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Les scènes comiques ou le malicieux Chen se déguise pour obtenir des informations maquent la tragédie, puisque ce film en est une.
Il emprunte à Antigone pour la scène de funérailles (scène inversée, puisqu'il veut dégager le corps, refusant la mort de son professeur, alors que dans Antigone c'est le contraire).
Les références constante à la saisie de l'école font penser à la Cerisaie de Tchekov, et il y a quelque chose de Don Rodrigue, dans le Cid, par sa volonté de vengeance qui passe par le combat. Il est jeune il est vrai, mais sa valeur n'attend pas le nombre des années...
Il n'y a pas de moralité dans ce film : Chen semble être moteur de l'action, alors qu'il est agi, ... En bref c'est une tragédie.
Enfin, il y a un caractère politique dans la dénonciation du racisme, et le colonialisme.
Chen est un beau personnage, dont la sensibilité s'exprime dans des scène d'un romantisme désuet, sa malice contrebalance sa puissance physique, et les scènes de combat font bien entendu la saveur de ce type de cinéma. C'est un film divertissant, ce qui est positif (toujours mieux qu'un film chia**).
En bref, le traitement du scénario fait que cette oeuvre dépasse le cinéma de genre, auquel on serait tenté de le rapprocher. Je le rangerais parmi les classiques.
Il emprunte à Antigone pour la scène de funérailles (scène inversée, puisqu'il veut dégager le corps, refusant la mort de son professeur, alors que dans Antigone c'est le contraire).
Les références constante à la saisie de l'école font penser à la Cerisaie de Tchekov, et il y a quelque chose de Don Rodrigue, dans le Cid, par sa volonté de vengeance qui passe par le combat. Il est jeune il est vrai, mais sa valeur n'attend pas le nombre des années...
Il n'y a pas de moralité dans ce film : Chen semble être moteur de l'action, alors qu'il est agi, ... En bref c'est une tragédie.
Enfin, il y a un caractère politique dans la dénonciation du racisme, et le colonialisme.
Chen est un beau personnage, dont la sensibilité s'exprime dans des scène d'un romantisme désuet, sa malice contrebalance sa puissance physique, et les scènes de combat font bien entendu la saveur de ce type de cinéma. C'est un film divertissant, ce qui est positif (toujours mieux qu'un film chia**).
En bref, le traitement du scénario fait que cette oeuvre dépasse le cinéma de genre, auquel on serait tenté de le rapprocher. Je le rangerais parmi les classiques.
meilleurr film de Bruce Lee d'après moi. ce film est parfait en tout point, le scénario bien que basique une histoire de vangence marche presque a chaque fois, la réalisation typique des films Hong Kongais (repris d'ailleurs dans kill bill), le jeu d'acteur exagéré qui rend les personnages très caricaturé et bien distincts, le jeu d'acteur et surtout les combats les scènes de combat on ne s'en lassera jamais dans les films.
Un film chinois de 1972, mettant en scène principalement Bruce Lee il y a bien une histoire assez compréhensible parsemée de meurtres que l'on voit arriver de loin mais avec un certain réalisme historique de ceux qui sont considérés comme des inférieurs.
La Fureur de Vaincre est un film avec Bruce Lee avec toutes les caractéristiques typiques des films de l'acteur : cascades assez spectaculaires pour l'époque mais qui ont pris un petit coup de vieux si on les visionne aujourd'hui, bruitages des coups de pieds et de pieds un peu grotesques, Bruce Lee dépeint beaucoup trop à son avantage, à la limite de l'invincibilité (peu surprenant que l'acteur y soit du coup si investi).
Le film, à l'image de son intrigue est parfaitement oubliable. Il reste divertissant dans la forme (et les férus du registre adoreront les combats) et la formule marche encore suffisamment pour ne pas s'ennuyer devant le film, mais à moins d'être un fan de l'acteur, le film est oublié au bout de quelques semaines.
Bon, ça se regarde, mais ce n'est pas non plus extraordinaire. Ce n'est ni le meilleur film avec Bruce Lee (je n'en ai pas vu beaucoup, mais je lui préfère déjà La Fureur du Dragon) ni un film qui a bien vieilli (à sa décharge, il est sorti il y a environ cinquante ans).
Le film, à l'image de son intrigue est parfaitement oubliable. Il reste divertissant dans la forme (et les férus du registre adoreront les combats) et la formule marche encore suffisamment pour ne pas s'ennuyer devant le film, mais à moins d'être un fan de l'acteur, le film est oublié au bout de quelques semaines.
Bon, ça se regarde, mais ce n'est pas non plus extraordinaire. Ce n'est ni le meilleur film avec Bruce Lee (je n'en ai pas vu beaucoup, mais je lui préfère déjà La Fureur du Dragon) ni un film qui a bien vieilli (à sa décharge, il est sorti il y a environ cinquante ans).
