Cest avec la plus grande impatience que jattendais cet Infernal affairs 3. Tout dabord parce que, malgré les imperfections du premier épisode, le deuxième opus était parvenu à redonner de la profondeur à lintrigue et aux personages. Ensuite parce que le fait de retrouver dans le même film tant dacteurs de renom ne pouvait être quun gage de qualité. Alors oui, cest sans doute parce que jattendais trop de ce film que jen suis ressorti un peu déçu. Ce qui sannonçait en effet comme une fin en apothéose na constitué en fait quune cerise sur un gâteau déjà bien fourni grâce aux deux films précédents. Ainsi, malgré quelques surprises scénaristiques plutôt bien troussées, le film ne parvient que rarement à faire naître lémotion, un peu comme si tous les ressorts dramatiques avaient déjà été épuisés par les deux premiers films. Je dois toutefois avouer que jai pris un certain plaisir à suivre cet épisode final, mais si plaisir il y a eu cest essentiellement dû aux films précédents, et à laura qui sest installé autour de la série et de ses personnages. Cruel destin donc pour cet Infernal affairs troisième du nom, puisque pris à part le film nest pas très intéressant, mais à contrario, si lon samuse à le comparer avec le premier et deuxième, le film y laisse également des plumes... Malgré tout, quelques rebondissements valent le détour, le personnage de Yeung interprété par Leon Lai donne un second souffle certain au film, les codes et les clins dil de la franchise sont respectés (jusquà la chanson de Tsai Chin Lost in Time- que lon entend une nouvelle fois), enfin le destin inattendu de Ming conclut plutôt intelligemment la série, puisquil se situe en parfaite adéquation avec le titre du film (WU JIAN DAO), illustrant une éternelle et terrible chambre de lenfer. Infernal Affairs 3 est un film non plus sur la quête du pouvoir, mais plutôt sur la recherche de soi, et plus particulièrement sur la re-découverte de ses propres idéaux.
Mal construite et inintéressante, cette deuxième suite de l'excellent Infernal Affairs peut directement rejoindre la catégorie des mauvaises pioches. Et ce malgré la présence d'Andy Lau. Restez-en à l'original qui se suffit a lui-même !
Cette trilogie se termine en beauté avec ce troisiéme opus toujours aussi richet et dense. On retrouve avec plaisir les protagoniste du premier ( Andy Lau et Tony Leung ) pour clore cette sombre histoire. Au final, c'est un trés bon polar qui fera date.
Andrew Lau clot efficacement sa trilogie sur les "Infernal Affairs". En plus des habituels trahisons, retournements de situations, et scènes d'actions réussies, Lau introduit les crises d'identité et de personnalité de plusieurs personnages, ce qui place, pour notre plus grand plaisir, ce volet à un degré de complexité élevé. Précisons aussi la grande qualité de la BO. A ne pas rater.
Et voilà l’ultime volet de la saga. Et c’est sans aucun doute le plus remarquable. Avec son scénario très complexe, l’intrigue est captivante, à moins de s’accrocher et de faire fonctionner ses méninges. Les acteurs sont toujours aussi formidables, la réalisation ne change pas (pour notre plus grand plaisir !). Cet ultime film clôt la trilogie en apothéose : il explique et clarifie toute l’histoire (des deux précédents opus aussi). Une trilogie inoubliable !!!
Meme s'il est moins bon que le 1, la suite n'en est pas moins utile car on elle apporte un plus à l'histoire de base grâce à un coté + psychologique. Et même si certaines scenes sont inutiles,qu'il y a quelques imperfections et des lenteurs au début, l'ensemble est plutot très réussi. Andy Lau est meilleur que dans le 1, la mise en scene du scénario alambiqué est remarquable et le final est très réussi. Alors malgré les points négatifs, je mets 3 étoiles car la trilogie est indissociable, et lorsqu'on a adoré le 1er, il est indispensable de visionner le volet 3 surtout avec cette qualité....
Ces Affaires Infernales numéro 3 sont à la fois un épilogue aux premières Affaires et une replongée dans les évènements de celles-ci tandis que les Affaires Infernales numéro 2 reviennent en arrière, aux origines de toutes les Affaires !
