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Un visiteur
1,0
Publiée le 28 septembre 2012
05 / 20 En général , j'adore les films gay , j'aime la réalisation ainsi que la photographie ! Mais le film en lui même je l'ai trouvé très mauvais , je suis d'accord c'est très émouvant ! Mais ça traite un sujet trop délicat , trop adroit pour me plaire ! c'est superbement bien joué certes mais ça laisse a désirer ! Trop complexe psycologiquement a mon gôut , trop poignant , trop sexy par moments , trop fade tous simplement . J'aurais préféré un scénario plus tendre ! Plus doux ! Je sais bien qu'à l'avance on doit savoir a quoi s'attendre mais la c'est poussé a l'extreme ! Après tous c'est mon droit de ne pas aimé voir de detesté ce film ! Rien ne m'attire dans ce long métrage ... anodin et insipide . J'ai pas du tous aimé .
"Le temps qui reste" est l'expression qui convient ici et s'applique au pauvre spectateur qui scrute sa montre tout au long de la projection. Comment François Ozon, réalisateur que j'estime, a-t-il pu s'enliser à ce point dans un récit qui, pour évoquer une mort annoncée, manque autant de vie ? J'ai eu des proches confrontés au cancer et, dans l'extrème diversité de leurs réactions face à la maladie (courage, défaitisme, optimisme, renoncement, indifférence, inconscience), je n'ai jamais perçu ce côté froid et clinique qui plane tout au long du film. J'ai lu quelque part que le réalisateur a voulu éviter "le côté larmoyant de Philadelphia et le côté trash des Nuits Fauves". Le problème, c'est qu'à la place, il distille une sorte d'émotion-frigidaire glaçante qui laisse beaucoup de spectateurs en dehors du film et de son histoire. Vivement le prochain film.
J'ai été figurant dans ce film sur la plage dans les dernières scènes, je suis très déçus 6 ans après sa sortie de voir que je ne suis pas dans le cadre. snif... En ce qui concerne le film, l'histoire est poignante. On se pose tous la question : qu'est qu'on ferait s'il nous reste 3 mois à vivre ? François Ozon nous montre ici que face à la mort nos sentiments changent.
Le jeune Romain n'a plus longtemps à vivre puisqu'il est atteind d'un tumeur...Pour lui, c'est un peu 58mn pour vivre mais en tranquillité...il plaque tout et se casse, va vivre enfin...pour ce qui lui reste... Jeanne Moreau est touchante, le jeune homme rend des derniers services et donne des explications à une seule personne, celle qui peut le comprendre... Le film est touchant mais me laisse perplexe, froid...2 ètoiles, j'en suis presque désolé...
j'ai vraiment eu du mal au début. je trouve le début raté. on rentre tout de suite dans le drame. je trouve çà maladroit. j'aurais préféré une mise en bouche plus tranquille. une fois que l'on commence à cerner le personnage principale, au passage encore une très belle performance de Melvil Poupaud qui est un acteur que j'apprécie fortement, l'histoire se termine. VBT est vraiment bien aussi. cela reste un des meilleure Ozon.
Merci François Ozon de nous offrir de beaux films tels que « Le Temps qui reste ». Ce film narre le parcours de Romain, un jeune homme de 30 ans qui est atteint d'un cancer généralisé et qui n'a plus que quelques mois à vivre. C'est alors que nous le suivons dans ses relations de famille (l'amour pour sa grand-mère, la haine puis la réconciliation avec sa sœur, etc...) et dans sa recherche de lui-même. Le film de Ozon est lent, pur et possède la beauté d'un diamant. Melvil Poupaud est excellent dans le rôle de Romain, tout comme l'est Jeanne Moreau dans le rôle de la grand-mère. Ce film distille subtilement l'émotion et les images sont belles, très belles même et calmes de surcroît. « Le Temps qui reste » est un excellent film à méditer.
Un peu trop de sexe, à mon goût. On s'interroge pour définir si le personnage principal est à la dérive (ou s'il s'isole consciemment) car on ne l'a pas connu avant que sa maladie soit déclarée. La fin est belle mais elle est comme je m'y attendais. Ce film ne réserve pas vraiment de surprise mais pas mal d'interrogations - à réserver aux personnes patientes.
