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Pour apprécier Au bout de la nuit, grattez le vernis de son casting faussement royal (...) Le style est nerveux et le scénario un peu grossier mais c'est à Keanu Reeves qu'Ayer doit sa principale réussite.
Le film de David Ayer est une incarnation crédible, cohérente, de l'évolution d'une mythologie, [le film noir américain], qui évolue sans cesse mais qui ne saurait se défaire complètement d'une vision sociale, politique et morale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce film est le genre de polar qu'on aime voir l'été. Un thriller urbain et nocturne, bien ficelé, efficace, haletant qui décortique la corruption de la police de LA.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) ce polar musclé, signé du réalisateur et scénariste du percutant Bad Times, ne révolutionne pas le genre mais témoigne de son redoutable savoir-faire.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
(...) le thème trop convenu de l'ange vengeur aux mains sales et au lourd passé (...) n'arrive pas à dépasser le stade du film policier de base (...) Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Au bout de la nuit arrive trop tard, postule un savoir que l'on n'aurait pas (d'où l'extrême prévisibilité d'un scénario truffé de clichés) et reconduit une formule qu'il aurait dû dépasser.
Au total, ce spectacle de dégénérés de colons se regardant ainsi s'entresuicider à plaisir avec une sauvagerie pas si irréaliste, (...) cette vision n'est pas déplaisante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Un polar noir de chez noir (...). A part ça pas grand-chose de vraiment original, sur le fond comme dans la forme. Mais Keanu Reeves et Forest Whitaker (...) assurent et David Ayer met en scène pépère. Du classique, quoi.
Sur le papier, il y a de quoi faire (...), mais le passage à l'écran déçoit. Peut-être à cause du choix des deux acteurs principaux (...). Face à Keanu Reeves, plus inexpressif que jamais, Forest Whitaker, en roue libre, surjoue jusqu'au délire.
La critique complète est disponible sur le site Première
La seule originalité - le racisme comme mobile d'une haine farouche (...) - se perd vite dans la tourmente et la musique assommante. Reste un film lourdingue. D'ailleurs, Keanu Reeves lui-même s'est empâté.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Keanu Reeves se révèle, une fois encore, inexpressif à souhait. Au bout de la nuit n'apporte guère d'eau au moulin du cinéma et ce n'est pas la fin, téléphonée et saugrenue, qui devrait lui attirer les faveurs du public.
(...) les péripéties qui accompagnent le calvaire de ce flic accusé d'avoir assassiné un collègue se distinguent par leur aspect "bourrin", amplifié par l'outrance de l'interprétation.
Positif
Le scénario est passionnant de bout en bout, déroulant un infernal ruban de corruption policière et laissant le spectateur sans repères moraux.
Cahiers du Cinéma
Pour apprécier Au bout de la nuit, grattez le vernis de son casting faussement royal (...) Le style est nerveux et le scénario un peu grossier mais c'est à Keanu Reeves qu'Ayer doit sa principale réussite.
Le Figaroscope
Un polar de facture classique mais bien ficelé, avec du suspense et une bonne distribution.
Le Monde
Le film de David Ayer est une incarnation crédible, cohérente, de l'évolution d'une mythologie, [le film noir américain], qui évolue sans cesse mais qui ne saurait se défaire complètement d'une vision sociale, politique et morale.
Le Parisien
Ce film est le genre de polar qu'on aime voir l'été. Un thriller urbain et nocturne, bien ficelé, efficace, haletant qui décortique la corruption de la police de LA.
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
L'intrigue, au lieu de se dénouer progressivement, s'emmêle à chaque tour de roue. Toute cette opacité fait la beauté du film.
Metro
Un polar un peu prévisible mais bien ficelé, suffisamment malin pour un samedi soir entre potes.
Télé 7 Jours
(...) ce polar musclé, signé du réalisateur et scénariste du percutant Bad Times, ne révolutionne pas le genre mais témoigne de son redoutable savoir-faire.
Brazil
(...) le thème trop convenu de l'ange vengeur aux mains sales et au lourd passé (...) n'arrive pas à dépasser le stade du film policier de base (...) Dommage.
Charlie Hebdo
Au bout de la nuit arrive trop tard, postule un savoir que l'on n'aurait pas (d'où l'extrême prévisibilité d'un scénario truffé de clichés) et reconduit une formule qu'il aurait dû dépasser.
Chronic'art.com
Objet standard, efficace et serein.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Un polar américain somme toute ordinaire, mais assez rondement mené.
Libération
Au total, ce spectacle de dégénérés de colons se regardant ainsi s'entresuicider à plaisir avec une sauvagerie pas si irréaliste, (...) cette vision n'est pas déplaisante.
Ouest France
Un polar noir de chez noir (...). A part ça pas grand-chose de vraiment original, sur le fond comme dans la forme. Mais Keanu Reeves et Forest Whitaker (...) assurent et David Ayer met en scène pépère. Du classique, quoi.
Première
Sur le papier, il y a de quoi faire (...), mais le passage à l'écran déçoit. Peut-être à cause du choix des deux acteurs principaux (...). Face à Keanu Reeves, plus inexpressif que jamais, Forest Whitaker, en roue libre, surjoue jusqu'au délire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Porté par un trio d'acteurs gagnant, le film parvient à faire oublier une réalisation assez classique et une intrigue qui n'échappe pas au déjà-vu.
Elle
La seule originalité - le racisme comme mobile d'une haine farouche (...) - se perd vite dans la tourmente et la musique assommante. Reste un film lourdingue. D'ailleurs, Keanu Reeves lui-même s'est empâté.
MCinéma.com
Keanu Reeves se révèle, une fois encore, inexpressif à souhait. Au bout de la nuit n'apporte guère d'eau au moulin du cinéma et ce n'est pas la fin, téléphonée et saugrenue, qui devrait lui attirer les faveurs du public.
TéléCinéObs
(...) les péripéties qui accompagnent le calvaire de ce flic accusé d'avoir assassiné un collègue se distinguent par leur aspect "bourrin", amplifié par l'outrance de l'interprétation.
Télérama
(...) un thriller urbain de plus, pétri d'une fascination suspecte pour une police de Los Angeles aux moeurs douteuses.
Libération
Au bout de la nuit (...) ressemble à une parodie malencontreuse tant la barque est chargée. Keanu Reeves (...) n'est que très moyennement crédible.