Un très bon film d'arts martiaux hongkongais avec Bruce Lee . De très bons combats , de belles prises.
le plus beau film d'art martiaux que j'ai pu voir et de très loin.
on souffre pour chaque coup que subit notre héros, notre haine grandit à mesure que la sienne le dépasse, et on souhaite de tout coeur qu'il parvienne à son but.
un film splendide, touchant et très beau d'un point de vue chorégraphie
on souffre pour chaque coup que subit notre héros, notre haine grandit à mesure que la sienne le dépasse, et on souhaite de tout coeur qu'il parvienne à son but.
un film splendide, touchant et très beau d'un point de vue chorégraphie
La fureur de vaincre est vraiment le film où le légendaire Bruce Lee se démène le plus dans un vraie furie vengeresse lors d'un récital de dextérité physique, de force et d'art de la gestuelle. Les combats s'enchaînent avec une véracité jamais vue, Bruce Lee frappe dans tout ce qui bouge de japonais. Les autres combattants se débrouillent bien dans des ballets joliment chorégraphiés. Malheureusement, le reste du film, dans ses décors en carton pâte, son absence de recul dans la caractérisation des personnages est totalement insignifiant. La mise en scènes est quasi absente. Un plan de caméra intéressant lorsque Bruce Lee affronte un dojo japonais. Notons aussi la vision caricaturale et manichéiste des japonais tous méchants, racistes, sadiques mais, in fine, tous éliminés. Le cinéaste est passé à côté de ce qui aurait été un grand film et non la seule, mais la meilleure dimension de Bruce Lee, star naissante et quasi finissante.
Bon film avec des cascade assez bien et des combats assez violents comme je l'ai aime, j'aime beaucoup Bruce Lee mais ce film n'est pas mon préféré ☺
Cinéphiles 44
Suite au succès de Big Boss qui a révélé Bruce Lee au monde entier et à la réalisation par le comédien lui-même de la Fureur du Dragon, Lo Wei réitère avec La Fureur de Vaincre. Il s’agit encore ici d’un film qui favorise davantage les arts-martiaux que le scénario. Quoi qu’il en soit les scènes d’action traversent le temps et auront notamment inspiré Quentin Tarantino pour Kill Bill. Lee est ici le meilleur élève d’une école d’arts-martiaux et après la mort de son maître disparu mystérieusement, il décide de venger sa mort. Située dans le Shanghai des années 30, l’action est un brin nationaliste, démontrant alors par les combats, que les chinois sont supérieurs aux japonais. Pendant une heure quarante, le comédien ne cesse de se battre et rassasie enfin l’appétit de ses fans venus au cinéma pour les combats. Si l’histoire et la mise en scène est en carton, La Fureur de Vaincre est certainement l’œuvre phare d’une légende des arts martiaux.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Le légendaire Bruce Lee dans ce chef-d’œuvre est magnifique dans tous les domaines, un formidable combattant expert en arme culte tel le nunchaku, et son captivant scénario se déroulant dans la Chine d’époque, dirigé par l’impuissante dynastie Qing, défaite par les puissances occidentales, la soumission vécues avec désespoir par les nationaux. La mort douteuse de son maître opposé à l’impérialisme, Chen Zhen est dépassé par les événements, la rage le submerge par le dur contexte, sa réaction est celui d’un opprimé face à l’agression, de la légitime défense. Sa destinée finale est teintée de tragédie héroïque, avec la conscience dans l’âme mélancolique.
La fureur de vaincre voilà l'un des meilleurs bruce lee et on voit que notre petit dragon a bien évolué depuis the big boss. Pour commencer le film est beaucoup plus propre en terme d'histoire dû à une trame principale plus recherchée et à un jeu d'acteur plus convaincant. Dans ce film bruce lee dégage un réel charisme lors des combats et c'est la première fois que son arme de prédilection apparait: le nunchaku et faut bien avouer que celà fait vraiment plaisir puisque les combats sont mieux chorégraphiés mais aussi plus long permettant de découvrir toute sa fureur. La B.O est magnifique et me donne de nombreux frissons. Hélas le film a un gros problème qui est la gestion des scènes d'amour qui n'ont déjà rien à faire au milieu mais en plus elles sont mal cadrées ( à quoi ca sert? Je sais pas. En tout cas sa nique le film). Un très bon film mais qui manque de précision dommage. 4/5
