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    Le temps qui reste
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    151 critiques spectateurs

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    justineg
    justineg

    57 abonnés 906 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 février 2007
    C'est le genre de film dont je ne sais pas dire si j'ai aimé ou pas. Les acteurs jouent bien, Melvil Poupaud est super et très charmant. On ne s'ennuie pas du tout pendant le film mais voilà il ne se passe rien !! A vous de juger !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 janvier 2007
    L'acteur me fait légèrement penser à Romain Duris. Le film nous met dans état de crispation dès le début. L'annonce de la mort proche du jeune homme est frappante! Il n'y a que le médecin, le jeune homme (Romain) et nous qui connaissons cette horrible nouvelle. L'acteur est vraiment excéllent et les prises de vue ainsi que les scènes d'émotions nous met rapidement les larmes aux yeux. C'est un film d'une sensibilité et d'une légerté rare que nous offre François Ozon. Le film s'ouvre sur une plage et se referme sur une plage. Le changement physique et mental de Romain sont térrible et nous fait très bien comprendre que la fin approche. Magnifique film! A voir!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 janvier 2007
    un rôle pas facile pour Melvil Poupaud, celui d'un trentenaire qui apprend qu'il a un cancer généralisé incurable. François Ozon le filme alors, et le met à nu avec une caméra discrète mais habile, depuis son entrée dans le " couloir de la mort " (d'entrée de film) jusqu'à sa " délivrance ". Un film énigmatique qui peut déranger par ses silences les cinéphiles les moins avertis, et heurter par ses images la sensibilité des plus jeunes.
    nicoks
    nicoks

    29 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2007
    Je ne retiendrais que la derniere journée de Romain sur la plage : Plaisirs simples, le monde continuera a tourner sans vous dès demain matin. Tres tres poingnant.
    Donc tres beau film malgré quelques clichés et facilité sur un bilan de vie (enfance, sexe, désir de paternité, etc...).
    A oui j'allais oublier, Jeanne Moreau... Pile dans son role.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    618 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2007
    Un film poignant et émouvant. Le seul aspect négatif de ce film est qu'il y a trop de scènes de sexe. Les réalisateurs auraient pu insister d'avantage sur ses relations familiales notamment celle avec sa grand-mère.
    soliloo
    soliloo

    12 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 janvier 2007
    Prenant, touchant, émouvant... Ce film est de toute beauté. Melvil Poupaud campe à merveille ce jeune homme au bord de la mort, on ne peut que s'attacher à lui, et le suivre, happé par son destin ineluctable. Plus qu'une simple tragédie, c'est une véritable réflexion sur soi, sur son rapport au monde. Jamais larmoyant, ce drame ne laisse pas indifférent.
    lapdecab
    lapdecab

    1 abonné 44 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 janvier 2009
    Extraordinaire. Ozon réussit un chef d'oeuvre avec l'aide d'un Melvil Poupaud exceptionnel.
    Tout est juste dans ce film, du scénario aux personnages, en passant par les différentes scènes qui font avancer pas à pas le spectateur dans l'acceptation de la décision qu'a prise cet homme jeune de ne pas se faire soigner (il est vrai pour un profit douteux) pour vivre pleinement le temps qui lui reste. D'où sa rupture progressive du monde des vivants (à commencer par son copain et le "milieu gay"), et son passage de témoin en faisant un enfant à la femme d'un couple dont le mari est stérile.
    La fin est sublime, le monde continue d'être et c'est dans un monde de vivants qu'il choisit de mourir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 novembre 2006
    "Le temps qui reste" est un film que j'ai vu par "hasard". Et le hasard fait parfois bien les choses !

    Ce long métrage reprends une formule déjà utilisée en littérature ou au cinéma :"Que feriez vous s'il ne vous restait que peu de temps à vivre?".

    Romain (Melvil Poupaud), décide que ce délai lui servira, non pas à pleurer auprés de ses proches, ou à brûler la chandelle par les deux bouts, mais bien à se retrouver lui même.
    A faire le point sur ce qu'il est et ce qu'il a été, puisque désormais,il sait qu'il ne sera pas !

    Jeanne Moreau est poignante de vérité et de fragilité en confidente de son petit fils.

    Le message est simple, selon moi :Il est important d'avancer à tâton sur le long trajet de la vie, car, même si l'on se perd, on finit tous par arriver au même endroit, et ce, quelque soit le chemin que l'on décide d'emprunter.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 novembre 2006
    Décidément un don pour instaurer les ambiances les plus calmes et les évocations les plus douces, oniriques... Pourtant, pour une fois qu'Ozon parvient à fuir l'excès, ce sont ses personnages, froids, qui décoivent. Bien trop peu poignant. Il ne concilie pas harmonieusement intimité et beauté.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 décembre 2008
    C’est désormais une habitude, chaque année voit revenir le Père Noël (avec une ponctualité déconcertante) et François Ozon (qui, probablement pour contrebalancer, n’arrive pas à date fixe), créant l'un comme l'autre une même appréhension : celle du viser juste. Après avoir placé la barre assez haut une année auparavnt en nous offrant le magnifique 5X2, le prolifique réalisateur français revient cette fois transportant dans son traîneau Le temps qui reste, un film profondément intimiste, mais jamais exhibitionniste…

