosphère très étrange ce qui fait sa grande originalité. Aucun personnage n'arrive à être totalement sympathique et la violence couve à chaque instant, la chaleur excitant les passions autant qu'elle assomme les individus. C'est l'anti-Australia pour comparer avec un film certes d'un autre genre mais qui possède le même cadre de tournage. Le casting est royal: Guy Pearce (LA Confidential, Memento), Emily Watson (Breaking the Waves), Ray Winstone (War Zone, Indiana Jones 4), David Wenham (Faramir dans Le Seigneur des Anneaux, le méchant d'Australia) ou encore Danny Huston (Stryker dans Wolverine) extraordinaire. Troublant, visuellement magnifique et mettant souvent mal à l'aise, The Proposition est un film original qui vaut le coup d'oeil.
    Inglorious_Ben
    Inglorious_Ben

    60 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 mars 2014
    Un marché secret entre l'autorité et les malfrats, une fratrie auteur d'une odieuse tuerie, le tout dans des paysages australiens... Un western qui semble de prime abord assez alléchant!
    Si certaines scènes vous marquent par leur cruauté et l'interprétation est réussie, le tout manque cruellement de rythme. The proposition est loin d'être le meilleur film du réalisateur et nous laisse sur notre faim...
    lilyzab
    lilyzab

    24 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 avril 2009
    Très grand film que "la proposition" que j'ai vu hier soir au festival de l'étrange à Lyon. Chapeau bas à Nick Cave que j'ai découvert en scénariste accompli. Cerise sur le gateau la bande son magnifique composée par ses soins..A ne pas manquer à sa sortie en juin 2009.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 180 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 avril 2014
    Le film du metteur en scène de "La route" est sorti avec quatre ans de retard sur les écrans français. Le scénario écrit par le rocker Nick Cave tient véritablement du drame cornélien avec pour cadre l'out back australien de la fin du XIXème siècle quand la civilisation européenne asservissait les aborigènes après avoir massacré les indiens d'Amérique. C'est une excellente initiative que de rappeler ce drame trop souvent occulté. Hillcoat à la manière d'un Peckinpah - la dimension élégiaque en sus - montre sans fard les mœurs primitives des migrants qui mus par un individualisme forcené tentent de se faire une place au soleil dans un environnement souvent hostile. Guy Pearce cadet de trois frères, coincé entre un aîné tueur brutal qui lui a autrefois servi d'exemple et un benjamin attardé qu'il doit protéger, est poussé au pire des choix par un capitaine qui a entrepris le pari fou de civiliser un pays redevenu sauvage. L'ensemble de cette œuvre qui se veut un "néo western" à la manière du "L'assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford", est rythmé par la musique entêtante de Nick Cave et des choix de cadrage déroutants mais souvent fascinants. Un voyage dont on ne revient pas indemne, interprété par des acteurs justes et habités comme Danny Huston ou John Hurt. A voir.
    this is my movies
    this is my movies

    701 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 décembre 2016
    Bien avant d'être choisit pour faire "La route", J. Hillcoat signa ce western poisseux et réaliste. Et l'on comprend mieux le choix des producteurs. Nerveux,stylisé,ultra-violent,poussiéreux,crade, Hillcoat (sur un scénario de N. Cave, qui en signe aussi la magnifique musique) dresse le portrait peu reluisant de colons qui veulent imposer la civilisation, quitte à massacrer les autochtones ou se vautrer dans une sauvagerie vengeresse. R. Winstone incarne un personnage torturé tandis que G. Pearce signe une de ses meilleures partitions sans oublier un D. Huston magnifique en bandit sauvage mais qui est le seul à pleinement jouir de la magnifique nature qui l'entoure et E. Watson rentre dans le cercle très fermé des acteurs capables d'émouvoir de dos. Mis en scène avec virtuosité, magnifiquement photographié, un western sauvage et poisseux, qui nous montre la folie des hommes et leur totale soumission à une nature violente. D'autres critiques sur
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    591 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mai 2012
    C'est absolument n'importe quoi mais pas fait n'importe comment; seules la forme et les choix des séquences, plus que le mise en scène proprement dite méritent de s'y attarder. D'abord et avant tout il faut aimer ce cinéma différent mais qui ne date pas d'hier, de nombreux réalisateurs d'origine espagnole ou d'Amérique du sud s'y sont essayé. Il faut aimer aussi l'esthétique de la violence qui ici reste supportable car bien éloignée de celle du vieux fusil pour ne citer que le pire du genre. Il aussi trouver du plaisir à supporter la crasse permanente, imaginer la chaleur accablante et la poussière envahissante,aimer le baroque fréquent dont le repas de Noël est l' exemple le plus net. Si on supporte et même apprécie tout cela le film se justifie. Si on pense que seules la beauté,la bonté et la douceur valent le prix de la vie, le choc risque d'être rude devant les images délavés, les trognes patibulaires, la folie des âmes et les extérieurs si désespérants que les superbes couchers de soleil rendent encore plus glauques par contraste. Un drôle de cinéma, difficilement défendable sauf par ceux ou celles qui y trouvent leurs comptes. Un mérite évident, ''la proposition' est un film personnel ne recelant aucun clientelisme.
    BeatJunky
    BeatJunky