Bruce montre enfin dans "La Fureur de Vaincre", qui est son deuxième film, ce qui a fait sa légende. Certes, l'histoire est basique : Chen Zhen (Bruce Lee), meilleur élève d'une école d'arts martiaux de Shanghai, veut venger la mort de son illustre maître disparu de manière étrange. On a donc ici une quête de vengeance tout à fait classique, en plus d'une romance malheureusement mal amenée au milieu du film et à dormir debout, même si le scénario nous offre des dilemmes et un racisme entre chinois et japonais intéressants. Mais la force des films de Bruce Lee n'est pas dans le scénario, elle est dans les combats, et "La Fureur de Vaincre" a su sublimer davantage cet élément. En effet, les combats sont dans ce film très bien chorégraphiés. Ils sont également plus variés que dans "The Big Boss", puisque nous avons le droit en plus des corps à corps classiques à des nunchakus ou encore des katanas. Les combats sont aussi pour notre plus grand plaisir plus violents, alors que "The Big Boss" avait déjà fait fort en la matière. C'est simple, je ne sais pas si un seul des antagonistes que Bruce Lee a affronté s'en est tiré vivant. En parlant des antagonistes, le fait de les avoir quasiment tous vêtu en tenue traditionnelle japonaise permet lors des combats de distinguer les protagonistes des antagonistes, ce qui participe grandement à la clarté des combats. Cette clarté est en outre renforcée grâce au montage ayant limiter les cuts et donc fait durer un minimum les plans, en plus d'avoir favorisé le travelling lors du tournage. Ainsi, nous avons des combats sublimes, mais seraient-ils aussi excellents sans Bruce Lee ? Ce dernier nous offre en effet une prestation remarquable, il dégage un charisme et une puissance sans précédent. Rien que son regard froid et concentré fait des frissons dans le dos et lui donne une aura terriblement menaçante. La B.O est enfin loin d'être mauvaise, j'ai trouvé le thème principal sublime et franchement marquant. La "Fureur de Vaincre" est donc un film très divertissant avec des combats mémorables que je conseille vivement de voir au moins une fois. 4/5
Second film de Lo Wei avec Bruce Lee, et les choses se sont bien améliorées depuis l’essai Big Boss. Déjà il y a plus de combats, et ce dès le début, des combats admirablement bien filmés et chorégraphiés où le talent physique de Bruce Lee explose littéralement à l’écran.
On s’amuse d’ailleurs du peu de réalisme de certains d’entre eux, comme cette fameuse scène ou tous les Japonais entourent Bruce Lee, semblant attendre un par un de se faire frapper. C’est beau, c’est jouissif, mais peu crédible. Tout ceci reste très violent et Bruce massacre toujours la plupart de ses adversaires, mais cette fois-ci sa rage est totalement assumée, et son destin de martyr scellé dès qu’il met un pied chez les Japonais, déclenchant une guerre d’égos entre ceux-ci et les Chinois. On peut reprocher au film son message très nationaliste et anti-japonais, mais à mon avis c’est plus subtil que cela : c’est bien la provocation des Japonais qui a déclenché la guerre entre les deux écoles, mais aucun camp n’en est sorti vainqueur, les deux devant compter leurs lots de morts et de destins brisés. La lecture moderne qui peut en être faite est que le message du vieux maître mort qui prônait les arts martiaux non pas pour la violence et la compétition mais pour fortifier son âme et son corps est resté incompris.
On s’amuse d’ailleurs du peu de réalisme de certains d’entre eux, comme cette fameuse scène ou tous les Japonais entourent Bruce Lee, semblant attendre un par un de se faire frapper. C’est beau, c’est jouissif, mais peu crédible. Tout ceci reste très violent et Bruce massacre toujours la plupart de ses adversaires, mais cette fois-ci sa rage est totalement assumée, et son destin de martyr scellé dès qu’il met un pied chez les Japonais, déclenchant une guerre d’égos entre ceux-ci et les Chinois. On peut reprocher au film son message très nationaliste et anti-japonais, mais à mon avis c’est plus subtil que cela : c’est bien la provocation des Japonais qui a déclenché la guerre entre les deux écoles, mais aucun camp n’en est sorti vainqueur, les deux devant compter leurs lots de morts et de destins brisés. La lecture moderne qui peut en être faite est que le message du vieux maître mort qui prônait les arts martiaux non pas pour la violence et la compétition mais pour fortifier son âme et son corps est resté incompris.
GyzmoCA
Deuxième film de Bruce Lee après un Big Boss prometteur mais au final décevant. Bruce Lee joue un chinois assez perdu mais déterminé à venger la mort de son maitre. Le film est violent (Plusieurs morts à main nue) et démontre tout le talent de la star du Kung Fu. Les combats sont impressionnants de vitesse et de réalisme. La carrière de Bruce Lee a été courte mais intense comme la Fureur de Vaincre qui est un de ses meilleurs films.
Bruce Lee apparaît ici comme un excellent combattant très rancunier au contraire de ce que son dojo à voulu lui enseigner.
En arrière plan on a une satire sur le racisme entre les japonais et les chinois. Quant au premier plan, le film est rythmé par une incessante question de revanche et de loyauté. La fin est aussi surprenante car on a une fin pas complètement prévisible qui n'est pas un de ces happy end américain.
En arrière plan on a une satire sur le racisme entre les japonais et les chinois. Quant au premier plan, le film est rythmé par une incessante question de revanche et de loyauté. La fin est aussi surprenante car on a une fin pas complètement prévisible qui n'est pas un de ces happy end américain.
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