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Xyrons
678 abonnés
3 360 critiques
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4,0
Publiée le 13 janvier 2011
Le temps qui reste est un beau film dramatique de François Ozon. La mise en scène du réalisateurs est irréprochable, il réussit immédiatement à nous faire entrer dans el film et le spectateur reste scotché à l’écran jusqu’à la fin. De plus, le scénario est travaillé et l’histoire intéressante. J’ajouterais que les acteurs comme Melvil Poupaud, Valeria Bruni Tedeschi ou encore Jeanne Moreau sont convaincants dans leurs rôles.
Un film dramatiquequi ma bouleversé, une histoire qui tiens la route, on s'attache très vite aux acteur, surtout à "Melvil Poupaud... Pour moi un des plus beau film de François Ozon avec "le refuge"
Je préviens que ma critique contient des spoilers sur le film.
Ah, c'est tellement écrit pour plaire à la critique. C'est impressionnant. Ces situations qui n'existent pas. Je prends un exemple : Une femme qui ne peut pas avoir d'enfant avec son mari demande au personnage principal de lui faire l'amour (et tant qu'à faire, de faire l'amour à trois avec son mari), afin qu'ils puissent avoir un enfant. Mais franchement, il est possible de nos jours d'utiliser des méthodes afin de ne pas avoir à coucher avec le donneur pour avoir un gosse. Et puis ces personnages, ces dialogues, ces situations qui sentent tellement la famille de script. Tout est tellement faux et écrit, à croire que les gens ne mettent pas leur nez dehors pour se rendre compte que ce qu'ils écrivent fait tellement faux.
Film très fort quoique trop court. Le sujet aurait mérité d'être aprofondi plus en profondeur. Certaine scènes déroutantes me paraissent néanmoins peu crédible. Mais leur apréciatition dépend de la sensibilité de chacun.
A mon gout le personnage est trop sombre et le temps qui lui laisse à vivre nous présente un long désespoir et une errance sans but ultime, j'aurais aimé voir quelqu'un profitant de ses derniers jours pour vivre un maximum de choses, le film est assez dépressif mais il reste intéressant malgré tout ! 3-
L'art de partir, l'art de mourrir. Un homme qui sombre, seul. Une bande son qui fait téléfilm, quelques longueurs mais aussi quelques récréations avec Jeanne Moreau et Valerie Tedeschi superbes.
J'ai été figurant dans ce film sur la plage dans les dernières scènes, je suis très déçus 6 ans après sa sortie de voir que je ne suis pas dans le cadre. snif... En ce qui concerne le film, l'histoire est poignante. On se pose tous la question : qu'est qu'on ferait s'il nous reste 3 mois à vivre ? François Ozon nous montre ici que face à la mort nos sentiments changent.
Beau film assez surprenant au niveau de la performance d'acteurs. Le thème, tragique, est convainquant. Le genre d'oeuvre que l'on voit que trop rarement et c'est fort regrettable.
Alors qu’Ozon aurait pu nous offrir une œuvre magistrale, aussi belle que déchirante… il se bute malheureusement et maladroitement à un sujet pourtant excellent (bien que pas très original) et plonge tête baissée dans une platitude décevante manquant cruellement d’intérêt. L’histoire reste sans surprise, trop sobre et a du mal à s’éloigner des clichés habituels à bannir. Sans la moindre mièvrerie, mais sans vraiment de charme non plus, Le Temps qui reste prend une triste et prétentieuse distance à la maladie ou à la mort. Melvil Poupaud est en retenue permanente, à tel point que son personnage en devient lassant, provoquant ainsi une difficile empathie de la part du spectateur. Sans être complètement raté non plus, le film reste tout de même globalement décevant, bien que certains points, comme le rapport difficile à la famille et à l’environnement proche soient extrêmement bien traités. Enfin, on sera également déçu de voir une Jeanne Moreau si peu présente à l’écran, pourtant si charismatique.
J'aurais pu ne mettre aucun point... Je me suis dit, en allant le voir "Tiens, un film traitant en partie de l'homosexualité, ça doit être intéressant ; et puis l'histoire de la maladie doit être émouvante". J'ai été assez déçu : je trouve les acteurs bons, et certains passages sont émouvants, mais on n'arrive pas à s'attacher aux personnages, et le film n'est que peu réaliste (le jour où les homosexuels seront bien traités par tout le monde, c'est pas encore aujourd'hui). Et puis d'ailleurs, l'homosexualité du personnage principal n'apporte rien au film, si ce n'est quelques passages comiques ou insolites.
Bref, une petite déception. Dommage, car c'était prometteur...
05 / 20 En général , j'adore les films gay , j'aime la réalisation ainsi que la photographie ! Mais le film en lui même je l'ai trouvé très mauvais , je suis d'accord c'est très émouvant ! Mais ça traite un sujet trop délicat , trop adroit pour me plaire ! c'est superbement bien joué certes mais ça laisse a désirer ! Trop complexe psycologiquement a mon gôut , trop poignant , trop sexy par moments , trop fade tous simplement . J'aurais préféré un scénario plus tendre ! Plus doux ! Je sais bien qu'à l'avance on doit savoir a quoi s'attendre mais la c'est poussé a l'extreme ! Après tous c'est mon droit de ne pas aimé voir de detesté ce film ! Rien ne m'attire dans ce long métrage ... anodin et insipide . J'ai pas du tous aimé .
HOMMAGE à EMMANUELLE HERMANDESSE François Ozon avec « Le temps qui reste » signe ici son deuxième volet du triptyque des comportements humains face à la Mort. Un sujet certes souvent abordé au cinéma et pourtant c’est avec une grande maturité et beaucoup de pudeur que ce jeune et grand réalisateur français nous invite à accompagner Romain (Melvil Poupaud), un jeune photographe de 30 ans qui apprend brutalement qu'il n'a plus que quelques mois à vivre, jusqu'à son dernier souffle. Il nous montre petit a petit que la mort est un chemin que nous ne pouvons faire que seul, que c’est un parcours intime, qui nous terre de plus en plus vers un monde fait de silence, de douleur, et cela surtout de laisser dernière nous tous ces petites moments de bonheur simple et unique que nous avons tendance a ne pas apprécier a sa juste valeur le temps que nous ne prenons pas conscience que la vie est une chose précieuse et éphémère, mais que nous ne pouvons pas ressentir le temps que nous ne prenons pas conscience du peu de « temps qui nous reste », tout comme me l’avait fait comprendre Mannue (Emmanuelle Hermandesse) qui nous a quitter il y a bientôt 2 ans, et que je n’oublierais jamais….