    150 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2014
    Un western australien, ça vaut forcément le coup d'oeil! au moins par curiosité, voir la différence qu'il peut y avoir avec les modèles américains et je n'ai pas été déçu. Même si le rythme est lent, l'ambiance un peu mystique et pas simple à capter parfois, l'ensemble reste prenant grâce à une superbe photo et des personnages tous intéressants: de Guy Pearce (comme d'hab'!) à ses frangins tous barrés et aux hommes de lois et particulièrement Stanley (que j'avais mal jugé au début du film) et qui m'aura permis de découvrir la colonisation anglaise sur ce Nouveau Monde qui essayait d'imposer leur mode de vie occidentale avec ses bonnes manières : sapin de noël, porcelaine, thé, les jolies robes de l'époque. La maison perdue au milieu du désert avec son petit jardin en est un autre exemple. Un film qui ne plaira pas à tous par son rythme un peu lent mais en prenant le temps d'apprécier la photo et une mise en scène impeccable, certains, comme moi, s'y retrouveront , c'est sûr! A voir les notes ici, c'est le cas!
    orlandolove
    orlandolove

    135 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 octobre 2013
    Sec, âpre, violent, pessimiste, le film crépusculaire de John Hillcoat fait sans contestation possible des meilleurs westerns des années 2000 (et dire que sans la sortie de "La Route" du même auteur, on en aurait sans doute été privé). Tout en restant dans les clous du genre, le réalisateur réussit toutefois une oeuvre assez originale, marquante en tout cas. Les paysages australiens sont grandioses, et le casting sans faute : Guy Pearce (rarement vu aussi bon), Ray Winstone, Danny Hunston...
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 décembre 2013
    Je ne sais pas comment noter The Proposition. Poignant par moments, le film se pare dans ses scènes les plus réussies des plus beaux atours du western crépusculaire, dessiné dans son scénario par le touche-à-tout Nick Cave. Poétique, que dis-je, élégiaque, le film tire un grand bénéfice de la crasse qui suinte des personnages, des décors et de la photo qui les met en scène, jouant admirablement de cette dichotomie. La décadence des mœurs, le désarmement de la civilisation impuissante à contenir les affres humains, et tous les thèmes inhérents au sous-genre sont retranscrits mieux que jamais, et le trouble est renforcé par l'opacité des personnages tour à tour loups et agneaux soulignant avec force que la vérité humaine est illusoire. "L'Homme est un loup pour l'Homme", ça fait très lieu commun, mais désolé, rien de mieux en magasin. Le tableau serait très positif si je n'étais tombé après coup sur une critique plutôt réfractaire au consensus général sur la qualité de ce western, et qui m'a ouvert les yeux en mettant le doigt sur une pensée que j'avais quelque part inconsciemment formulée, en arguant qu'Hillcoat, loin de rendre honneur à son matériau en le creusant, ne fait que s'emparer de ses aspects reluisants sans l'approfondir le moins du Monde, tel un sophiste pédant qui jouerait des mots avec ostentation pour impressionner un public. Ainsi en est-il de la violence, utilisée avec la conscience de son potentiel de fascination chez l'humain, mais sans lui conférer une puissance symbolique autre que superficielle. Ainsi en est-il, à nouveau, de quelques plans trop illustratifs où Hillcoat applique bêtement mais avec assez de roublardise des procédés déjà pensés par d'autres pour donner à son récit un écho mystique (parallélisme images/mots). Si j'étais passé à côté de ces facilités et de ce jeu de pantomimes, c'est bien que John Hillcoat a su les amener en prenant bien soin d'ôter ses gros sabots ; le fait qu'une fois soulignés, ceux-ci apparaissent clairement est en revanche bien le signe qu'ils existent néanmoins, d'autant que l'impression s'est depuis répétée avec Lawless, et dans une moindre mesure avec The Road, dont le récit littéraire possédait il faut le dire une telle puissance que son adaptation, pour peu qu'elle soit fidèle, ne pouvait que relever du grand film. Mais le réalisateur australien a quand même des armes, comme un superbe casting (Guy Pearce, Ray Winston, Danny Huston) un vrai talent de mise en scène et toujours ce matériau originel très prometteur bien que travaillé trop paresseusement et superficiellement. On reste quand même face à un western de valeur, sur la vague duquel à d'ailleurs surfé Jesse James. Mais ne cherchez pas un chef-d'oeuvre, ou si vous le trouvez, renoncez à creuser trop loin ses thématiques sous peine de ne pas trouver grand chose d'autre que du vide.
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