    L’histoire nous emmène à la rencontre de Romain, un photographe de 30 ans qui apprend qu’il est atteint d’un cancer et qu’il ne lui reste plus que quelques mois à vivre. Insolent et égocentrique au début du film, le jeune homme va s’humaniser petit à petit, apprenant à aimer une vie dont il doit faire le deuil au fur et à mesure que le long métrage (et le temps qu’il lui reste à vivre par la même occasion) s’écoule. Porté par un Melvil Poupaud dévoué corps et âme à son personnage (à noter également la présence toujours appréciable de Valeria Bruni-Tedeschi et celle de Jeanne Moreau qui incarne ces derniers temps une sorte d'icône de crédibilité du 7ème art français), Le temps qui reste est un film subtil et pudique dans lequel les images et les gestes en disent beaucoup plus que les mots, un principe qui trouve son apothéose dans une sublime séquence finale durant laquelle Romain ne s’éteint que par suggestion, au fond de la tête du spectateur.

    S'imposant comme l'un des longs métrages les plus aboutis de François Ozon, Le temps qui reste est un film touchant qui parvient à retranscrire avec finesse toute la complexe simplicité de la clé de la vie… la mort.
    groil-groil
    groil-groil

    84 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 novembre 2006
    Sur le papier, on redoute que le dernier François Ozon ne soit qu’un pâle plagiat du grand film de Xavier Beauvois, « N’Oublie pas que tu vas mourir ». Les arguments narratifs sont en effet similaires. Un jeune homme, à qui tout réussit, apprend par un médecin qu’il ne lui reste plus que quelques mois à vivre et décide de ne pas suivre de traitement médical pour vivre intensément ces derniers instants. Sauf que là où Beauvois jouait à fond la carte du romantisme adolescent (drogue, sexe, art, amour, guerre, sacrifice), Ozon développe une tout autre destinée à son personnage fort peu sympathique au départ (un Melvil Poupaud convaincant) et le fait se réfugier vers des valeurs beaucoup plus traditionalistes et bourgeoises. Avant de mourir, il ne faut pas oublier de dire à ses proches qu’on les aime. Le jeune homme va donc se rapprocher de son père (le sublime Daniel Duval, encore une fois excellent), de sa sœur et de sa grand-mère (une Jeanne Moreau en roue libre), régler ses comptes avec son petit ami (puisqu’on est chez Ozon, le protagoniste est forcément homosexuel) pour pouvoir alors partir en paix, renoncer à la vie et se laisser littéralement mourir. Ce qui, évoqué de la sorte, pourrait paraître cliché, fonctionne pourtant sur pellicule. Ozon fait, pour une fois, dans l’épure, et parvient à émouvoir simplement, sans racolage. Au vu du sujet traité, on ne lui demandait pas grand-chose d’autre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 novembre 2006
    Le thème traité dans le film de François Ozon m'a touché car je pourrais en être concernée à n'importe quel moment de ma vie. Melvil Poupaud a joué avec une belle subtilité et grande sincérité le rôle de Romain, ce malade bien trop jeune. Quelle serait ma réaction, notre réaction face à ce compte à rebours face à la mort : peur, dépression, rage de vivre ? Peut-être la nouvelle la plus ignoble à gérer émotionnellement pour un être humain. Je mets 3 étoiles car les clichés de François Ozon m'ont quelque peu dérangé...
    Gwen R
    Gwen R

    44 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 novembre 2006
    un sujet interessant et de bons interpretes mais on reste dans un descriptif assez hermetique pour moi.Un film de sensations, cest deja ça....
    Lord LYNDON
    Lord LYNDON

    17 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 août 2010
    OZON a fait mieux que ce petit film sans surprises qu'on a l'impression d'avoir vu mille fois. Les acteurs sont excellents et le film comporte quelques scènes réussies par ci par là (celles avec Valeria BRUNI TEDESCHI notamment).
    al111
    al111

    22 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un jeune homme apprenant qu'il va mourir, voilà un sujet très cinématographique ! Mais qu'a voulu faire Ozon ? Ses films sont souvent très léchés, ce sont des splendeurs visuelles avec une recherche de cadre à chaque plan, et pourtant ce "temps qui reste" ressemble à un téléfilm, il n'y a aucun parti pris de mise en scène, c'est plat, froid, terne. Les scènes attendues défilent, avec la grand-mère, avec l'amant, avec les parents, à l'église, avec le médecin à l'hôpital, et puis tiens, un petit coup de souvenirs d'enfance, tout ça pourrait être très émouvant, c'est juste anecdotique, dialogué sans crédibilité. Le personnage principal est très antipathique (Melvil Poupaud, pas de charme, pas drôle, juste un peu beau), et son adoucissement progressif est artificiel. La seule surprise, c'est la rencontre avec le personnage de la serveuse (Valeria Bruni-Tedeschi), mais à la réflexion, elle apparaît comme une balise un peu facile du cheminement du héros.
    Après un 5X2 pas très réussi, François Ozon déçoit, encore. Peut-être a-t-il besoin de légèreté (Huit femmes, Swimming pool) pour être convaincant...
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