Magnifique film, intense, brutal et doux. Tout est réunis dans un même film. Bravo à Melvil Poupaud et Valeria Bruni Tedeschi pour leur excellente prestations. Une histoire terrible qui méle remords et regrets dans un tourbillon infernal. Durant le film, même si de nombreuses questions nous taraudent, nous faisons silence en nous même et observons lcet homme dont il ne reste plus que quelques mois tout au plus à vivre. Grace à de trés bon plans et des personnages hauts en couleur et des plus empathiques, celui qui visonne ce film ne peut rester insensible à la douleur entrainant la plus grande commisération. De plus, nous évitons de tomber dans le misérabilisme et la plus immonde commisération ce qui est trés bien joué de la part d'Ozon. Certainement un des meilleurs Ozon par ses acteurs, son histoire et le ressenti qu'in nous reste une fois le film terminé. Meilleur Ozon, fortemment conseillé.
Ce qui est étrange c'est qu'en apprenant la grande nouvelle (sa mort), le personnage joué par le très bon Melvil Poupaud n'a pas l'air plus étonné que ça. Comme s'il s'y attendait et que ça lui donnait le feu vert pour laisser expulser ses pensées et reflechir sur lui-même. "Le Temps qui reste" est sensible, une photographie. Ca va, on lui pardonne "8 Femmes" à Ozon...
Les mots manquent pour parler et définir cette oeuvre car oui nous sommes bien face à une oeuvre singulière et magnifique. Le Temps qui reste est un film grave touchant, Melvil Poupaud livre un interprétation tout en finesse, le tout est bien écrit sans fausse note tant au niveau musical qu'au niveau de la réalisation. Une réussite maitrisée de bout en bout. Un seul regret, à l'instar du peu temps qui reste au personnage du film, ce dernier est trop court on voudrait en partager tellement plus... Une oeuvre forte.
Un magnifique film, d'une finesse exemplaire. Le sujet a certes déjà été traité, mais il ne l'avait jamais été avec tant de vérité et d'intimité. La performance de l'acteur principal est criante de vraisemblance, de sincérité. On se lie très vite à celui-ci en voulant partager son combat perdu d'avance face la vie, face à son inéluctable mort. Une grande oeuvre cinématique, très émouvante, sans jamais basculer dans la niaiserie et le trop-plein de sentiments. Merci pour cette humanité.
Décidément un don pour instaurer les ambiances les plus calmes et les évocations les plus douces, oniriques... Pourtant, pour une fois qu'Ozon parvient à fuir l'excès, ce sont ses personnages, froids, qui décoivent. Bien trop peu poignant. Il ne concilie pas harmonieusement intimité et beauté.
Ce film n'est ni plus ni moins qu'un navet. Déjà, le thème, surexploité par la télévision, laissait présager le pire. Et le film remplit cette "ambition" avec brio : incohérence totale de la trame scénaristique (comme si le quotidien d'un homo serait de faire une partouze avec la première venue et son mari, afin d'assurer sa descendance), portraits totalement caricaturaux (la famille BCBG avec la fille modèle qui materne un peu trop ses enfants selon le protagonniste principal qui préfère aller voir sa grand-mère, sorte de "vieille pute aigrie") et complaisance totale dans le porno-trash. Au lieu d'être une analyse psychologique, le film ne fait que multiplier les clichés, si bien que dans les scènes où le spectateur devrait être ému, on finit par rire ! Même les acteurs qui se démènent tant bien que mal dans cette "histoire" bas de gamme n'arrivent pas à convaincre. Ce film est donc un grand moment de n'importe quoi. Difficile pour Ozon de retrouver la qualité et la pureté de "Sous le Sable". A éviter !
Parce que le thème traité l'est généralement avec pudeur, il m'aurait plu d'être touchée par ce film, mais je suis restée de glace devant une histoire sans queue ni tête, sans profondeur, et avec un personnage qui respire l'antipathie. Rendre le spectateur insensible, un comble pour un film qui traite de la mort ! Je le déconseille fortement. Un film dans la lignée de "Swimmingpool", "8 femmes", ou celle des films d'une médiocrité sans nom.