Ce qui fait qu'on peut aller directement des premières aux troisièmes afin de ne pas s'embrouiller avec tout ce qui s'est passé dans les secondes, même si à la fin des troisièmes, une allusion à un personnage très important des secondes (les origines) fait une apparition. Si vous suivez encore, vous êtes bons.
En vérité, cette replongée qui précise certains évènements des premières Affaires -notamment bien entendu le rôle de Tony Leung et sa psy, la ravissante Kelly Chen- s'avère très intéressante, de même que l'épilogue délivré par petites touches durant le film entier et au cours duquel on suit le personnage torturé d'Andy Lau, ses errements et sa longue descente.
Sauf que deux nouveaux types débarquent, que leur implication se révèle -apparemment- décisive et qu'on n'y pige putain de que dalle. Intriqués pourtant dans les évènements des premières Affaires, on ne peut que subodorer à peu près leurs rôles au fil des révélations avares en explications et résolument obscures alors que la fin censée nous éclairer (!) nous enterre sous un monceau de gravats absolument abscons.
Le premier film se suffira donc à lui-même -avec en option le second qui relate les origines- mais ce numéro 3 malgré son excellente ambiance et les performances toujours autant époustouflantes des deux acteurs nous fatigue singulièrement avec son jeu de piste emberlificoté à double sens embrouillé ! infernal en effet, trop infernal pour moi.
Ce dernier opus est de loin le plus ambitieux dans la réalisation , le rythme est beaucoup plus lent, la caméra veut nous entraîner dans l'esprit de Ming. Réussi ou pas à vous de juger, pour ma part je suis plutôt satisfait du résultat. "Infernal Affairs 3" est également plus complexe que ses prédécesseurs, beaucoup de personnages secondaires jouent un rôle capital dans l'intrigue, et il faut s'accrocher pour bien comprendre qui travail réellement pour qui. La relation de Ming envers Yan devient beaucoup plus profonde. Je n'en dis pas plus, une conclusion impeccable pour une saga qui prend une ampleur que la plupart des films occidentaux sur la mafia n'ont jamais atteint. Pour moi, la trilogie "Infernal Affairs" vaut largement des films comme "Scarface" ou "Casino" et il faut vraiment allé chercher du côté de chefs d'œuvres comme "Les Affranchis" ou "Le Parrain" pour trouver mieux, ça vous pose un peu près la qualité de la saga qu'il faut prendre comme une seule et unique œuvre.
A la tension du premier et aux paillettes du deuxième, succède ce troisième volet, plus calme, plus réfléchi. Plus centré sur l'univers policier, on y suit la chute progressive d'Andy Lau, mise en parallèle avec une enquête se déroulant quelques mois avant la mort de Tony Leung. Les personnages semblent fatigués, épuisés par leurs sempiternelles manipulations et le réalisateur prend du recul sur sa fresque, comme s'il voulait stopper l'intrigue et réfléchir aux événements. Personne ne sera épargné et si Infernal Affairs III est moins accessible et peut-être plus paresseux que ses grand-frères, il clôt de fort belle manière une trilogie majeure du cinéma asiatique.
Ce 3ème volet conclut magistralement la trilogie la plus mythique de Hong Kong. C'est avec joie que l'on retrouve Tony Leung et Andy Lau dans leurs roles respectifs. Le film alterne entre présent et passé et tout concorde parfaitement. La scène ou le psychologue dialogue simultanément avec Ming et Yan est merveilleusement bien écrite. Le scénario est aussi bon que les 2 précédent. Une trilogie inoubliable tant elle apporte une bonne grosse bouffée d'air frai dans le genre.
Génial, magnifique, malin, un film qui conclue parfaitement la saga des Infernal Affairs, aussi compliqué que les deux précédents ( et oui il faut s'accrocher ), le scénario est toujours aussi bon, ce film est culte autant que les deux autres, en tout cas, il fait parti de mes films favoris.
C'est le moins bon de la trilogie, il reste tout de même correct mais il manque le souffle des deux autres volets, mis bout à bout (version HK de 5h00 remontée que j'ai en dvd), le troisième épisode se fond mieux dans l'ensemble, une excellente trilogie.